\n\n > « Jia Zhangke, chef de file des cinéastes dits de la 6e génération – celle qui, marquée par les manifestations de Tian’anmen en 1989, brave la censure et conquiert son indépendance.\n>\n> Dès ses débuts dans la clandestinité, il arrime son cinéma au réel avec plusieurs films réalisés dans sa province natale du Shanxi. Tourné en décors naturels avec des acteurs et actrices non professionnel·les, _\u003Cem>Xiao Wu, artisan pickpocket\u003C/em>_ (1997) apparaît comme le «manifeste d’une nouvelle vague chinoise stylistiquement proche du néoréalisme».»\u003Cbr />**\u003Cstrong>Mathieu Loewer, + entretien avec Jia Zangke en 2024, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://lecourrier.ch/2024/04/11/le-realisme-sublime-de-jia-zhang-ke/\">\u003Cstrong>Le Courrier\u003C/strong>\u003C/a>](https://lecourrier.ch/2024/04/11/le-realisme-sublime-de-jia-zhang-ke/)**\n\n> « Ils sont rares, les cinéastes capables d'inscrire des personnages dans leur environnement avec autant de précision. Jia Zhangke possède le sens de l'Histoire au point d'y inclure sa propre œuvre, en reprenant le personnage de Xiao Wu, le pickpocket cinéphile de son premier film devenu ici un mafieux sans envergure. Sa démarche revient peut-être à réaliser des films pour une redécouverte future, mais rien n'interdit de goûter dès aujourd'hui au plaisir paradoxal que procure un regard aussi perçant.»\u003Cbr />**\u003Cstrong>Norbert Creutz à propos de \u003C/strong>_\u003Cstrong>\u003Cem>Unknown Pleasures\u003C/em>\u003C/strong>_\u003Cstrong>, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.letemps.ch/culture/une-jeunesse-chinoise-deboussolee-decouvre-plaisirs-inconnus?srsltid=AfmBOoqhES3hYorGh4etJ4AiSgGoeEMu9kSlCZlgp7WdCpYNKiQtoyuk\">\u003Cstrong>Le Temps\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.letemps.ch/culture/une-jeunesse-chinoise-deboussolee-decouvre-plaisirs-inconnus?srsltid=AfmBOoqhES3hYorGh4etJ4AiSgGoeEMu9kSlCZlgp7WdCpYNKiQtoyuk)**\n\n> « Il a pour maîtres Ozu et Hou Hsiao-Hsien, Godard et Bresson. Cinéaste depuis (1997), Jia Zhangke puise au plus près du réel pour montrer, avec lenteur et en peu de mots, la vie quotidienne des laissés-pour-compte de la croissance économique chinoise. »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Raphaële Bouchet, + entretien avec Jia Zangke en 2007, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://lecourrier.ch/2007/02/06/en-chine-la-culture-independante-reste-a-inventer/\">\u003Cstrong>Le Courrier\u003C/strong>\u003C/a>](https://lecourrier.ch/2007/02/06/en-chine-la-culture-independante-reste-a-inventer/)**\n\n> « Ce n’est pas le ciel mais tout de même une grande partie qui nous tombe sur la tête avec _\u003Cem>Xiao Wu, artisan pickpocket\u003C/em>_ du jeune (28 ans) réalisateur chinois Jia Zhangke, récompensé d’un grand prix au dernier Festival des Trois-Continents. Comme son titre l’indique très clairement, le récit du film s’attache au pas d’un jeune pickpocket, Xiao Wu, que l’on découvre tout de suite en activité. Après avoir resquillé dans un car en prétendant être de la police, il tire habilement un portefeuille de la poche de son voisin de banquette. Comme son titre l’indique tout aussi clairement, il y a tout de suite quelque chose du cinéma de Robert Bresson dans la façon dont le film nous expose les faits et méfaits du jeune homme : image de glace et personnage de feu. Cette manière inaugurale d’inhaler le froid et d’exhaler le chaud restera le principe respiratoire du film qui, à chaque plan, s’oxygène et s’asphyxie à la fois.\u003Cbr />(...) Subtilité esthétique et narrative. Certes Xiao Wu, artisan pickpocket est une mine d’informations sur ce gigantesque bordel sous contrôle qu’est devenue aujourd’hui la République populaire de Chine. A la volée, au fil des rues et des cours de Fenyang, ville moyenne de la province de Xian où se situe l’action, on comprend localement pourquoi le paradoxe d’une dictature communiste saisie par la tyrannie du Capital tient encore debout. Sous l’emprise frénétique de l’argent et du profit (passion sanguine qui circule dans toutes les artères du film), la Chine serait-elle en train de redevenir l’Empire qu’elle n’a jamais tout à fait cessé d’être ? Mais le charme du film, c’est qu’il ne pose pas ce genre de question de face. Sans doute pour des raisons de censure (_\u003Cem>Xiao Wu, artisan pickpocket\u003C/em>_ n’a pas été distribué en Chine) mais aussi pour des motifs nettement plus esthétiques. Le louvoiement n’est pas seulement une ruse, il est aussi une façon de donner toutes leurs chances à toutes les histoires, grandes (la Chine aujourd’hui) ou petites (quelques Chinois contemporains). Autant dire qu’entre l’enregistrement du réel et sa mise en fiction, Jia Zhangke va et vient, coitus cinematographicus ininterruptus, et ne tranche pas. Autant dire que de Chine vient de nous parvenir le message d’un cinéaste qui jette sur son établi ardent la vieille question ici fatiguée de la place de la caméra. Invisible ou manifeste, son charme fou c’est que cette caméra se fait à tout instant oublier. Cette amnésie organisée est l’autre nom du cinéma. »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Gérard Lefort, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.liberation.fr/culture/1999/01/13/un-pickpocket-a-l-oeuvre-dans-une-ville-moyenne-saisissant-dans-sa-facon-d-interroger-le-cinema-le-f_263508/\">\u003Cstrong>Libération\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.liberation.fr/culture/1999/01/13/un-pickpocket-a-l-oeuvre-dans-une-ville-moyenne-saisissant-dans-sa-facon-d-interroger-le-cinema-le-f_263508/)**\n\n> « Avec son titre en forme de manuel pratique, _\u003Cem>Xiao Wu artisan pickpocket\u003C/em>_ est d’abord un traité de la survie quotidienne en Chine. En tournant quasiment sous le manteau, Jia Zhangke a volé des bribes de réalité grisâtre dans une contrée où tout s’effondre : trottoirs éventrés, escaliers défoncés, façades lépreuses. Décapante et rare, cette démarche documentaire constitue la première richesse du film. Mais Jia Zhang Ke fait bien plus que jeter à la mer la bouteille d’air vicié pour donner des nouvelles de son pays au bord de l’asphyxie. Caché derrière Xiao Wu, son porte-parole officiel un peu bredezingue, il pousse loin sa réflexion sur la dissidence, jeu dangereux à double tranchant… »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Télérama\u003C/strong>**","Nach einer mysteriösen Abwesenheit, wahrscheinlich einem Gefängnisaufenthalt, kehrt Xiao Wu in seine kleine Stadt Fenyang zurück. Er trifft sich mit Xiao Yong, seinem ehemaligen Partner. Dieser hat den Taschendiebstahl aufgegeben und sich auf eine lukrativere Tätigkeit verlegt, den Zigarettenschmuggel. Er ist ein neureicher Mann geworden, der gegrüßt und respektiert wird. Die beiden Freunde sind einander fremd geworden. Xiao Wu streift durch die Stadt, deren alte Viertel nach und nach abgerissen werden. In einer Karaoke-Bar verliebt er sich in Mei Mei, wird aber zurückgewiesen. Dann geht er zu seiner armen Bauernfamilie in einem Bergdorf.\n","> «Der Debütfilm des Filmemachers Jia Zhang-ke, der von einem Cast von Laiendarsteller:innen authentisch gespielt wird, beginnt als düsterer sozialer Realismus, entwickelt sich aber nach und nach zu einer eindringlichen Charakterstudie und Kulturkritik, die in der prägnant dokumentierten Landschaft des zeitgenössischen Chinas spielt. Der Film dramatisiert den schleichenden Einfluss der Korruption auf dem Schwarzmarkt, die sich, wie der Film suggeriert, der gesamten chinesischen Gesellschaft bemächtigt. Letztendlich geht Jia über den Realismus hinaus und erreicht eine existenzielle und spirituelle Ebene, die mit dem Werk des französischen Regisseurs Robert Bresson verglichen werden kann.»\u003Cbr>**MoMa, 2010**","Dès la scène d’introduction, où le jeune homme attend un bus pour se rendre à Fenyang, Xiao Wu se présente à nous comme une figure vierge et sans passé. Une fois monté à l’intérieur du véhicule, il s’y installe et se fait passer pour un membre de la police afin de ne pas avoir à payer de ticket. Le contrôleur, dupé, le laisse tranquille. C’est à ce moment que Xiao Wu dérobe discrètement le portefeuille de son voisin, dans un plan rapproché qui montre sa main en action — non sans rappeler celle du voleur dans le _Pickpocket_ de Bresson (auquel le film de Jia Zhang-ke emprunte au moins cette image). Le plan suivant dévoile l’avant du bus, où est accrochée une photo de Mao Zedong, tandis que, dans le contrechamp, le regard de Xiao Wu s’oriente vers l’extérieur, dans un axe différent de celui du centre du bus, suggérant qu’il ne regarde pas la photo de Mao (images ci-dessous). Son regard, à l’image de son activité de voleur, relève dès lors de la marginalité. Cette question du désaxement, au centre de _Xiao Wu, artisan pickpocket_, sous-entend une lutte, consciente ou non, d’un personnage qui refuse de regarder en face les images figées peuplant son champ de vision.\n**DE LA MOBILITÉ par [Corentin Lê](https://www.critikat.com/panorama/analyse/xiao-wu-artisan-pickpocket/)**\n","**Mit** Wang Hongwei, Hao Hongjian, Zuo Baito, Ma Jin Rei\n\n**Drebuch und dialoge** Jia Zhangke **Kamera** Yu Lik-wai **Ton** Zhang Yang **Schnitt** Xio Ling Yu **Produktion** Jia Zhangke und Kit Ming Li","Jia Zhangke — « Il a pour maîtres Ozu et Hou Hsiao-Hsien, Godard et Bresson. » Le Courrier","« _\u003Cem>Je voulais montrer les frictions et les fractures spirituelles: au fil des changements brutaux de l'Histoire, certaines choses que l'on croyait inscrites dans les lois de la nature se sont transformées de façon telle que les hommes n'ont pas su s'adapter, et qu'ils ont connu la souffrance.\u003C/em>_ » (Jia Zhangke)\u003Cbr />« _\u003Cem>Autant dire que de Chine vient de nous parvenir le message d’un cinéaste qui jette sur son établi ardent la vieille question ici fatiguée de la place de la caméra. Invisible ou manifeste, son charme fou c’est que cette caméra se fait à tout instant oublier. Cette amnésie organisée est l’autre nom du cinéma.\u003C/em>_ » (Libération)","«Wie kein Film zuvor bringt dieser kleine, aber an Beobachtungsgabe reiche Film Chinas Dilemma zu Gehör: Die Lebensäusserungen des einzelnen gehen im Lärm der Industrialisierung unter.» (Heike Kühn)","xiao-wu-artisan-pickpocket","https://sister-distribution.ch/movie/xiao-wu-artisan-pickpocket?preview=true",[575],[53],[56],[189,94,575],[191,12,580],[525,770,771,772,773,774,775,776,777,778],77,76,340,341,342,367,388,389,515,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/XIAO WU_pmNV8.png",{"Id":580,"Title":781,"Description FR":782,"Actus":54,"Trailer FR":783,"Director":784,"Year":441,"Credits FR":54,"Duration":785,"Release FR":786,"Release DE":54,"SUISA":787,"VOD":54,"Media FR":788,"Catalogue":10,"Description DE":789,"Media DE":790,"Bonus FR":791,"Bonus URL":792,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":793,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":794,"Teaser DE":54,"DCP":795,"Events":449,"Slug":796,"mId":580,"preview url fr":797,"Country FR":798,"Country DE":800,"FCollections":802,"FTags":803,"TagIds":805,"FEvents":806,"img":817},"IN WATER (물안에서)","Sur l’île rocheuse de Jeju, un jeune acteur réalise un film. Alors que l’inspiration lui manque, il aperçoit une silhouette au pied d’une falaise. Grâce à cette rencontre et à une chanson d’amour écrite des années plus tôt, il a enfin une histoire à raconter.\n","https://youtu.be/wJQVxHtRPdI","Hong Sangsoo",61,"2024-10-30",1021.471,"**`Un geste artistique iconoclaste`**\n> « Un geste artistique iconoclaste, à l’ère de la haute définition numérique. Pas gratuit pour autant, car ce parti pris fait sens. Les images du film sont aussi floues que le projet de son protagoniste, jeune acteur qui a convoqué une comédienne et un cameraman pour réaliser un court métrage, mais cherche encore l’inspiration! Alors que le trio déambule sur l’île de Jeju, elle viendra d’une rencontre… Hong Sang-soo évoque ici sa propre méthode, dans un de ces récits brefs (une heure) et minimalistes dont il a le secret. Où les dialogues et les situations, a priori anecdotiques, ouvrent sur des abîmes existentiels.»\n**Mathieu Loewer, _Un charme flou_, [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2024/10/31/un-charme-flou/)**\n\n**`Beau comme un tableau de maître`**\n> « Le Coréen Hong Sang-soo ose l’inconcevable d’un film délibérément flou. _In Water_ est un essai beau comme un tableau de maître.\n> Difficile pour nous d’imaginer la réaction d’un spectateur ou d’une spectatrice néophyte devant ce 29e long métrage (tout juste, d’une durée de 61 minutes). Mais après tout, on peut bien tomber amoureux d’un écrivain, d’un peintre ou d’un compositeur devant une de ses œuvres tardives. La difficulté avec Hong Sang-soo est que bien peu de gens savent encore que le cinéma est aussi un art et que _In Water_ contrevient délibérément à toutes les règles communément admises d’un «bon film». \n> Jamais sans doute Hong n’avait osé une mise en abyme plus nette que dans ce film flou, à la fois grand geste paysagiste (le décor s’en trouve transfiguré), discours de sa méthode (ses films sont de plus en plus libres et improvisés) et déclaration intime (d’une mélancolie ici quasi-suicidaire). Il suffit de constater au générique qu’il cumule à présent les fonctions de réalisateur, scénariste, producteur, chef opérateur, monteur et même musicien pour s’en convaincre. »\n**Norbert Creutz, _la limpidité du flou selon Hong Sangsoo_, [Le Temps ](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/in-water-la-limpidite-du-flou-selon-hong-sang-soo)**\n\n**`Comme Marguerite Duras : aller à l’essentiel `**\n> « _In Water_ est un film qui parle de choses sérieuses sans jamais se prendre au sérieux. Le spectateur est entraîné dans un balade contemplative où il respire les paysages marins brouillés et prend attache avec ces trois jeunes gens qui se mentent à eux-mêmes.comme\n> Ce qui frappe, c’est le dénuement total auquel se résout le réalisateur. On pense ainsi à l’aboutissement de grands artistes comme en littérature Marguerite Duras ou en peinture Pablo Picasso, qui, en fin de carrière, allaient à l’essentiel de leur art et refusaient toute forme de surenchère esthétique. Le film témoigne ainsi d’une maturité profonde de l’œuvre de Hong Sangsoo qui va droit au cœur de ses spectateurs. »\n**Laurent Cambo, _In Water_ est un petit joyau de poésie, [à voir à lire](https://www.avoir-alire.com/in-water-hong-sang-soo-critique)**\n\n**`Une révélation esthétique, ce que ce plan final, après un panoramique bouleversant, accomplit en des proportions cosmiques`**\n> « Le jeune Seoungmo a quelque chose à dire. Quoi ? Il ne le sait pas. Mais il sait comment : en réalisant un film. Pour le mettre en œuvre, il a dépensé ses maigres économies constituées à coups de jobs d’été pour partir deux jours avec deux complices dans un calme village du bord de mer, hors saison. Il avait une idée, qu’il a abandonnée, mais il va faire ce film « pour l’honneur ». Tous les trois marchent, regardent, discutent, et finalement la vérité saisit Seoungmo : son film était déjà là, peut-être même qu’il l’avait déjà formulé, quand il avait écrit une chanson en guise de cadeau pour une ancienne amoureuse. Il ne lui reste qu’à le filmer, ce qui veut dire le vivre. Léger détail : sauf la brève scène d’arrivée du trio à l’appartement qu’ils ont loué, tout ce que nous voyons est flou.\n> Seoungmo se rend compte que le sens de son film résidait dans une chanson offerte et dont il demande l’autorisation de l’utiliser comme bande-son (« _Bien sûr, c’est toi qui l’as écrite, c’était une belle chanson, mais elle est très triste_ »), on découvre qu’il s’agit tout simplement de la mélodie composée par Hong Sangsoo lui-même, celle qui ponctuait jusqu’ici de sa mélancolie répétitive la beauté d’_In Water._ Au moment de l’utiliser, avec une technique toute hongienne (il la reproduit sur son téléphone, plaçant celui-ci à côté de la caméra), on comprend que celle-ci comportait des paroles : « _Connais-tu l’homme venu d’une terre lointaine qui a nagé vers la mer ? C’est un homme qui n’a jamais connu correctement l’amour. Qui ne voit pas que son beau cœur se fane à cause de tout ce temps de solitude._ »\n> Fait surprenant par rapport à cet accablement, _In Water_ est bien un film solaire. Le chromatisme naturel de la mer, le ciel, les fleurs, le fleuve, les poissons et tous les êtres filmés par Hong contrastent avec le filtre que lui appose son choix du flou, cette translucidité limitée, avant qu’on ne l’accepte telle quelle, comme une surface. Se produit alors une révélation esthétique que seuls _Branca de neve_ de Monteiro ou _L’Homme atlantique_ de Duras avaient atteint dans le cinéma narratif. \n> (..) C’est ce que le plan final, après un panoramique bouleversant, accomplit en des proportions cosmiques dignes de la fin de _L’Homme qui rétrécit_ de Jack Arnold.\n> Seoungmo et Sangsoo affirment alors l’engagement le plus radical possible d’un cinéaste envers son art : il faut filmer ce qu’on vit et vivre ce qu’on filme. Jusqu’à la disparition. »\n**Fernando Gonzo, Cahiers du Cinéma** \n\n**`1h01 hors du temps et de l’espace, 1h01 vertigineuse et sublime`**\n> « C’est aussi une histoire de fantômes, son propre fantôme qui surgit à la face de l’actrice pour lui souffler un sublime « _Reprends tes esprits_ », comme un appel d’outre-tombe de HSS à lui-même. Puis ces quelques notes de piano qui concluent 1h01 hors du temps et de l’espace, 1h01 vertigineuse et sublime. »\n**Pierig Leray, [Le Bonbon](https://nuit.lebonbon.fr/cinema-series/y-a-quoi-au-cine-flou-artistique-mysticisme-et-sadisme/) 4,5/5**\n\n**`Encore plus mélancolique qu’à l’accoutumé`**\n> « À la manière d’Ozu, des plans de paysages viennent d’ailleurs ponctuer la narration à plusieurs reprises, comme autant de tableaux impressionnistes parfois accompagnés de quelques notes de guitare heurtées.\n> C’est à cet endroit que le film épouse finalement une perspective analogue à celle qui travaille souterrainement les derniers films du Coréen : accueillir la beauté banale de ce qui se trouve juste sous nos yeux, pour répondre à la hantise de la mort et de la maladie. Elle se révèle toutefois encore plus mélancolique qu’à l’accoutumé, en cela qu’elle s’accompagne d’une mise à distance solitaire. Le sublime plan final d’_In Water_ offre ainsi un envers déchirant au petit film qui clôturait _La Romancière._ »\n**Robin Vaz, [Critikat](https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/in-water-2/)**\n\n**`Tout droit sorti du grenier de Daniel Johnston`**\n> « Sa musique _lo-fi_, apparemment enregistrée sur cassette (on entend dans le film le clic caractéristique du magnétophone) semble tout droit sortie du grenier de Daniel Johnston. Difficile, tandis que le piano succède à la guitare, de ne pas céder au charme de l’un des plus beaux plans finaux de toute la carrière de Hong. Une nouvelle pierre particulièrement mélancolique s’ajoute à l’édifice hongien, plus que jamais sensible et singulier. »\n**Marin Gérard, [Critikat](https://www.critikat.com/panorama/festival/berlinale-2023/in-water/)**\n\n**`Quelque chose s’efface`**\n> « Les contours du monde ne s’estompent pas sans réveiller un fond de mélancolie, soutenu par la ritournelle désolée qui se met à résonner par moments, comme sortie d’un vieux magnétophone. Quelque chose s’efface, tout comme se dénouent les liens entre Seongmo et ses deux coéquipiers, qui profitent de ses errements pour convoler ensemble. \n> A l’arrivée, ce héros esseulé se destine lui-même à disparaître dans ses propres images comme englouti par une tache de couleur. Et si _In Water_ n’était en définitive que cela : un film embué, car tout simplement vu à travers le prisme des larmes ? »\n**Mathieu Macheret, [Le Monde,](https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/06/26/dans-in-water-hong-sang-soo-filme-une-equipe-de-cinema-errante-plongee-dans-le-flou_6243856_3246.html) À NE PAS MANQUER**\n\n**`Radicalité d’Hong Sangsoo`**\n> « Des personnages ont pu se débattre face à une absence de sens et d’idéal, espérer une certitude ou une sécurité, comme le faisait encore Byungsoo dans _Walk up_, soucieux de la solidité des rambardes et touché par une douteuse vision divine. Mais à cette façon de se débattre avec le réel, Hong Sangsoo a de plus en plus opposé une ouverture sensible au monde, déjà éprouvée plusieurs fois face à la mer, comme avec la baignade finale d’_Introduction_ (2021).\n> Comme s’il s’agissait, flou à l’appui, d’écarter enfin les fantômes qui pèsent sur les épaules des personnages, le plan final s’apparente moins dans sa force plastique à une avancée mortifère dans la profondeur qu’à une dilution. Le corps de Seongmo s’accorde au monde, l’un et l’autre fondus dans l’image.\n> Irrésolution de l’existence et du récit dépassée dans la dissolution : l’histoire dans _In Water_ est emportée par des impressions composées par le cinéaste, par cette vision finale qui parachève un mouvement du personnage et du regard. On peut se demander s’il y a dans le fait d’imposer des images floues une forme de radicalité. Peut-être, mais, plutôt que du côté de la maîtrise, la radicalité d’Hong Sangsoo se situe du côté du défaut, de la déprise de vue. Seungmo dit au moment d’évaluer la ruelle qu’elle est parfaite, car pas trop belle. Nul doute que cette position est aussi celle d’Hong Sangsoo, qui travaillle avec _In Water_ à nous faire voir et apprécier un peu mieux le monde : en apprenant à se tenir à la surface. »\n**Romain Lefebvre, [AOC](https://aoc.media/critique/2024/06/25/deprise-de-vue-sur-in-water-de-hong-sangsoo/?loggedin=true)**\n\n**_`Un monde que nous ne pouvons pas voir`_**\n> « Le méta-film devient aussi bien une restitution du laboratoire hongien, tant sa méthode de travail est mise à nu (finir l’ébauche d’un scénario le jour du tournage, prendre une caméra et une poignée d’acteur·rices fidèles, se rendre dans un lieu, chercher un cadre et les placer à l’intérieur de celui-ci), qu’un matériau théorique et réflexif sur l’image de cinéma et sa captation. _“Je pense qu’il existe un monde que nous ne pouvons pas voir”,_ affirme un des personnages. Chez Hong Sang-soo, il n’y a que le cinéma pour capturer ce royaume de l’indicible. »\n**Ludovic Béot, film méta envoûtant sur la création, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/in-water-de-hong-sang-soo-film-meta-envoutant-sur-la-creation-618581-23-06-2024/)**\n","Ein junger Schauspieler beschließt, die Schauspielerei an den Nagel zu hängen und einen eigenen Kurzfilm zu drehen. Das kleine Filmteam, dem außer ihm nur der Kameramann und die Hauptdarstellerin angehören, begibt sich auf die felsige, vom Wind umtoste Insel Jeju. Auf der Suche nach einer Filmidee erkundet er die Umgebung, wartet auf die richtigen Lichtverhältnisse und beobachtet von der Küste aus den Horizont. Eines Tages erblickt er zwischen den Felsen am Fuß einer Klippe eine Gestalt, die sein Interesse weckt. Er wagt den Sprung ins kalte Wasser und wechselt ein paar Worte mit ihr. Dieses Gespräch und ein vor Jahren geschriebenes Liebeslied sorgen dafür, dass er endlich eine Geschichte zu erzählen hat.\nHong Sangsoo zeigt seinen bisher persönlichsten und poetischsten Film. Jedes einzelne Bild ist sorgfältig komponiert wie ein impressionistisches Gemälde. So entsteht ein Aquarium, in dem man nur zu gerne versinken würde. [Berlinale]\n","> \" Durch dieses recht originelle 'Arbeitsuniversum' erforscht der Film auch die Form und die Macht des Spektakels, der Unterhaltung, eine der Hauptsäulen, die die Existenz und das 'reibungslose Funktionieren' der modernen Gesellschaft untermauern und die zu einem zarten und bittersüßen Finale führen. Die Aufnahme liegt irgendwo zwischen Greifbarkeit und Abstraktion: eine perfekte Unschärfe. Ein Bild von absoluter Aufrichtigkeit. \"\nRyan Akler-Bishop, [ourculture](https://ourculturemag.com/2023/02/26/berlinale-review-in-water-2023/)\n","[The New Yorker Interview](https://www.newyorker.com/culture/the-new-yorker-interview)\n# Hong Sangsoo Knows if You’re Faking It\n_The prolific Korean director talks about sincerity, Cézanne, and the nature of reality._\n\n","https://www.newyorker.com/culture/the-new-yorker-interview/hong-sangsoo-knows-if-youre-faking-it","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZKjEtZ8rXlOtdMfN07orNC4IyeJFBNfTxk","- « La trame est si mince qu’elle semble à peine racontable »\n- « Se délestant des pesantes infrastructures du cinéma, l’avènement du numérique fut pour le Sud-Coréen l’occasion d’assimiler sa pratique à celle du peintre, assumant à lui seul le processus de création. Hong Sangsoo voue une admiration sans borne à Cézanne, et quelque chose dans le dépouillement progressif de ses films n’est pas sans évoquer la façon dont le Provençal s’est rapproché du motif. _In Water_, présenté à la Berlinale en février 2023, marque dans cette recherche une nouvelle étape qui affirme la dimension plastique de son cinéma. Et qui, comme tout film de peintre, donne véritablement la berlue »\n- _[Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/06/26/dans-in-water-hong-sang-soo-filme-une-equipe-de-cinema-errante-plongee-dans-le-flou_6243856_3246.html)_\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZDWPCZ2LTC2HEgTz5CfbVt0Qmrhf5E2vay","in-water-","https://sister-distribution.ch/movie/in-water-?preview=true",[799],"Corée du Sud",[801],"Südkorea",[],[189,804,784],"Filmgarten",[191,745,551],[807,808,809,810,811,812,813,814,815,816],160,154,159,158,156,155,157,392,393,474,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/inWater_vignette__Ao7q.jpg",{"Id":771,"Title":819,"Description FR":820,"Actus":54,"Trailer FR":821,"Director":822,"Year":219,"Credits FR":54,"Duration":728,"Release FR":823,"Release DE":824,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":825,"Catalogue":10,"Description DE":826,"Media DE":827,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":828,"Bonus Type":54,"Pro":829,"Trailer DE":830,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":831,"Teaser DE":832,"DCP":833,"Events":407,"Slug":834,"mId":771,"preview url fr":835,"Country FR":836,"Country DE":838,"FCollections":840,"FTags":841,"TagIds":842,"FEvents":843,"img":869},"SANTOSH","Une région rurale du nord de l’Inde.\nAprès la mort de son mari, Santosh, une jeune femme, hérite de son poste et devient policière comme la loi le permet. Lorsqu’elle est appelée sur le lieu du meurtre d’une jeune fille de caste inférieure, Santosh se retrouve plongée dans une enquête tortueuse aux côtés de la charismatique inspectrice Sharma, qui la prend sous son aile.\n","https://youtu.be/EQmXrLh5aSg","Sandhya Suri","2025-04-09","2025-05-22","> « Un récit haletant, une situation très complexe sans la réduire. »\u003Cbr>**Rafael Wolf et Vincent Adatte, Vertigo, [RTS](https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/debat-cinema-28849974.html?startTime=368)**\n\n> « Il y a quelque chose de magique dans un bon livre ou un bon film, c’est sa capacité à nous transporter dans une réalité qui n’est pas la nôtre, à nous faire ressentir les émotions, les sentiments de personnes qui n’ont rien à voir avec nous. Et pour moi c’est cela que l’on vient chercher quand on va au cinéma. \n>\n> Le film dure deux heures, mais il y a très peu de longueur, tu es happé par l’histoire. Et puis surtout le film est très smart. La mise en scène de Sandhya Syri n’est jamais appuyée, et permet d’appréhender la société indienne et ses injustices actuelles de façon brutale mais pas manichéenne. C’est un peu qui aime bien châtie bien. Perso, Je n’avais jamais compris à quel point le système de caste dirige la société indienne – je le savais mais je ne l’avais pas compris- avec les énormes injustices qui en découlent : comme par exemple le fait qu’un assassinat d’un intouchable est un non-événement ou à l’inverse comment les castes privilégiées sont intouchables. Le film aborde aussi adroitement le racisme actuel d’une partie des hindous vis à vis de la minorité musulmane et bien sur la question de la place de la femme en Inde. Alors si tu veux pour te donner une image être une femme en Inde c’est un peu comme être costumière ou figurante dans un film avec Depardieu, on a globalement droit de tout faire avec toi et ça faire rire les copains mecs. Une réplique résume bien l’ambiance générale,je te laisse méditer la réplique d’un policier qui frappe un suspect musulman : pourquoi l’avoir tué, tu aurais pu juste la violer ?\n>\n> Le film est clairement une charge contre la société sclérosée indienne. Mais attention souvent ces charges peuvent être lourdes et presque desservir leur propos par un manichéisme trop manifeste. Ce n’est absolument pas le cas ici, d’une part parce que le récit est ciselé, très prenant et d’autre part car la réalisatrice ne juge pas ses personnages individuellement. Elle connait le fameux adage « chacun a ses raisons » , son but semble plus de dénoncer les traditions millénaires qui autorisent intrinsèquement les comportements les plus vils envers les moins considérés , les castes intérieurs, les femmes. C’est un problème qui était aussi montré dans le très bon film africain que j’avais critiqué en début d’année : « on becoming a guinea fowl ». D’ailleurs il est intéressant de noter que ces deux films réussis sur la nécessité de faire évoluer les traditions ont été faits par des réalisatrices. Ce qui m’amène à revenir vers mon côté philosophique du début de chronique et de conclure qu’il semble qu’en 2025, les femmes soient toujours plus l’avenir de l’homme, pardon de l’humain. »\u003Cbr>**Johan Morau, _Un polar puissant sur les inégalités en Inde,_ [Radio Vostok](https://radiovostok.ch/un-polar-puissant-sur-les-inegalites-en-inde-santosh/)**\n\n> « _Santosh_ permet à un public occidental de s'y retrouver dans cette société par ailleurs très différente de la nôtre. À la fois prenant, instructif et efficace dans sa dénonciation d'un système profondément injuste dont les femmes de caste inférieure sont les victimes toutes désignées, le film s'offre aussi des moments plus inattendus, qui confèrent au personnages une vraie épaisseur. Et le final sur un quai de gare est de toute beauté, rappelant à quel point une pure idée de mise en scène peut encore élever un propos. »\u003Cbr>**Norbert Creutz, [Cinefile](https://fr.cinefile.ch/movie/34730-santosh)**\n\n> « Polar captivant et puissamment féministe. »\u003Cbr>**Time Out**\n\n> « _Santosh_, son réalisme et sa complexité – ou encore par son plan final, mélancolique et très cinématographique. »\u003Cbr>**Mathieu Loewer, _Ténèbres indiennes_, [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2025/04/10/tenebres-indiennes/)**\n\n> « Nul besoin de connaître la culture indienne ou les films de Bollywood pour apprécier _Santosh_. La finesse du scénario, le clair-obscur des images, en écho à des certitudes qui, en un quart de tour de caméra, se retrouvent remises en question, suffisent à faire de ce film un récit haletant qui se suit d’une traite sur ses quelque deux heures de durée. Devant l’impossibilité de tourner un documentaire depuis l’intérieur sur la police indienne, Sandhya Suri, Britannique d’origine indienne, s’est tournée vers la fiction pour raconter les violences faites aux femmes. Suivant sa propre boussole morale, convaincue qu’un travail bien fait peut contribuer à rendre la justice un peu plus égalitaire entre intouchables et privilégiés, le parcours de Santosh l’amène petit à petit de déconvenue en déconvenue, jusqu’à une dernière désillusion brutale.\n>\n> 30 ans plus tôt, Sharma a dû se battre pour être acceptée comme policière dans un milieu d’hommes, comme elle l’explique à sa jeune collègue encore pleine d’idéaux. Si sa cheffe parle beaucoup, Santosh, en revanche, est une femme de peu de mots. C’est par le regard qu’elle communique, quand un haussement de sourcils ou l’ombre d’un sourire sont plus parlants que de longues explications. Porté par d’excellentes actrices, le film doit également beaucoup aux non-professionnels qui campent les seconds rôles. Violence, corruption et misogynie sont la réalité quotidienne à laquelle les femmes, mais aussi les hommes des castes inférieures, ou appartenant à une minorité religieuse, doivent faire face.\n>\n> À peu près au même moment où sortent les séries Netflix «Adolescence», qui met en lumière les conséquences dramatiques d’une certaine masculinité toxique vantée sur les réseaux sociaux et «De rockstar à tueur : le cas Cantat», _Santosh_ arrive sur les écrans. En 2012, le viol collectif dans un bus puis le meurtre sauvage d’une jeune femme à New Delhi avait fait le tour de la planète. Parmi les policiers chargés du maintien de l’ordre dans les manifestations qui avaient suivi, un seul visage de femme: c’est de cette image qu’est partie Sandhya Suri pour raconter son histoire, par les yeux de Santosh. Six ans plus tôt, Weinstein et #metoo avaient déclenché un mouvement planétaire de combat pour le droit à l’égalité. Est-ce suffisant? Manifestement, non. La route est encore longue.. »\u003Cbr>**Laurine Chiarini, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/film/2024/Santosh/critique.html)**\n\n> « Avec une éthique irréprochable et un talent indéniable, ce film explore les réalités sociales complexes de l’Inde : injustice, violence collective imprégnant consciemment ou non l’individu, inégalités de genre et de statut. La trajectoire de la protagoniste, à la fois dans son évolution sociale et son cheminement intérieur, est rendue avec une finesse exceptionnelle, transformant ses fragilités en une force morale et suscitant une empathie profonde chez les spectateur·rices, sans jamais tomber dans la victimisation. Parfaitement aboutie et ciselée, cette première œuvre de la réalisatrice indienne Sandhya Suri délivre un message lumineux de dignité humaine. »\u003Cbr>[**Grand Prix Fiction FIFDH**](https://fifdh.org/festival/actualites/palmares-2025/)\n\n> « _Santosh_ mérite véritablement d’être vu par le plus grand nombre. C’est aussi l’occasion de découvrir un cinéma d’auteur indien, peu ou mal connu en Europe, et de réfléchir aux enjeux de progrès social qui continuent de peser sur une majorité des pays dits émergents.»\u003Cbr>**Laurent Cambon, [aVoir-aLire](https://www.avoir-alire.com/santosh-sandhya-suri-critique)**\n\n> « Présenté lors du dernier Festival de Cannes aux côtés de deux autres films indiens mettant comme lui en scène des personnages féminins se débattant avec leur désir de liberté, _Santosh_ est le récit d’une impasse mais incarne la promesse d’un renouveau du cinéma indien. »\u003Cbr>**Bruno Deruisseau,[ Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/santosh-ou-la-belle-promesse-de-renouveau-du-cinema-indien-622054-14-07-2024/)**","Santosh ist gerade einmal 28 Jahre, als ihr Mann bei einem Aufruhr ums Leben kommt. Durch ein Programm der indischen Regierung wird ihr sein Posten bei der Provinzpolizei vererbt. Die erfahrene Polizistin Sharma nimmt sie unter ihre Fittiche und gemeinsam beginnen sie, im Mordfall eines Mädchens aus einer unteren Kaste zu ermitteln. Santosh wird dabei mit der harten Realität patriarchaler Machtstrukturen konfrontiert, in der Korruption und Willkür, aber auch das angstvolle Schweigen der Opferfamilien an der Tagesordnung sind. Ihre Mentorin zeigt ihr zwar, wie sie sich als Frau in diesem System behaupten kann. Doch zu welchem Preis? (IFFMH)","> «Packend und kraftvoll feministisch.»\u003Cbr>**Phil de Semlyen, [_Time Out_](https://www.timeout.com/movies/santosh-review-2024)**\n\n> «Eine strahlende Botschaft menschlicher Würde.»\u003Cbr>**Jury, [_FIFDH_](https://fifdh.org/festival/actualites/palmares-2025/)**\n\n> «Nach _All We Imagine as Light_ kommt mit Sandhya Suris Erstling _Santosh_ ein weiterer indischer Film in unsere Kinos, der einen Wendepunkt in Mumbai zu markieren scheint. Endlich übernehmen Regisseurinnen die Zügel unabhängiger Produktionen, die sich mit der Realität auseinandersetzen, auf Bollywood-Konventionen verzichten, um einen anderen Blickwinkel einzunehmen und Missstände der indischen Gesellschaft anzuprangern.»\u003Cbr>**Norbert Creutz, [_Cinefile_](https://de.cinefile.ch/movie/34730-santosh#shortcriticscinefile)**\n\n> «Das Debüt der britisch-indischen Regisseurin Sandyha Suri ist alles andere als ein postkolonialer „Problemfilm“ für ein selbstgerechtes westliches Publikum. Beklemmend präzise und hervorragend gespielt, analysiert _Santosh_ die Selbsterhaltungsmechanismen jedes (Unrechts-)Systems, das alle korrumpiert, denen es Zugang gewährt - egal wie sehr sie selbst diskriminiert werden.»\u003Cbr>**Julia Zutavern, [_WOZ_](https://www.woz.ch/path-preview/node/94507)**\n\n> «Der Film funktioniert hervorragend als Ermittlungsgeschichte voller Suspense und Gewalt, aber gleichzeitig als subtile Schilderung weiblicher Erkenntnis- und Anpassungsprozesse innerhalb einer offen sexistischen Gesellschaft – mithin als packender Spiegel unserer eigenen, deutlich versteckteren Verhältnisse.»\u003Cbr>**Michael Sennhauser, [_sennhausersfilmblog.ch_](https://sennhausersfilmblog.ch/2025/05/20/santosh-von-sandhya-suri/)**\n\n> «Die britisch-indische Regisseurin Sandhya Suri beschäftigt sich in ihrem ersten Spielfilm mit polizeilicher Diskriminierung in Nordindien: Die Bewohner:innen in der Provinz erfahren Ablehnung und Gewalt aufgrund von Kaste, Geschlecht, Hautfarbe und Religion. Statt bewusster Systematik zeigt der Film eine unreflektierte, kulturelle Prägung: Diskriminierung als Selbstverständlichkeit.»\u003Cbr>**Jonas Stetter, [_Filmbulletin_](https://www.filmbulletin.ch/articles/santosh-suri-kritik)**\n\n> «„Es gibt zwei Arten von Unberührbaren in diesem Land. Diejenigen, die niemand berühren will, und diejenigen, die niemand berühren darf“, lautet hier das Verdikt zur indischen Gesellschaft. In den indischen Kinos waren Sätze wie dieser jedoch nicht zu hören: Die Zensurbehörde verweigerte die Freigabe des Films. Trotz aller Gesellschaftskritik ist _Santosh_ im Kern ein spannungsgeladener Krimi, der solide mit den stilistischen Mitteln des Film Noir arbeitet: vom nächtlichen Stadt-Moloch und dem Zynismus seiner Bewohner bis hin zur expressionistischen Lichtgestaltung.»\u003Cbr>**Louis Riedo, [_Freiburger Nachrichten_](https://freiburger-nachrichten.ch/story/224684/die-unber%C3%BChrbaren)**\n\n> «Man braucht weder Bollywood-Erfahrung noch Vorwissen über Indien, um _Santosh_ zu verstehen. Die Geschichte ist universell. Visuell beeindruckend, dicht erzählt und emotional berührend, zieht der Film einen sofort in seinen Bann. Licht und Schatten, Blickwinkel und Nuancen – vieles in diesem Film geschieht zwischen den Zeilen. Genau das macht ihn so stark.»\u003Cbr>**Laurine Chiarini, [_Cineman_](https://www.cineman.ch/article/kritik-santosh-wenn-ideale-auf-die-realit%C3%A4t-prallen)**\n\n> ★★★★★ «Das Spielfilmdebüt der britisch-indischen, ehemaligen Dokumentarfilmerin Sandhya Suri ist ein kraftvoller, spannungsgeladener Polizeithriller in Hindi, der im ländlichen Nordindien spielt. Das elegant von Suri selbst geschriebene Drehbuch verbindet packendes, realistisches Erzählen mit einem feinen Gespür für die dunklen Seiten des modernen Indien – Polizeikorruption und -gewalt, tief verwurzelten Sexismus, Kastenvorurteile und antimuslimische Stimmung. Der Film meistert die schwierige Balance zwischen kluger, gesellschaftskritischer Auseinandersetzung und mitreissender Unterhaltung.»\u003Cbr>**Wendy Ide, [_The Guardian_](https://www.theguardian.com/film/2025/mar/22/santosh-review-gripping-police-procedural-about-the-murky-side-of-modern-india-sandhya-suri)**\n\n> «Das beeindruckende Spielfilmdebüt der britisch-indischen Dokumentarfilmerin Sandhya Suri verbindet eine düstere Geschichte mit einer geschickten Auseinandersetzung über die modernen Problematiken Indiens: Polizeibrutalität, Korruption, Sexismus und Rassismus. Der Thriller wird durch Goswamis beeindruckende Leistung getragen und lässt einen mit einem Gefühl zwischen Frustration über die vorherrschenden Verhältnisse und aufkeimender Hoffnung auf Veränderung zurück.»\u003Cbr>**Sarah Stutte, _DEADLINE_**\n\n> «Man spürt die Herkunft Suris vom Dokumentarfilm in der Einbettung der Handlung in einen atmosphärisch dicht eingefangenen sozialen Hintergrund. Verstärkt wird die quasidokumentarische Qualität dabei durch den Verzicht auf extradiegetische Musik.Nie verselbstständigt sich diese Milieuschilderung aber, sondern bleibt immer eingebunden in eine stringent und fesselnd entwickelte Thrillerhandlung.»\u003Cbr>**Walter Gasperi, [_film-netz_](https://www.film-netz.com/post/santosh-filmkritik-indien-thriller-sandhya-suri)**\n\n> «Eine kraftvolle „Momentaufnahme der indischen Gesellschaft“.»\u003Cbr>**Lelo Jimmy Batista, [_Libération_](https://www.liberation.fr/culture/cinema/santosh-caste-and-furious-20240716_QRTXVAVKTFCFTDYZ7CNFWQJIOE/?redirected=1&redirected=1&redirected=1)**\n\n> «_Santosh_ fesselt nicht nur als packender Thriller und psychologische Studie, sondern weist auch eine dokumentarische Schärfe auf, die indische soziale Phänomene mit intensiver analytischer Präzision untersucht.»\u003Cbr>**Jonathan Romney, [_Financial Times_](https://www.ft.com/content/a7ed8918-5114-4771-9d20-5ef962157d8f)**\n\n> «Ein vielversprechender Neuanfang für das indische Kino.»\u003Cbr>**Bruno Deruisseau, [_Les Inrockuptibles_](https://www.lesinrocks.com/cinema/santosh-ou-la-belle-promesse-de-renouveau-du-cinema-indien-622054-14-07-2024/)**\n\n> ★★★★★ «Tiefe Einblicke in eine ungleiche und harte nordindische Gesellschaft, die in Opfer und Täter geteilt ist.»\u003Cbr>**Doris Senn, [_arttv.ch_](https://arttv.ch/film/santosh/)**\n\n> ★★★★ «Auf eine komplexe, dysfunktionale Weise, die sie selbst nicht ganz versteht, befindet sich Santosh auf einer persönlichen Mission – um einen Abschluss zu finden oder Rache für ihren Ehemann zu nehmen. Goswami lässt uns ihren stillen Stolz und sogar die unterdrückte Euphorie in der Polizeiuniform spüren: Als Frau war sie ihr ganzes Leben lang Bürgerin zweiter Klasse, und obwohl sie den arroganten und nachlässigen männlichen Kollegen untergeordnet ist, verleiht ihr die Uniform eine neue Selbstsicherheit auf der Strasse. Wie war ihre Beziehung zu ihrem Mann? Es war eine „Liebesheirat“, sagt sie – gegen den Widerstand seiner Familie, die die dürftige Mitgift missbilligte. Aber liebt sie ihren Mann jetzt vielleicht am meisten wegen seiner Abwesenheit, seines Opfers – weil er sie neu erschaffen hat: als Santosh, die Polizistin, die Ermittlerin, die Rächerin? Es ist ein harter, drahtiger und äusserst befriedigender Film.»\u003Cbr>**Peter Bradshaw, [_The Guardian_](https://www.theguardian.com/film/2025/mar/21/santosh-review-india-police-sexist-caste-sunita-rajwar-shahana-goswami)**\n\n> «So ist _Santosh_ sehr zugänglich und führt den Zuschauenden vor Augen, wie Diskriminierung in anderen Teilen der Welt aussieht. Eine Gesellschaft benötigt kein Kastensystem, um die Menschen in Schichten einzuteilen und sie zu werten. Doch am Beispiel Indiens wird diese Praxis noch ein Stück klarer.»\u003Cbr>**Nora Nater, [_Outnow_](https://outnow.ch/Movies/2024/Santosh/Review/)**","**Mit** Shahana Goswami, Sanjay Bishnoi, Sunita Rajwar\u003Cbr>**Drehbuch** Sandhya Suri **Kamera** Lennert Hillege **Schnitt** Maxime Pozzi-Garcia **Produktion** Good Chaos","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZNucxZWXzEaB4TYUj5v6DXCHkbTXI7S5pX","https://www.youtube.com/watch?v=j24Qap6_6bQ","> « Avec une éthique irréprochable et un talent indéniable, ce film explore les réalités sociales complexes de l’Inde : injustice, violence collective imprégnant consciemment ou non l’individu, inégalités de genre et de statut. La trajectoire de la protagoniste, à la fois dans son évolution sociale et son cheminement intérieur, est rendue avec une finesse exceptionnelle, transformant ses fragilités en une force morale et suscitant une empathie profonde chez les spectateur·rices, sans jamais tomber dans la victimisation. Parfaitement aboutie et ciselée, cette première œuvre de la réalisatrice indienne Sandhya Suri délivre un message lumineux de dignité humaine. » [**Grand Prix Fiction**](https://fifdh.org/festival/actualites/palmares-2025/) **FIFDH**\n>\n> « Un film dont l’histoire est située au cœur de l’Inde : **_Santosh_**, de la réalisatrice Sandhya Suri, si l’intrigue tortueuse est absolument captivante, c’est surtout la façon dont la culture du pays se révèle à travers ce genre de cinéma qui est passionnante. » Thierry Jobin, [FIFF](https://www.fiff.ch/fr/le-fiff-transforme-son-public-en-detective)","> «Zwischen Justiz und Kastensystem: Mit grosser Wucht erzählt Sandhya Suri davon, was es heute bedeutet, eine Frau in Indien zu sein. Feministisches, politisch hochaktuelles und zugleich spannungsreiches Kino.» [IFFMH](https://www.iffmh.de/festival/unser-filmprogramm/filme/santosh/index_ger.html) - **Ab 22. Mai im Kino**","https://filmservice.net/films/4767","santosh","https://sister-distribution.ch/movie/santosh?preview=true",[837],"Inde",[839],"India",[],[347],[16],[844,845,846,847,848,849,850,851,852,853,854,855,856,857,858,859,860,861,862,863,864,865,866,867,868],358,359,368,387,402,405,406,407,408,410,411,412,415,430,431,432,433,434,435,436,437,438,442,445,446,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/SANTOSH_VIGNETTE_hVTlk.jpg",{"Id":16,"Title":871,"Description FR":872,"Actus":54,"Trailer FR":873,"Director":874,"Year":219,"Credits FR":875,"Duration":303,"Release FR":876,"Release DE":54,"SUISA":877,"VOD":54,"Media FR":878,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":55,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":879,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":880,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":881,"Teaser DE":54,"DCP":882,"Events":745,"Slug":883,"mId":16,"preview url fr":884,"Country FR":885,"Country DE":886,"FCollections":887,"FTags":888,"TagIds":889,"FEvents":890,"img":905},"AUTOUR DU FEU","Deux anciens membres de La Bande à Fasel, un groupuscule anticapitaliste armé de Suisse romande, se retrouvent autour d’un feu de camp avec trois jeunes militantes de la ZAD du Mormont, de XR Rébellion et de collectifs antiracistes suisses. Ces cinq personnages passeront toute une nuit à s’interroger sur la désobéissance civile et sur les formes plus radicales de la révolte. Jusqu’où peut-on aller pour défendre ses idéaux?\u003Cbr />🔥\u003Cbr />[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://cinedoc.ch/programmation/saison-9/autour-du-feu\">Avec Ciné-Doc du 9 au 26 janvier 2025.\u003C/a>](https://cinedoc.ch/programmation/saison-9/autour-du-feu)","https://youtu.be/IvMa4Mk1jKQ?si=1n0e--yYuYrvWjQ4","Laura Cazador & Amanda Cortés","**Une production** DOK MOBILE **Réalisée et écrite** par Laura Cazador et Amanda Cortés\n**Image** Guillaume Epars **2ème caméra** Maxime Beaud **Son** Igor Marlot **Perche** Adrien Iseli **Montage** Natasha Degrandi et Amanda Cortés **Montage additionnel** Noémie Ruben **Musique** Fernando De Miguel **Musique finale** Paul Courlet et Carla Claros Rollano **MIxage** Philippe Ciompi **Montage son** Mathis Damour\n","2025-01-08",1020.165,"> « Flammes dansantes, chaleur plus ou moins vive au gré des mouvements, crépitement irrégulier – le feu fascine depuis la nuit des temps. C’est autour de ce symbole à la fois simple et puissant que les réalisatrices Laura Cazador et Amanda Cortés ont décidé d’organiser une rencontre entre activistes d’aujourd’hui (XR Rebellion, ZAD du Mormont et collectifs antiracistes) et ancien·ne·x·s militant·e·x·s du groupuscule armé anticapitaliste romand La Bande à Fasel. Les cinq protagonistes du film ont toute la nuit devant elleux pour échanger sur leurs luttes. Iels découvrent au fil de la discussion les similitudes entre l’activisme d’hier et celui d’aujourd’hui, mais aussi les évolutions. La désobéissance civile prend différents visages, et si les méthodes divergent grandement, un ennemi commun subsiste : le capitalisme. Mais s’engage-t-on aujourd’hui pour les mêmes causes qu’hier ? La répression est-elle la même ? Qu’est-ce que la violence ? Comment le militantisme est-il perçu des années plus tard ? Autant de questionnements qui jaillissent telles des étincelles et qui soulignent la puissance, mais aussi les limites de l’action collective.\n> _Autour du feu_ aborde une thématique brûlante d’actualité avec une rare authenticité. »\n**Manon Brügger, Amnesty**\n\n> « _Autour du feu_ ouvre un espace de discussion devenu extrêmement rare pour une parole de gauche radicale. L’occasion de s’y frotter par écran interposé, avec ses contradictions, ses enseignements et ses élans utopiques. »\n**Boris Senff, _Un film pour un militantisme flambant neuf_, Le Matin Dimanche**\n\n> « Le prix «Visioni» va au film «Autour du feu» de Laura Cazador et Amanda Cortés pour un film courageux et risqué qui – avec un dispositif simple mais original -aborde de manière inattendue mais prenante un sujet à la fois complexe et très actuel.\n> En installant avec une vraie démarche d’auteur des personnages déterminés mais aussi vulnérables autour d’un simple feu l’espace d’une nuit, les réalisatrices offrent une profonde réflexion sur l’engagement, l’activisme et notre rapport au politique, à la révolte, à la loi et à la communauté.\n> Un documentaire nécessaire qui explore les limites, les zones troubles, et qui rassemble et confronte différentes générations pour nous parler du monde d’aujourd’hui et des problématiques auxquelles chacun est confronté comme citoyen. »\n**[Le prix du jury «Visioni», Soleure 2024](https://www.solothurnerfilmtage.ch/fr/magazine/59/hommage-Fran%C3%A7ois-Musy)**\n\n> « Autres temps, autres mœurs. Si les combats sont restés les mêmes (anticapitalisme, antiracisme, féminisme, écologie), le contexte et les méthodes ont changé. Dans la société actuelle, où toute personnalité publique est sommée de «condamner les violences», celles-ci sont devenues intolérables et la nouvelle génération prône désormais la désobéissance civile. Mais de quelles violences parle-t-on? En comparaison avec la lutte armée, le terme est-il adéquat lorsqu’il désigne des occupations, blocages, sabotages et autres actions symboliques?\n> Autour du feu, on s’accorde à dénoncer la violence disproportionnée de l’Etat, de l’assaut quasi militaire de la colline du Mormont par 600 pandores à la nouvelle loi sur les mesures policières et de lutte contre le terrorisme (MPT) – les innovations technologiques permettant une surveillance accrue de la population, au nom de la lutte contre le terrorisme. Dans le sillage du documentaire _Un pays qui se tient sage_ (David Dufresne, 2020), sur la répression policière des Gilets jaunes en France, Laura Cazador et Amanda Cortés poursuivent ainsi une réflexion nécessaire sur le monopole de la «violence légitime», détenu par des gouvernements toujours plus autoritaires et hostiles aux mouvements de contestation (systématiquement criminalisés), plus préoccupés par l’«écoterrorisme» que par la menace (elle, bien réelle) du terrorisme d’extrême droite.\n> En 80 minutes, _Autour du feu_ n’épuise pas le sujet – mais l’aborde sous un angle inédit, loin du romantisme révolutionnaire, et à la lumière de préoccupations très contemporaines. »\n**Mathieu Loewer, _La fin et les moyens_,[ Le Courrier ](https://lecourrier.ch/2024/01/11/la-fin-et-les-moyens/)**\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZeineZeO3KW0zTFDX6T2tYQKRtR0oQIFPy","https://www.movies.ch/fr/kinoprogramm/f/autourdufeu/","Jusqu’où peut-on aller pour défendre ses idéaux?\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZeKWwZYESJahiWv8jbjwgNiEOLRu9JwXdy","autour-du-feu","https://sister-distribution.ch/movie/autour-du-feu?preview=true",[454],[458],[],[347],[16],[891,892,893,894,895,896,897,785,898,899,408,900,901,902,903,904],56,59,65,53,62,64,58,51,60,63,44,49,50,339,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/VignetteAutourdufeu_0THFb.jpg",{"Id":158,"Title":907,"Description FR":908,"Actus":54,"Trailer FR":909,"Director":784,"Year":441,"Credits FR":54,"Duration":301,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":910,"Catalogue":10,"Description DE":911,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":793,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":912,"Quote DE":54,"Teaser FR":913,"Teaser DE":54,"DCP":914,"Events":449,"Slug":915,"mId":158,"preview url fr":916,"Country FR":917,"Country DE":918,"FCollections":919,"FTags":920,"TagIds":922,"FEvents":924,"img":932},"DE NOS JOURS ... 우리의 하루","IN OUR DAY (우리의 하루) \nDeux conversations en alternance à Séoul : une ancienne actrice est sollicitée par une débutante tandis qu’un vieux poète reçoit un admirateur. Les deux vedettes esquivent les questions existentielles de leur interlocuteur, la première songe à sa récente reconversion et le second bataille avec son sevrage d’alcool et de tabac.\n","https://youtu.be/035x2p-rA0o","> « Jouer à chifoumi, observer une plante grandir, savourer seul une cigarette en buvant un verre de whisky… _De nos jours_ est plus que jamais attentif aux infinitésimaux ravissements de la vie. Depuis deux films donc, HSS nous dit qu’il ne voit plus rien (le flou d’_In Water_), et pourquoi il ne voit plus rien (l’impossibilité à arrêter ce qui l’empoisonne). Bouleversant, et sublime. »\u003Cbr>**Bruno Deruisseau, _Un Hong Sangsoo aussi drôle que bouleversant_, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/de-nos-jours-un-hong-sang-soo-aussi-drole-que-bouleversant-577003-19-07-2023/)**\n\n> « Une poignée de personnages, des situations quotidiennes et des conversations anecdotiques, à première vue. Succédant sur nos écrans à Introduction et In Water, De nos jours ne déroge pas à ce minimalisme narratif, avec deux micro-récits déroulés en parallèle. Ici, une aspirante comédienne rend visite à une ancienne actrice, hébergée par sa cousine. Là, un poète accueille chez lui un jeune admirateur et une étudiante qui lui consacre un documentaire.\n>\n> Mine de rien, c’est du sens de la vie dont on discute dans ce film, entre deux silences gênés, quelques larmes et une partie de feuille-caillou-ciseaux bien arrosée. Pour aboutir à un constat doux-amer opposant grandes aspirations et petits plaisirs. Une leçon de philosophie à méditer, délivrée par un cinéaste sexagénaire qui questionne humblement la condition humaine. »\u003Cbr>**Mathieu Loewer, _Leçon de sagesse_, [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2025/07/31/lecon-de-sagesse/)**\n\n> « Le maître coréen Hong Sangsoo est de retour avec un _De nos jours…_ typiquement délicieux. Un film pour les adeptes du minimalisme décroissant, ou ceux qui y aspirent.\n>\n> Une poignée d’acteurs dans deux-trois décors quotidiens, des dialogues à profusion et un peu d’alcool, il tient son nouveau film. Pourtant, on peut désormais affirmer qu’en une trentaine depuis 1996, ce Coréen a bâti une des œuvres les plus originales, cohérentes et essentielles du 7e art. Les habitués se réjouiront forcément de ce _De nos jours…_ proposé en distribution huit mois après _In Water_. Mais tous les autres devraient essayer au moins une fois. Pour voir si d’aventure ça ne serait pas plus intéressant que _Mission: Impossible 8_ ou autres _F1_. Pour nous, l’affaire est entendue: c’est oui. »\u003Cbr>**Norbert Creutz, _La vie avec philosophie selon Hong Sangsoo_, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/de-nos-jours-la-vie-avec-philosophie-selon-hong-sang-soo)**\n\n> « Presque un huis clos, si l’on excepte un plan de la fin. Et en réalité un double huis clos, puisque le film met (et monte) en parallèle deux conversations qui prennent place à Séoul. Dans l’une, une actrice prodigue des conseils à une débutante. Dans l’autre, un poète reçoit la visite d’un admirateur. La trame est simple, la structure élégante par son côté épuré rappelant les haïkus, avec deux récits qui se renvoient l’un à l’autre et forment une sorte de boucle invisible. »\u003Cbr>**Pascal Gavillet, [_Tribune de Genève_](https://www.tdg.ch/sorties-cinema-superman-i-love-peru-buffalo-kids-992920866889)**\n\n> « On dit qu’il tourne au moins deux films par an, et c’est vrai. On dit aussi que ses personnages passent beaucoup de temps attablés, occupés à manger un peu, à boire beaucoup, et ce n’est pas faux… Ces faits avérés, le cinéaste coréen reste l’un des plus ambitieux du monde, non par ses budgets, qui ne cessent de diminuer (il fait presque tout lui-même, musique comprise), mais par sa hauteur de vue. À travers des conversations banales en apparence, il prolonge et enrichit, de film en film, une réflexion sur le sens de l’existence, que chacun peut s’approprier ou confronter à la sienne, car les idées et les arguments se bousculent, contradictoires, formulés par des protagonistes de tous âges.\n>\n> La singularité de _De nos jours_… réside dans le parallèle entre deux histoires qui ne se croisent pas. Un vieux poète, adulé, à son propre étonnement, par quelques étudiants, reçoit dans son appartement un jeune admirateur, qui semble attendre de lui un mode d’emploi de la vie… À l’autre bout de Séoul, une actrice ayant renoncé à faire carrière, installée chez une amie fidèle, est, elle aussi, questionnée par une aspirante comédienne sur ce métier en partie abandonné. »\u003Cbr>**Louis Guichard, _Un irrésistible conte moral,_ [Télérama](https://www.telerama.fr/cinema/de-nos-jours-un-irresistible-conte-moral-signe-hong-sang-soo-7027371.php)**","IN OUR DAY Abwechselnd werden zwei Gespräche in Seoul gezeigt: Eine Schauspielerin wird von einer Anfängerin um Hilfe gebeten; ein alter Dichter empfängt einen Bewunderer. Die beiden Stars weichen den existenziellen Fragen ihrer Gesprächspartner aus, zwischen Essen, Alkohol, Gitarre oder Siesta, aber auch Spielen mit einer Katze und einer Partie Schere-Stein-Papier. Die eine denkt darüber nach, den Beruf aufzugeben, der andere kämpft mit seinem Alkohol- und Tabakentzug. _In Our Day_ ist ein Haiku, das uns einlädt, nach dem zu suchen, was uns wichtig ist, was das Salz in der Suppe unseres Lebens ist.\n","De nos jours..., à la manière d’un haïku, invite à guetter ce qui importe intimement, ce qui fait le sel, chaque jour, de notre vie.\n","Immense cinéaste sud-coréen s’il en est, Hong Sang-soo poursuit une carrière toujours plus stupéfiante. Artisan de génie, assurant ici tant le scénario, les prises de vues que le montage, il nous gratifie avec son 32e long-métrage d’une miniature ineffable, qu’il nous faut nous garder de prendre de haut. «De nos jours» alterne deux rencontres sur une journée. Dans la première, une ancienne actrice reçoit une jeune admiratrice. La seconde voit un vieux poète sevré d’alcool et de cigarettes se confronter à un disciple avide de son expérience. Avec, à la clef, en dépit de son apparente et trompeuse simplicité, l’un des films les plus profonds du maître, l’un de ses plus drôles aussi… Le cinéma fait haïku! (Passion Cinéma)\n\n \u003Cbr> **Mine de rien, c’est du sens de la vie dont on discute dans ce film** ([Le Courrier](https://lecourrier.ch/2025/07/31/lecon-de-sagesse/))","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZLUF6Z1eMtX1TQ8ySW2Ct6kgLr67N2cqTk","de-nos-jours-","https://sister-distribution.ch/movie/de-nos-jours-?preview=true",[799],[801],[],[189,94,921,804,784],"Comédie",[191,12,923,745,551],26,[925,607,926,120,927,164,928,929,930,931],66,67,69,68,510,511,512,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/DNJvignette_XWuNt.jpg",{"Id":934,"Title":935,"Description FR":936,"Actus":54,"Trailer FR":937,"Director":938,"Year":939,"Credits FR":940,"Duration":941,"Release FR":942,"Release DE":943,"SUISA":944,"VOD":945,"Media FR":946,"Catalogue":10,"Description DE":947,"Media DE":948,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":949,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":950,"Ton Cinéma":55,"Quote FR":951,"Quote DE":952,"Teaser FR":953,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":31,"Slug":954,"mId":934,"preview url fr":955,"Country FR":956,"Country DE":958,"FCollections":960,"FTags":961,"TagIds":963,"FEvents":965,"img":969},43,"I AM NOT YOUR NEGRO","Depuis 1979 l’écrivain américain James Baldwin travaille sur son oeuvre \"Remember This House\" qui relate l’assassinat de ses amis Medgar Evers, Malcolm X et Martin Luther King. Mais avant d’avoir pu achever son travail, il décède en 1987.\n","https://www.youtube.com/watch?v=IBGZNRgyoeU&ab_channel=SisterDistribution","Raoul Peck",2016,"**Avec la voix de** Samuel L. 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Jackson), Raoul Peck y ajoute encore la puissance des images au-delà de la simple illustration. Il convoque en effet de nombreuses archives et interviews de l’époque, moult extraits de films (que Baldwin avait commentés), mais aussi des sources plus récentes qui soulignent la pertinence intacte du diagnostic. Tel ce terrible montage compilant six décennies de violences policières. Un film nécessaire, qui montre moins le chemin parcouru que la voie à suivre. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2017/03/21/lamerique-en-noir-et-blanc/)**\n","Als der US-Schriftsteller James Baldwin im Dezember 1987 starb, hinterließ er ein 30-seitiges Manuskript mit dem Titel „Remember This House“. Das Buch sollte eine persönliche Auseinander-setzung mit den Biografien dreier enger Freunden werden, die alle bei Attentaten ermordet wurden: Martin Luther King, Malcolm X und Medgar Evers. Die persönlichen Erinnerungen an die drei großen Bürgerrechtler verknüpft Baldwin mit einer Reflektion der eigenen, schmerzhaften Lebenserfahrung als Schwarzer in den USA.\n_I Am Not Your Negro_ schreibt Baldwins furioses Fragment im Geiste des Autors filmisch fort und verdichtet es zu einer beißenden Analyse der Repräsentation von Afro-Amerikanern in der US- Kulturgeschichte. Baldwins Worte ertönen über Archivfotos, Filmausschnitte und Nachrichten-Clips der 1950er und 60er Jahre, die noch von Rassentrennung und einer beinah vollkommenen Unsichtbarkeit der Schwarzen in Hollywoods geprägt waren; sie erzählen von der Formierung der schwarzen Bürgerrechtsbewegungen und Baldwins kompliziertem Verhältnis zum Black-Power-Movement. In einer kühnen Erweiterung des literarischen Texts spannt der Film den Bogen bis in die Jetztzeit: zur noch heute gegenwärtigen weißen Polizeigewalt gegen Schwarze, den Rassenunruhen von Ferguson und Dallas und der Black-Lives-Matter-Bewegung.\nIn einem hochpolitischen Prozess der Aneignung schreibt _I Am Not Your Negro_ damit die US- Geschichte aus einer bis heute unterdrückten Perspektive neu. Der aus Haiti stammende Regisseur Raoul Peck („Lumumba“, 1992/2000; „Der Mann auf dem Quai“, 1993; „Der junge Karl Marx“, 2017) wurde für seinen mitreißenden Dokumentarfilm-Essay auf der diesjährigen Berlinale mit stehenden Ovationen gefeiert und mit dem Panorama-Publikums-Preis ausgezeichnet. Der Film war zudem für den Oscar als Bester Dokumentarfilm nominiert.\n","> \" _Der Schwarze ist nie so fügsam gewesen, wie der Weiße es glaubt_, lacht er, und es ist ein Vergnügen, James Baldwin zuzusehen und zuzuhören, denn mit seinem Clowngesicht à la Henri Salvador, kombiniert mit dem pharaonischen Hochmut eines Miles Davis, verkörpert er den aufrüttelnden Aufruf zur universellen Brüderlichkeit.\"\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2017/03/21/lamerique-en-noir-et-blanc/)**\n\n> \" Raoul Peck dem afroamerikanischen Schriftsteller James Baldwin ein faszinierendes Denkmal – und legt zugleich eine messerscharfe Analyse des Rassimus in den USA vor.\n> So entwirft er das Bild eines unerhört klugen und brillanten Gesellschaftskritikers, der komplexe Zusammenhänge auf den Punkt zu bringen vermag, ohne sie zu verfälschen. Die Geschichte der Afroamerikaner, sagt Baldwin, lasse sich nicht von der Geschichte Amerikas trennen. Im Gegenteil: _Die Geschichte des Negers ist die Geschichte Amerikas. Und sie ist keine schöne Geschichte_. \"\n**Philipp Brunner - [Filmbulletin](https://www.filmbulletin.ch/articles/i-am-not-your-negro/)**\n","**Mit der Stimme von** Samuel L. Jackson\n\n**Drehbuch** Raoul Peck, nach James Baldwin **Image** Henry Adebonojo, \nBill Ross und Turner Ross **Ton** Valérie Le Docte und David Gillain \n**Schnitt** Alexandra Strauss **Komponist** Alexei Aigui **Produktion** Velvet Film, \nArtémis Productions, Velvet Film Inc., ITVS International, ARTE G.E.I.E., RTBF - Radio Télévision Belge Francophone, Close Up Films und RTS Radio Télévision Suisse\n","https://www.youtube.com/watch?v=Oet6VMxgORc&ab_channel=SisterDistribution","Raoul Peck — « Une oeuvre de cinéma, qui met cet art au service des mots longtemps oubliés de Baldwin. » Le Monde\n","Raoul Peck — « Ein Werk des Kinos, das diese Kunst in den Dienst von Baldwins lange vergessenen Worten stellt. » Le Monde"," « Une oeuvre de cinéma, qui met cet art au service des mots longtemps oubliés de James Baldwin. » Le Monde","i-am-not-your-negro","https://sister-distribution.ch/movie/i-am-not-your-negro?preview=true",[398,87,454,957],"Belgique",[400,90,458,959],"Belgien",[],[403,242,544,96,962],"Quête identitaire",[407,83,20,27,964],20,[966,967,968],382,390,391,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/AfficheIANYN_qh7en.jpg",{"Id":895,"Title":971,"Description FR":972,"Actus":54,"Trailer FR":973,"Director":784,"Year":611,"Credits FR":974,"Duration":925,"Release FR":975,"Release DE":976,"SUISA":977,"VOD":978,"Media FR":979,"Catalogue":10,"Description DE":980,"Media DE":981,"Bonus FR":982,"Bonus URL":54,"Credits DE":983,"Bonus Type":54,"Pro":793,"Trailer DE":973,"Ton Cinéma":984,"Quote FR":985,"Quote DE":986,"Teaser FR":987,"Teaser DE":988,"DCP":989,"Events":45,"Slug":990,"mId":895,"preview url fr":991,"Country FR":992,"Country DE":993,"FCollections":994,"FTags":995,"TagIds":997,"FEvents":998,"img":1000},"INTRODUCTION ","Youngho cherche à se frayer un chemin entre son rêve de devenir acteur et les attentes de ses parents. Alors que sa petite amie part étudier à Berlin, le jeune homme y voit l’occasion d’un nouveau départ.\n\n인트로덕션\n","https://www.youtube.com/watch?v=YKAarWA11xk&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Shin Seokho, Ki Joobong, Park Miso, Ye Jiwon, Kim Youngho, Seo Younghwa, Kim Minhee, Cho Yunhee, Ha Seongguk\n\n**Scénario** Hong Sangsoo **Son** Seo Jihoon **Image** Hong Sangsoo \n**Montage** Hong Sangsoo **Musique** Hong Sangsoo **Production** Jeonwonsa Film Co.\n","2022-02-02","2023-03-10",1015.719,"https://www.filmingo.ch/de/films/1477-introduction","> « Ce pouvoir magique qu'a le cinéma de transcender la banalité. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/une-introduction-hong-sangsoo?fbclid=IwAR3dZEB89JhU-SpSLNX3CBGgzU5YpvAvOACzGgD700JjOsCc3L9S3w2Br1E)**\n\n> « Hong Sangsoo peaufine une grammaire qui n'appartient qu'à lui. La comédie humaine s'y joue en mode mineur et mélancolique, nimbée dans un noir et blanc laiteux. Un cinéma d'entomologiste des sentiments, où le temps s'étire en plans-séquences et donne de l'épaisseur au silence. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/02/10/hong-sang-soo-en-salle/?fbclid=IwAR1vsY2qD4HbJ4BMZnMf5QxWuuFHbF5M2MplqQ5AR0bpQOHO-PDKlmqGaQ0)**\n","Youngho versucht, einen Weg zwischen seinem Traum, Schauspieler zu werden, und den Erwartungen seiner Eltern zu finden. Als seine Freundin zum Studieren nach Berlin geht, sieht der junge Mann darin eine Chance für einen Neuanfang.\n\n인트로덕션\n","**Berlinale 2021: **[Silberner Bär für bestes Drehbuch](https://www.berlinale.de/de/festival/preise-und-jurys/internationale-jury.html)\n> Jury-Begründung: „Dieses Drehbuch schafft mehr, als eine Geschichte zu erzählen oder die Handlung effizient voranzutreiben, indem es jene flüchtigen Zwischenräume zwischen einer Handlung und der nächsten herstellt, in denen, für einen Augenblick, eine verborgene Wahrheit des menschlichen Lebens unversehens offenbart wird, hell und klar.“\n\n> „Meisterwerk! Hong Sangsoos Film erreicht einmal mehr das, was das Wesen des Kinos ausmacht: eine Kunst des Zeigens, die auch eine Kunst des Denkens ist.“\n**[Le Monde](https://www.lemonde.fr/cinema/article/2022/02/02/introduction-h6-les-jeunes-amants-les-sorties-cinema-de-la-semaine_6111913_3476.html)**\n\n> „Hong Sang-soo hat mit seinen fein gewobenen, an Éric Rohmer erinnernden Spielfilmen schon eine eigene Form von Dramolett kreiert.“\n**[Der Standard](https://www.derstandard.at/story/2000134763480/introduction-von-hong-sang-soo-treibholz-von-liebe-und-zufall)**\n\n","**Une introduction à** **_Introduction_** **(et au cinéma d'Hong Sangsoo) par le critique américain Sean Gilman :**\n\n\"Lorsque l’on regarde un film de Hong Sangsoo, il est souvent impossible de dire si nous sommes dans un rêve ou la réalité, voire dans une version alternative de la réalité. Les idéaux et les figurations envahissent et sapent constamment la réalité tangible du cinéma de Hong : les rêves, mais aussi les films et les scénarios de films (_Oki's Movie, In Another Country, Conte de cinéma_), les légendes et les histoires (_Turning Gate, Hahaha_), et même les perceptions (erronées) des autres. L'approche quotidienne de Hong, le dépouillement du vocabulaire cinématographique classique et des structures traditionnelles de l'intrigue, est-elle un combat d'arrière-garde, un dernier rempart dans cette guerre du réel contre l'imaginaire ? Et si oui, le fait paradoxal que les films de Hong soient eux-mêmes des fictions construites, aussi irréelles que des rêves, peut-il être accueilli autrement que par un rire désespéré et un autre verre de soju ?\"\n","**Mit** Shin Seokho, Ki Joobong, Park Miso, Ye Jiwon, Kim Youngho, Seo Younghwa, Kim Minhee, Cho Yunhee, Ha Seongguk\n\n**Drehbuch** Hong Sangsoo **Kamera** Hong Sangsoo **Ton** Seo Jihoon \n**Schnitt** Hong Sangsoo **Komponist** Hong Sangsoo **Produktion** Jeonwonsa Film Co.\n","https://www.ton-cinema.ch/film/introduction/","Hong Sangsoo — « Ce pouvoir magique qu'a le cinéma de transcender la banalité. » Le Temps\n","Hong Sangsoo — « Diese magische Kraft des Films, die Banalität zu transzendieren. » Le Temps","**Orso d’argento per la miglior sceneggiatura Berlino 2021**\n\n_A Seoul, il giovane Youngho fa visita allo studio del padre, un dottore agopunturista con cui non ha grandi rapporti. Il padre però è impegnato con la visita inattesa di un famoso attore, lo stesso attore che in seguito accetterà di incontrare il ragazzo per fare un favore alla madre di Youngho, preoccupata che suo figlio abbia messo da parte il sogno di diventare attore anch’egli. Nel frattempo, la ragazza di Youngho si è trasferita in Germania per gli studi universitari, approfittando dell’ospitalità di una pittrice amica di sua madre. Con una decisione impulsiva, Youngho la raggiunge a Berlino per discutere la possibilità di trasferirsi per starle vicino._\n\nIl cinema di Hong Sang-soo, a mano a mano che si semplifica, si scarnifica, si riduce all’osso, assomiglia sempre più alla vita, seppur nel velo da fantasma del bianco e nero delle immagini. È ripetizione e minima differenza, è noia e gioia, è malinconia e presenza, luce che si mescola all’ombra, grigio tra il bianco e nero, difetto e perfezione, mancanza e riempimento, vuoto e pieno. È un’eco truffautiana di corse sulla riva e lucidità da ritrovare nell’acqua gelida. Fuori e dentro la parte: “gli occhi, aprili sotto l’acqua, lavali/ con la ruvida tela asciugati e leggi/ sul foglio al muro le righe difficili della tua parte”… È sempre più la leggera follia di un pomeriggio passato a bere, tra amici, senza un obiettivo preciso, se non ritrovare un senso nella perdita di tempo, oltre i fumi dell’alcool. E questo piccolo film che è un’introduzione alla vita, una minuscola parabola di formazione, alla fine, è essenziale come tutte le cose vere. Bevete quanto vi pare, ma non vi ubriacate. Non del tutto.\n\nda Aldo Spiniello, [www.sentieriselvaggi.it](https://www.sentieriselvaggi.it/introduction-di-hong-sang-soo/)\n","**Berlinale 2021: **[Silberner Bär für bestes Drehbuch](https://www.berlinale.de/de/festival/preise-und-jurys/internationale-jury.html)\nJury-Begründung: „Dieses Drehbuch schafft mehr, als eine Geschichte zu erzählen oder die Handlung effizient voranzutreiben, indem es jene flüchtigen Zwischenräume zwischen einer Handlung und der nächsten herstellt, in denen, für einen Augenblick, eine verborgene Wahrheit des menschlichen Lebens unversehens offenbart wird, hell und klar.“\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ30mJZ1jv5ba26D18DN9GcsVPghbWLoY7X","introduction","https://sister-distribution.ch/movie/introduction?preview=true",[799],[801],[28],[189,673,921,804,784,996],"Romance",[191,571,923,745,551,713],[999],297,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/INTRODUCTION_vignettes_b7Xmy.jpg",{"Id":38,"Title":1002,"Description FR":1003,"Actus":54,"Trailer FR":1004,"Director":218,"Year":1005,"Credits FR":1006,"Duration":1007,"Release FR":1008,"Release DE":1009,"SUISA":1010,"VOD":1011,"Media FR":1012,"Catalogue":10,"Description DE":1013,"Media DE":1014,"Bonus FR":1015,"Bonus URL":54,"Credits DE":1016,"Bonus Type":54,"Pro":1017,"Trailer DE":1018,"Ton Cinéma":1019,"Quote FR":1020,"Quote DE":1021,"Teaser FR":1022,"Teaser DE":1023,"DCP":1024,"Events":45,"Slug":1025,"mId":38,"preview url fr":1026,"Country FR":1027,"Country DE":1029,"FCollections":1031,"FTags":1032,"TagIds":1035,"FEvents":1036,"img":1038},"PACIFICTION","Sur l’île de Tahiti, en Polynésie française, le Haut-Commissaire de la République De Roller, représentant de l’État Français, est un homme de calcul aux manières parfaites. Dans les réceptions officielles comme les établissements interlopes, il prend constamment le pouls d’une population locale d’où la colère peut émerger à tout moment. D’autant plus qu’une rumeur se fait insistante : on aurait aperçu un sous-marin dont la présence fantomatique annoncerait une reprise des essais nucléaires français. \n","https://youtu.be/FWuEukiHEF4",2022,"**Avec** Benoît Magimel, Pahoa Mahagafanau, Marc Susini, Matahi Pambrun, Alexandre Mello, Montse Triola et Michael Vautor\n\n**Scénario** Albert Serra **Image** Artur Tort **Son** Jordi Ribas **Montage** Albert Serra, Artur Tort et Ariadna Ribas **Musique** Marc Verdaguer **Production** Ideale Audience Group, Andergraun Films, Tamtam Film, Rosa Filmes, Arte France Cinema et Archipel Production\n",163,"2022-12-21","2022-12-29",1017.132,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1518-pacifiction","> « _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est un film ahurissant, un grand paquebot à la dérive sur un océan de rêves obscurs, un magma de fictions grouillantes, reparti injustement bredouille de Cannes tout en étant le seul à braver l'inconnu, ce territoire de cinéma à la fois réel et fantasmé que Chris Marker aurait appelé un \"dépays\". »\n\n**\u003Cstrong>Mathieu Macheret, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.cahiersducinema.com/editos/avec-les-loups/\">\u003Cstrong>Les Cahiers du Cinéma\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.cahiersducinema.com/editos/avec-les-loups/)**\n\n> « Si _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est un hymne à l’ambiguïté, cela ne concerne pas seulement les relations entre les personnages, et celles entre les personnages et l’environnement. Le film d’Albert Serra est un hymne à l’ambiguïté _\u003Cem>cinématographique\u003C/em>_, car c’est au niveau de la dramaturgie que la narration se plaît à s’égarer sur les plages de l’ambiguïté. »\n\n**\u003Cstrong>Giuseppe Di Salvatore, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.filmexplorer.ch/detail/pacifiction-albert-serra/?fbclid=IwAR2kNpg6fhw-FHfXqN5QZv7mFPQGfiB0TXcGAhMj6ACmB12kDjboXTeDqFI\">\u003Cstrong>Filmexplorer\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.filmexplorer.ch/detail/pacifiction-albert-serra/?fbclid=IwAR2kNpg6fhw-FHfXqN5QZv7mFPQGfiB0TXcGAhMj6ACmB12kDjboXTeDqFI)**\n\n> « ATTENTION, CHEF D'OEUVRE ! Immense cinéaste, le Catalan Albert Serra signe avec Pacifiction un sixième long-métrage qui aurait dû lui valoir la Palme d’or à Cannes, tant il brille par sa singularité, tel un diamant noir. »\n\n**\u003Cstrong>Vincent Adatte, Raphaël Chevalley,\u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.lqj.ch/articles/pacifiction-une-experience-doutre-cinema-inoubliable-38930?fbclid=IwAR2rbl8t9kqlcs5gvauWRPxvVh64W0ufG47UJDosbA4nZaJ1t-y61G_CStU\">\u003Cstrong> LQJ\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.lqj.ch/articles/pacifiction-une-experience-doutre-cinema-inoubliable-38930?fbclid=IwAR2rbl8t9kqlcs5gvauWRPxvVh64W0ufG47UJDosbA4nZaJ1t-y61G_CStU)**\n\n> « Pourquoi _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est le plus grand film de l’année. »\n\n**\u003Cstrong>Théo Ribeton, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.lesinrocks.com/cinema/benoit-magimel-creve-lecran-dans-pacifiction-dalbert-serra-505739-07-11-2022/\">\u003Cstrong>Les Inrockuptibles\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.lesinrocks.com/cinema/benoit-magimel-creve-lecran-dans-pacifiction-dalbert-serra-505739-07-11-2022/)**\n\n> « Jadis un peu poseur lorsqu’il se disait grand réinventeur du cinéma, l’Espagnol Albert Serra a véritablement fait sensation, à Cannes au printemps puis dans les salles cet hiver, avec un film-déambulation qui va au-delà de la narration pour suivre à Tahiti les errances d’un haut-commissaire de la République française (sidérant Benoît Magimel) confronté au spectre d’une possible réactivation des essais nucléaires. Réalisé à l’aide de trois caméras poussant les acteurs et actrices à lâcher prise lors de longues séquences tournées dans la durée, _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est un film organique et hypnotique prouvant que de nouvelles formes cinématographiques peuvent encore être inventées. »\n\n**\u003Cstrong>Stéphane Gobbo, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.letemps.ch/culture/lannee-2022-cinema-nos-coups-coeur\">\u003Cstrong>Le Temps\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.letemps.ch/culture/lannee-2022-cinema-nos-coups-coeur)**\n\n> « _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_, choc à Cannes et métrage de la consécration pour Albert Serra. Le film, impossible à définir ou à résumer, a fait chavirer Cannes au printemps dernier. Des séquences à couper le souffle avec un immense Benoît Magimel.»\n\n**\u003Cstrong>Pascal Gavillet, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.tdg.ch/pacifiction-choc-a-cannes-et-metrage-de-la-consecration-pour-albert-serra-945092546901\">\u003Cstrong>Tribune de Genève\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.tdg.ch/pacifiction-choc-a-cannes-et-metrage-de-la-consecration-pour-albert-serra-945092546901)**\n\n> « Le cinéaste accompagne ici les déambulations quotidiennes du haut-commissaire entre réceptions et visites officielles, réunions professionnelles et rencontres informelles. A l’aise en toutes circonstances, à un cocktail littéraire comme dans un night club interlope, De Roller excelle dans ces interactions sociales en apparence cordiales et superficielles, où l’essentiel reste toujours sous-entendu ou évoqué à demi-mot. Benoît Magimel prête son charisme cabossé à ce dandy déphasé en costume croisé, chemise à motifs et lunettes fumées, dont les dialogues sont en partie improvisés. Charmeur et roublard, le comédien livre une performance qui entérine son récent retour en grâce sur le grand écran. »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Mathieu Loewer, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://lecourrier.ch/2022/12/22/paranoia-insulaire/\">\u003Cstrong>Le Courrier\u003C/strong>\u003C/a>](https://lecourrier.ch/2022/12/22/paranoia-insulaire/)**\n\n \u003Cbr />\n\n > « Nul, sans doute, n'incarne mieux l'esprit du film que Shannah (Pahoa Mahagafanau), figure d'homme-femme issue d'une tradition de l'île, celle des Māhū, mais personnage très actif et très contemporain. Cette présence queer cristallise de manière vivante et riche de séductions comme de mystère, le processus même qui rend tout le film si vivant, si troublant.\u003Cbr />Le septième long métrage d'Albert Serra incarne en effet à merveille le [\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_dans_le_genre\">«trouble dans le genre»\u003C/a>](https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_dans_le_genre). Lorsque la philosophe et activiste [\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/Judith_Butler\">Judith Butler\u003C/a>](https://fr.wikipedia.org/wiki/Judith_Butler)donnait ce titre à l'ouvrage fondateur de [\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_queer\">la théorie queer\u003C/a>](https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_queer), elle ne pensait évidemment pas aux genres cinématographiques, mais il n'y a aucun abus à y étendre ce qui remettait en question les appartenances ou les assignations sexuées des individus.\u003Cbr />Si _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est en effet un grand film queer, c'est très au-delà des seules questions de genre ou de sexualité, et en n'accordant aucune centralité à des sujets LGBT+: par le trouble essentiel qu'il instille dans les perceptions du monde. »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Jean-Michel Frodon, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.slate.fr/story/235919/cinema-film-pacifiction-albert-serra-splendeur-trouble-antipodes-comedie-thriller-tahiti-queer\">\u003Cstrong>Slate\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.slate.fr/story/235919/cinema-film-pacifiction-albert-serra-splendeur-trouble-antipodes-comedie-thriller-tahiti-queer)**\n\n \u003Cbr />\n\n > « Véritable expérience cinématographique, ce film envoûte autant qu’il déconcerte. Sublime, Benoît Magimel trouve ici un rôle rare qui lui permet de briller comme jamais auparavant. Du cinéma qui prend des risques, c’est rare! »\u003Cbr />**\u003Cstrong>Olivier Wyser, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.laliberte.ch/news/culture/cine--tv/pacifiction-un-thriller-parano-a-tahiti-672310\">\u003Cstrong>La Liberté\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.laliberte.ch/news/culture/cine--tv/pacifiction-un-thriller-parano-a-tahiti-672310)**\n\n \u003Cbr />\n\n > « Vous en sortirez totalement fasciné. » - Pierre Murat\u003Cbr />« Le film m’a aimanté de façon irrépressible. Magimel est magistral, dément. » - Charlotte Lipinska « Jean-Pierre Mocky filmé par Michael Mann. » - Nicolas Schaller\u003Cbr />« Quelque chose de très fort sur le contemporain et il n’est pas du tout solennelle, c’est un film très drôle, très narquois, extrêmement réjouissant tout le temps. » - Jean-Marc Lalanne\n\n[**\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-masque-et-la-plume/le-masque-et-la-plume-du-dimanche-20-novembre-2022-3017501\">\u003Cstrong>Le masque et la plume, France Inter\u003C/strong>\u003C/a>**](https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-masque-et-la-plume/le-masque-et-la-plume-du-dimanche-20-novembre-2022-3017501)\n\n> « A mesure qu'il s'enfonce dans la nuit, le film se fait de plus en plus chuchoté, susurré, les mots arrachés à la rumeur ambiante, cernés par les bruissements d'une non-indifférente nature, hanté par l'électro lancinante et minimaliste des clubs privés où les corps disponibles (des serveurs bodybuildés en slip, une Djette mixant torse nu) ne dont que se tourner autour. »\n\n**\u003Cstrong>Mathieu Macheret, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.cahiersducinema.com/editos/avec-les-loups/\">\u003Cstrong>Les Cahiers du Cinéma\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.cahiersducinema.com/editos/avec-les-loups/)**\n\n> « Albert Serra navigue délibérément en eaux troubles. _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ déploie un récit trouble et distendu, conjuguant la noirceur étouffante d’un thriller paranoïaque au prosaïsme d’une chronique haute en couleur sur la vie politique de l’archipel tahitien, avec son lot de négociations administratives, de discussions de comptoir et de conversations badines autour d’un cocktail. « _C’est bizarre tout ç_a » confie, sourire aux lèvres, l’hôtesse Shannah (Pahoa Mahagafanau) à De Roller, dans le hall d’accueil d’un hôtel dont la quiétude apparente dissimule quelque chose de beaucoup plus inquiétant. »\n\n**\u003Cstrong>Corentin Lê, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/pacifiction/\">\u003Cstrong>Critikat\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/pacifiction/)**\n\n> « Pourrait-on imaginer, in extremis, à l’avant-dernier jour de la compétition officielle cannoise, un film qui renverrait dos à dos tous les autres ? Un film capable, non pas de tout sauver, mais de tout annuler : la course en sac à la palme d’or, les galas au bord du gouffre, les baisses de la fréquentation, la énième mort du cinéma. Comment s’y prendrait-il ? En se détournant de ce que les autres cherchent encore : sujet, dramaturgie, récit, mise en scène ? Profondeur, vraisemblance, engagement, émotion. Puissance. Vieux mots-clefs, qui tiennent plus que jamais le haut du pavé. C’est à une vraie Restauration qu’on assiste, compréhensible réaction de panique cherchant, pour sauver les meubles, à prendre appui sur un plancher bien connu mais pourri. Un tel film, s’il se montrait à la hauteur de la situation, mettrait toutes ses forces à l’aggraver, pour voir à la fin ce qui reste – où on en est, quand tout a explosé. Et il raconterait, au passage, quelque chose des autres films : de leur isolement radical quand ils croient toucher au réel. De l’impuissance du cinéma à être autre chose qu’un fantasme. C’est sa seule chance, depuis toujours. Les fantasmes produisent le monde, et ils peuvent le transformer. _\u003Cem>Pacifiction\u003C/em>_ est ce film. »\n\n**\u003Cstrong>Luc Chessel, \u003C/strong>[\u003Ca target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer nofollow\" href=\"https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-pacifiction-ile-de-la-sensation-20220526_5VG6ZTF5OZBCZCWB2JPZ3ZBRAI/\">\u003Cstrong>Libération\u003C/strong>\u003C/a>](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-pacifiction-ile-de-la-sensation-20220526_5VG6ZTF5OZBCZCWB2JPZ3ZBRAI/)**","De Roller(Benoît Magimel), Hochkommissar der französischen Republik auf der Insel Tahiti in Französisch-Polynesien, ist ein berechnender Mann mit perfekten Manieren. Zwischen offiziellen Empfängen und zwielichtigen Lokalen fühlt er ständig den Puls der einheimischen Bevölkerung, aus der jederzeit Wut aufsteigen kann. Dies gilt umso mehr, als sich ein Gerücht hartnäckig hält: Angeblich wurde ein U-Boot gesichtet, dessen geisterhafte Präsenz eine Wiederaufnahme der französischen Atomtests ankündigt.\n","> „Apokalyptischer tahitischer Krimi.“\n**[The Guardian](https://www.theguardian.com/film/2022/may/26/pacifiction-review-trouble-in-paradise-in-apocalyptic-tahitian-mystery)**\n\n> „‹Pacifiction› ist ein wunderbar mehrdeutiger Titel, der nicht nur ‹Beschwichtigung› und ‹Befriedung›, sondern auch ‹Pazifik-isierung› und ‹Pazifik-Fiktion› suggeriert.“\n**Alan Mattli,[ Maximum Cinema](https://www.maximumcinema.ch/pacifiction-von-albert-serra/?fbclid=IwAR1Tr29aYEROs1GjP54kDf9Ec-OWqt0DriXXV-10H4TTZ9NXIvpuNm9OlvQ)**\n\n> „Das Kino von Albert Serra ist so genial.“ \n**[Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-pacifiction-ile-de-la-sensation-20220526_5VG6ZTF5OZBCZCWB2JPZ3ZBRAI/)**\n\n> „Serra verführt das Publikum von Pacifiction mit einer scheinbar simplen Erzählung aus der sorgenfreien Südsee, um es langsam in seine komplexen cineastischen Abgründe zu stossen. Wer danach aus der Dunkelheit des Kinosaals wieder in die Welt hinaustritt, ist aber um eine Erleuchtung reicher.“\n**Michael[ ](https://www.filmbulletin.ch/authors/michael-kuratli)Kuratli, [Filmbulletin](https://www.filmbulletin.ch/articles/paranoia-im-pazifik)**\n\n> „Eine delirierende Kreisbewegung.“\n**[Die Zeit](https://www.zeit.de/2022/23/ruben-oestlund-triangle-of-sadness-cannes-filmfestspiele)**\n> „Eine seltsam fesselnde Geschichte.“\n**[Screen](https://www.screendaily.com/reviews/pacifiction-cannes-review/5171237.article)**\n> „Die extremste Anspannung, die laszivste Hingabe.“\n**[Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/11/09/pacifiction-tourment-sur-les-iles-thriller-paranoiaque-dans-un-paradis-perdu_6149152_3246.html)**\n> „Eine packende, immersive Kapitulation.“\n**[Variety](https://variety.com/2022/film/reviews/pacifiction-review-1235278643/)**\n> „Ein Wunder. Ein blendendes Bild. Ein monumentales Fresko.“\n**[Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/cannes-2022-pacifiction-dalbert-serra-le-75eme-festival-de-cannes-tient-son-chef-doeuvre-472551-26-05-2022/)**\n> „Here’s the Art Film of the Year. _Pacifiction_ is an immersive tropical thriller/reverie that's like Weerasethakul meets Pakula — it's one of the great experiences in cinema.“\n**[IndieWire](https://www.indiewire.com/2022/10/pacifiction-review-albert-serra-1234771158/)**\n> „Ein Märchen, eine koloniale Phantasie zwischen Coppola, Fassbinder, Chantal Akerman und Lucrecia Martel – ein wunderbarer Film.“\n**[artechock](https://www.artechock.de/film/text/artikel/2022/06_23_filmfest_muenchen_auftakt_suchsland.html)**\n> „Benoît Magimel im Gnade-Zustand, ein großartiger Paranoia-Thriller.“\n**[Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/05/26/cannes-2022-tourment-sur-les-iles-le-fascinant-paradis-perdu-d-albert-serra_6127793_3246.html)**\n> „Serra ist ein unglaublicher Filmemacher und dies ist sein bisher ausdrucksstärkstes Projekt. Es ist ein einzigartiges Stück Kino, das unschlagbarste des Jahres.“\n**[The Film Stage](https://thefilmstage.com/cannes-review-albert-serra-hits-career-high-with-boundless-brilliant-pacifiction/)**\n> „Ein wirklich originelles Filmerlebnis.“\n**[Screen](https://www.screendaily.com/reviews/pacifiction-cannes-review/5171237.article)**\n> „Es ist der Film des Jahres, von einem der Filmemacher, der auf dem Höhepunkt der technischen Entwicklung des Jahrhunderts filmisch an der Fiktion arbeitet.“ \n**[Roger Koza](http://www.conlosojosabiertos.com/criticas-breves-207-pacifiction/)**\n> „Der freieste, verrückteste und abenteuerlichste Film des Cannes-Wettbewerbs.“ \n**[Trois Couleurs](https://www.troiscouleurs.fr/article/cannes-albert-serra-pacifiction-tourment-sur-les-iles)**\n> „Ein faszinierender Film.“\n**[Deadline](https://deadline.com/2022/05/cannes-review-benoit-magimel-in-albert-serras-pacifiction-1235033453/amp/)**\n> „Benoît Magimel scheint sich vor unseren Augen in Gérard Depardieu zu verwandeln.“ \n**[The Guardian](https://www.theguardian.com/film/2022/may/26/pacifiction-review-trouble-in-paradise-in-apocalyptic-tahitian-mystery)**\n> „_Pacifiction_ ist bei weitem Serras bisher ernsthaftester und düstersterster Film, ein Epos über kastrierte Macht und menschliche Entbehrlichkeit - eine Totenglocke für die Menschheit, die wie ein tropischer Tagtraum dargestellt wird.“ \n**[Little White Lies](https://lwlies.com/festivals/pacifiction-first-look-review/)**\n> „Ein prächtiger und ernster tropischer Anti-Epos voller postkolonialer Intrigen.“ \n**[The Playlist](https://theplaylist.net/pacifiction-review-albert-serra-makes-a-gorgeous-grave-tropical-anti-epic-filled-with-post-colonial-intrigue-nyff-20221002/)**\n> „Serra versteht es wie kein anderer, eine ebenso unwirkliche wie konkrete Atmosphäre zu schaffen und jede Sequenz in eine rätselhafte Halluzination zu verwandeln; er ist sogar in der Lage, dem Meer selbst seinen besten Auftritt zu verschaffen, den es je vor der Kamera hatte.“\n**[Roger Koza](http://www.conlosojosabiertos.com/criticas-breves-207-pacifiction/)**\n> „Serras bisher reichhaltigster und verblüffender Film.“\n**[Screen](https://www.screendaily.com/reviews/pacifiction-cannes-review/5171237.article)**\n> „Serra nimmt den Zuschauer mit auf die Erkundung der brennenden Lust auf einer Insel im Pazifik. Ein hypnotischer und giftiger Thriller, der auf prächtige Weise den \"verfemten Teil\" der Menschheit erahnen lässt.“\n**[Philosophie magazine](https://www.philomag.com/articles/pacifiction-tourment-sur-les-iles-tahiti-louche)**\n> „Eine Reihe von Reflexionen über politische und natürliche Spannungen in einem postkolonialen Südsee-'Paradies' durch eine faszinierend ambivalente Hauptfigur.“\n**[Screen](https://www.screendaily.com/reviews/pacifiction-cannes-review/5171237.article)**\n> „Der Film geht an die Grenzen des Oneirischen und bewegt sich in einigen Szenen auf dem Terrain des paranoiden Thrillers.“\n**[Screen](https://www.screendaily.com/reviews/pacifiction-cannes-review/5171237.article)**\n> \"Alles lädt uns zu einem hypnotischen Ausflug ein.\" \n**[Bande A Part](https://www.bande-a-part.fr/cinema/critique/magazine-de-cinema-pacifiction-albert-serra/)**\n","> **[LE CHAOS ET LA MÉTHODE](https://www.critikat.com/panorama/entretien/pacifiction-est-ne-de-forces-contradictoires/)**\n> Artur Tort (chef opérateur, chef monteur) et Baptiste Pinteaux (acteur, mais aussi « collaborateur aux dialogues ») évoquent le tournage et le montage de _Pacifiction_ par Josué Morel, Critikat\n\n**Albert Serra: «Pacifiction» ouvre la porte à une multiplicité de sensations»**\n[Rencontre avec un cinéaste qui a décidé de repousser les limites de la narration en développant une méthode de tournage à trois caméras. «Pacifiction» est un des meilleurs films de l’année 2022, Le Temps.](https://www.letemps.ch/culture/albert-serra-pacifiction-ouvre-porte-une-multiplicite-sensations)\n\n\n> « Une mouche a encore piqué Albert Serra. [Catalan anticonformiste, du genre cintré](https://www.liberation.fr/culture/cinema/albert-serra-jessaye-de-mettre-les-acteurs-dans-des-situations-chaotiques-20220526_RUBBXZXOMRCVTNVYGEK5S3CJBE/), le cinéaste a joué à profaner Don Quichotte et Casanova, montré l’agonie de Jean-Pierre Léaud sous la perruque du Roi Soleil (_la Mort de Louis XIV_) et les fessées de libertins au siècle des Lumières (_[Liberté](https://www.liberation.fr/cinema/2019/09/03/albert-serra-je-voulais-aller-vers-un-malaise-plus-profond_1749102/)_). Avec une passion intacte pour la figure duelle de l’homme de pouvoir (corps terrestre et corps politique), le voici revenu dans notre époque pour filmer un «haut-commissaire de la République». Il fallait un acteur capable d’en faire un protagoniste de délire, impénétrable, tournant le dos à l’intrigue et à la psychologie. Il fallait la superbe de Benoît Magimel, jeté là au maximum de la bonhomie douteuse, en sueur vingt-quatre heures sur vingt-quatre heures, bouffi juste ce qu’il faut sous ses lunettes teintées, portant le costume ivoire comme une seconde peau. »\n**[Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/pacifiction-dalbert-serra-de-lile-sur-le-feu-20221108_J7QUM62TWFCVPDV5OTWXQC52UE/?redirected=1)**\n","**Mit** Benoît Magimel, Pahoa Mahagafanau, Marc Susini, Matahi Pambrun, Alexandre Mello, Montse Triola et Michael Vautor\n\n**Drehbuch** Albert Serra **Kamera** Artur Tort **Ton** Jordi Ribas **Schnitt** Albert Serra, Artur Tort et Ariadna Ribas **Komponist** Marc Verdaguer **Produktion** Ideale Audience Group, Andergraun Films, Tamtam Film, Rosa Filmes, Arte France Cinema et Archipel Production\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZx9I4ZmDjvptKEkJmBm3kE1Y70JplK2jjX","https://youtu.be/M76hv1kvwmY","https://www.ton-cinema.ch/film/pacifiction/","Albert Serra — « Un film ahurissant, un grand paquebot à la dérive sur un océan de rêves obscurs, un magma de fictions grouillantes. » Cahiers du Cinéma\n","Albert Serra — « Ein atemberaubender Film, ein großer Dampfer, der auf einem Ozean dunkler Träume treibt, ein Magma aus wimmelnden Fiktionen. » Cahiers du Cinéma","« Jadis un peu poseur lorsqu’il se disait grand réinventeur du cinéma, l’Espagnol Albert Serra a véritablement fait sensation, à Cannes au printemps puis dans les salles cet hiver, avec un film-déambulation qui va au-delà de la narration pour suivre à Tahiti les errances d’un haut-commissaire de la République française (sidérant Benoît Magimel) confronté au spectre d’une possible réactivation des essais nucléaires. Réalisé à l’aide de trois caméras poussant les acteurs et actrices à lâcher prise lors de longues séquences tournées dans la durée, _Pacifiction_ est un film organique et hypnotique prouvant que de nouvelles formes cinématographiques peuvent encore être inventées. »\nStéphane Gobbo, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/lannee-2022-cinema-nos-coups-coeur)\n\n","> „Apokalyptischer tahitischer Krimi.“ [The Guardian](https://www.theguardian.com/film/2022/may/26/pacifiction-review-trouble-in-paradise-in-apocalyptic-tahitian-mystery)\n> „Das Kino von Albert Serra ist so genial.“ [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-pacifiction-ile-de-la-sensation-20220526_5VG6ZTF5OZBCZCWB2JPZ3ZBRAI/)\n> „Ein Wunder. Ein blendendes Bild. Ein monumentales Fresko.“ [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/cannes-2022-pacifiction-dalbert-serra-le-75eme-festival-de-cannes-tient-son-chef-doeuvre-472551-26-05-2022/)\n> „Ein französischer Diplomat sucht auf Tahiti nach Antworten. Aber kennt er auch die Fragen? Albert Serra nimmt uns mit auf einen deliranten Kinotrip.“ [Filmbulletin](https://www.filmbulletin.ch/articles/paranoia-im-pazifik)\n","https://filmservice.net/films/4394","pacifiction","https://sister-distribution.ch/movie/pacifiction?preview=true",[236,87,237,1028],"Allemagne",[239,90,237,1030],"Deutschland",[28],[94,1033,804,151,96,152,1034],"Europe","Suspense",[12,38,745,157,27,158,666],[1037],528,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/PACIFICTION_VIGNETTE_d7Ttk.jpg",{"Id":893,"Title":1040,"Description FR":1041,"Actus":54,"Trailer FR":1042,"Director":1043,"Year":126,"Credits FR":1044,"Duration":733,"Release FR":1045,"Release DE":1046,"SUISA":1047,"VOD":54,"Media FR":1048,"Catalogue":10,"Description DE":1049,"Media DE":1050,"Bonus FR":1051,"Bonus URL":54,"Credits DE":1052,"Bonus Type":77,"Pro":1053,"Trailer DE":1054,"Ton Cinéma":1055,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1056,"Teaser DE":1057,"DCP":989,"Events":20,"Slug":1058,"mId":893,"preview url fr":1059,"Country FR":1060,"Country DE":1061,"FCollections":1062,"FTags":1063,"TagIds":1065,"FEvents":1067,"img":1072},"FIRST COW","Autour de 1820, Cookie Figowitz, un cuisinier expérimenté solitaire et taciturne, voyage vers l’ouest et finit par rejoindre un groupe de trappeurs au fin fond de l’Oregon. Là, il se lie d’amitié avec King-Lu, un immigrant d’origine chinoise qui cherche aussi à faire fortune. Ils vont rapidement s’associer pour créer une petite entreprise prospère, utilisant une vache laitière très prisée par un riche propriétaire des environs pour fabriquer des gâteaux…\n","https://www.youtube.com/watch?v=azPKs6U02PE&ab_channel=SisterDistribution","Kelly Reichardt","**Avec** John Magaro, Toby Jones, Ewen Bremner, Orion Lee\n\n**Scénario** Kelly Reichardt et Jonathan Raymond **Image** Christopher Blauvelt \n**Montage** Kelly Reichardt **Musique** William Tyler **Production** FilmScience et IAC Films\n","2021-06-09","2021-07-22",1015.139,"> « _First Cow_ est le septième long métrage en près de trente ans de carrière de Kelly Reichardt, cinéaste rare et précieuse, travaillant en marge des grands circuits de production à la construction d’une œuvre prenant le contrechamp de la mythologie américaine. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/first-cow-une-poignee-beignets?fbclid=IwAR2mdhdxhBdS3u1NQ5PUK7vIoKYcUz32kbUI24qUOiegCNkaW9TK9GhuaIo)**\n\n> « Filmé au plus près d’une nature que chacun de ses films prend un malin plaisir à épurer, _First Cow_ est symptomatique du cinéma de Kelly Reichardt. Elle ne cherche ni à sublimer ce qu’elle filme ni à l’enlaidir. Juste à trouver la meilleure place pour montrer une vache qui a l’air de contempler le monde et deux margoulins dont les pantalonnades forment un art de vivre confinant à l’absurde. Il ne faut pas rater ce film. »\n**Pascal Gavillet - [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/quels-films-aller-voir-cette-semaine-950500350227?fbclid=IwAR2_NN3Emk6iw52wrp9XTn-uBSTiBPsXZObeNMKSaGNJ0-7ekRH9dXeLQ_Y)**\n\n> « Anti-western et subtile parabole, le film déploie ainsi une critique qui remonte aux racines du rêve américain. Au-delà des mésaventures de ses deux larrons, il pointe une civilisation fondée sur l’exploitation des ressources naturelles, le génocide des Premières Nations et l’appropriation de leurs terres. Kelly Reichardt ne condamne pas ses personnages pour autant. Elle porte au contraire un regard tendre sur leur relation, l’amitié étant leur unique consolation dans ce (nouveau) monde de brutes. Une amitié qui véhicule d’autres valeurs – entraide, solidarité – et définit le ton du film, empathique et fataliste. »\n**Mathieu Loewer -[ Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/06/17/a-louest-rien-de-nouveau/?fbclid=IwAR1DK3cIMDzvPh1D4KwljhBGkaUkHJlJQiQbj5O96YTSboUg0-YTqX4GS0U)**\n","Um 1820 trifft ein wortkarger Einzelgänger im Westen Oregons auf einen chinesischen Einwanderer, der ebenfalls sein Glück sucht. Bald schmieden die beiden einen gefährlichen Plan, um Milch von der wertvollen Jersey Kuh des wohlhabenden Landbesitzers zu stehlen – der ersten und einzigen im Gebiet.\n","> «Worauf es Reichardt ankommt, erfährt man in der Besinnlichkeit dieses Neowesterns auch mittels der sorgfältig im Hintergrund choreografierten Szenen, in denen gebaut, genäht und beackert wird. In der grossen, rastlosen Übergangsgesellschaft, die diese «Frontier» war, entdeckt sie den diskreten Charme des bislang Übersehenen.»\n**Barbara Schweizerhof - [WOZ - Die Wochenzeitung](https://www.woz.ch/2128/first-cow/besser-backen-als-schiessen)**\n\n> «Eine Frontier-Geschichte über Schmalzgebäck. Ein Western, der ohne die hohlen Gesten des Heldischen auskommt, seinen Helden dafür aber die Sehnsucht gönnt, die Fähigkeit zur Freundschaft und das Talent der Rede. Der Beginn dieses zärtlichen Films liefert seinem Ende die Erklärung – ein dramaturgischer Kunstgriff von verblüffender Schönheit und zugleich Beweis für Reichardts Meisterschaft in der Ökonomie des Erzählens.»\n**Alexandra Seitz - Vienale**\n\n> «Kelly Reichardt, die für ihre langsamen und poetischen Inszenierungen bekannt ist, nimmt diese in ihrer Einfachheit umso originellere Geschichte zum Anlass, von den Möglichkeiten des Andersseins in einer unwirtlichen Gegend zu erzählen.»\n**Dominic Schmid - **[NZZ](https://www.nzz.ch/feuilleton/first-cow-so-schmeckt-zivilisation-ld.1791294)\n\n> «Neben der Freundschaftsgeschichte erzählt \"First Cow\" vom Frühkapitalismus, den Gesetzen des Marktes, Angebot und Nachfrage, wie man Mehrwert erzielt - alles das lässt sich beim Krapfenverkauf leicht nachvollziehen. Schon vorher hatte Reichardt die Siedlung als Handelsplatz charakterisiert: Immerzu wird gefeilscht, gekauft und verkauft.»\n**Martina Knoben - [Süddeutsche Zeitung](https://www.sueddeutsche.de/kultur/first-cow-western-mubi-1.5346261)**\n","**Analyse du film par le géographe Manouk Borzakian pour [Géographies en mouvement](https://geographiesenmouvement.com/2021/01/26/le-far-west-est-a-vendre-first-cow-kelly-reichardt/?fbclid=IwAR1wYWQMqAOcMkgCw8w9jC6oCRIkgd_EIe7J5yezVY88CFwY5jjLCOsXODQ) :**\n\nMais plutôt que de les traiter sur le mode d’une geste glorieuse, le film fait des modalités d’interaction entre l’humanité et son milieu, que les géographes appellent l’_habiter_, une question philosophique et politique : entre mille manières possibles d’habiter le monde, les individus et les groupes doivent faire des choix lourds de sens.\nAvec le personnage de Cookie, sans doute le plus proche d’elle, la réalisatrice célèbre la sobriété : passer le balai et mettre quelques fleurs sauvages dans un vase pour égayer une cabane de trappeur, cueillir des champignons et des noisettes, pêcher, cuisiner. Et traire, patiemment. Cookie est près de la terre, sa relation avec le milieu se nourrit de modestie et de simplicité volontaire, sur le mode de la communion, mais sans verser dans l’animisme ou la glorification naïve de \"Gaïa\".\n\n_La mise en marchandise de l'Ouest_\n\nÀ l’opposé, le négociant anglais joué par Toby Jones incarne la logique comptable et marchande en train de conquérir le Far West. King-Lu commet une sérieuse erreur de jugement lorsqu’il affirme que \"l’histoire n’est pas encore arrivée ici\" : elle est bien là, en la personne des propriétaires terriens et de l’armée à leur service. Il n’y a déjà plus de place pour les aventuriers comme lui, convaincus que les plus volontaires ou les plus chanceux feront fortune. Encore moins pour les adeptes de l’idéal jeffersonien d’une nation de petits fermiers. La _wilderness_ est progressivement quadrillée par les propriétés des riches colons et même la vache finira dans un enclos cadenassé.\nQuant aux Indiens Nez-Percés, désormais ouvriers ou domestiques, ils se demandent, incrédules, pourquoi les Blancs ne mangent pas la queue des castors – le meilleur, paraît-il. C’est que les ressources de l’Ouest sont devenues des marchandises prises dans les réseaux du capitalisme mondialisé : les rongeurs se font massacrer tant que leur peau possède une valeur, c’est-à-dire tant que la mode parisienne est au chapeau en fourrure de castor. Puis ce sera autre chose. \n","**Mit** John Magaro, Toby Jones, Ewen Bremner, Orion Lee\n\n**Drehbuch** Kelly Reichardt und Jonathan Raymond **Kamera** Christopher Blauvelt \n**Schnitt** Kelly Reichardt **Komponist** William Tyler **Produktion** FilmScience und \nIAC Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZH7JzZ3hvKRm2lKrmtQFtH1V0L9YrHi5gX","https://www.youtube.com/watch?v=078-EJkpSDE&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/firstcow/","> « Anti-western et subtile parabole, le film déploie ainsi une critique qui remonte aux racines du rêve américain. Au-delà des mésaventures de ses deux larrons, il pointe une civilisation fondée sur l’exploitation des ressources naturelles, le génocide des Premières Nations et l’appropriation de leurs terres. Kelly Reichardt ne condamne pas ses personnages pour autant. Elle porte au contraire un regard tendre sur leur relation, l’amitié étant leur unique consolation dans ce (nouveau) monde de brutes. Une amitié qui véhicule d’autres valeurs – entraide, solidarité – et définit le ton du film, empathique et fataliste. »\u003Cbr>[**Le Courrier**](https://lecourrier.ch/2021/06/17/a-louest-rien-de-nouveau/?fbclid=IwAR1DK3cIMDzvPh1D4KwljhBGkaUkHJlJQiQbj5O96YTSboUg0-YTqX4GS0U)","- Um 1820 trifft ein wortkarger Einzelgänger im Westen Oregons auf einen chinesischen Einwanderer, der ebenfalls sein Glück sucht. Bald schmieden die beiden einen gefährlichen Plan, um Milch von der wertvollen Jersey Kuh des wohlhabenden Landbesitzers zu stehlen – der ersten und einzigen im Gebiet.\n- 🇺🇸\n\n- „Worauf es Reichardt ankommt, erfährt man in der Besinnlichkeit dieses Neowesterns auch mittels der sorgfältig im Hintergrund choreografierten Szenen, in denen gebaut, genäht und beackert wird. In der grossen, rastlosen Übergangsgesellschaft, die diese «Frontier» war, entdeckt sie den diskreten Charme des bislang Übersehenen.“\n\n","first-cow","https://sister-distribution.ch/movie/first-cow?preview=true",[398],[400],[28],[1064,403,673,150,347],"Amitié",[1066,407,571,45,16],8,[1068,1069,1070,1071],300,298,299,516,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/FIRST-COW_affiche_5tIX6.jpg",{"Id":31,"Title":1074,"Description FR":1075,"Actus":54,"Trailer FR":54,"Director":7,"Year":611,"Credits FR":1076,"Duration":745,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":41,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":1077,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1078,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":6,"Slug":1079,"mId":31,"preview url fr":1080,"Country FR":1081,"Country DE":1082,"FCollections":1083,"FTags":1084,"TagIds":1085,"FEvents":1086,"img":1088},"CERCATE ORTENSIA","**Swiss Art Awards 2021 (LAUREATE).**\nComposé d’archives, personnelles ou empruntées aux réseaux sociaux, _Cercate Ortensia_ est l’expression d’un désarroi autant qu’une grande respiration. Une pléthore de fragments de mémoire s’entrechoquent, des humains marchant sur de vieilles statues au regard vide, entre hortensias, pères fatigués et ciels rouges. Le film s’inspire de « La Libellula (Panegirico della libertà) », un « poème politique, féministe et poétique » d’Amelia Rosselli (1930-1996).\n_30 septembre - 2 octobre 2022, cinéma Plaza, en collaboration avec la Fondation Plaza_\n","Double écran\n","> « L’œuvre est poétique dans sa manière d’évoquer des possibles sans en bloquer les sens, de multiplier les pistes sans jamais perdre la tête, d’offrir un sentiment de cohérence là ou tout n’est que liens fragiles. Magnifique. »\n**Samuel Schellenberg - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/09/29/en-quete-de-vie-et-de-possibles/)**\n\n« _Cercate Ortensia_ se présente comme une oraison à la disparition, à la perte et aux désastres, mais aussi une ode à la résistance et à la liberté. A travers un montage d’une grande force évocatrice, Pauline Julier construit par strates au moyen d’archives personnelles ou empruntées, une réflexion critique sur nos champs de perception et notre relation à l’environnement. Dans ce conte, la désorientation spatiale et temporelle, le souffle, l’air, le feu et les braises deviennent des outils philosophiques pour démultiplier les perspectives. Le film nous emmène dans un récit dont le lyrisme et les tonalités, tels les hortensias, s’altèrent au contact des éléments qui les entourent. »\n**Anne-Julie Raccoursier (Swiss Federal Art Commission)**\n","**Swiss Art Awards 2021 (LAUREATE).**\n_Cercate Ortensia_ se présente comme une oraison à la disparition, à la perte et aux désastres, mais aussi une ode à la résistance et à la liberté. A travers un montage d’une grande force évocatrice, Pauline Julier construit par strates au moyen d’archives personnelles ou empruntées, une réflexion critique sur nos champs de perception et notre relation à l’environnement. Dans ce conte, la désorientation spatiale et temporelle, le souffle, l’air, le feu et les braises deviennent des outils philosophiques pour démultiplier les perspectives. Le film nous emmène dans un récit dont le lyrisme et les tonalités, tels les hortensias, s’altèrent au contact des éléments qui les entourent.\nAnne-Julie Raccoursier (Swiss Federal Art Commission)\n\n","cercate-ortensia","https://sister-distribution.ch/movie/cercate-ortensia?preview=true",[454],[458],[13],[544],[20],[580,1087],32,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/CO copie_9ipTU.jpg",{"Id":546,"Title":1090,"Description FR":1091,"Actus":54,"Trailer FR":1092,"Director":1093,"Year":1094,"Credits FR":1095,"Duration":722,"Release FR":1096,"Release DE":54,"SUISA":1097,"VOD":1098,"Media FR":1099,"Catalogue":10,"Description DE":1100,"Media DE":1101,"Bonus FR":1102,"Bonus URL":54,"Credits DE":1103,"Bonus Type":77,"Pro":1104,"Trailer DE":1105,"Ton Cinéma":1106,"Quote FR":1107,"Quote DE":1108,"Teaser FR":1109,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":45,"Slug":1110,"mId":546,"preview url fr":1111,"Country FR":1112,"Country DE":1113,"FCollections":1114,"FTags":1115,"TagIds":1117,"FEvents":1118,"img":1119},"ASAKO I & II","Lorsque son premier grand amour disparaît, Asako est désemparée. Deux ans plus tard, elle rencontre son double parfait. Troublée par cette étrange ressemblance, elle se laisse séduire mais découvre peu à peu un jeune homme avec une toute autre personnalité.\n","https://www.youtube.com/watch?v=3vITqIBVrmY","Ryūsuke Hamaguchi",2018,"**Avec** Masahiro\tHigashide, Erika Karata, Koji Seto, Rio Yamashita, Sairi Itoh, \nDaichi Watanabe\n\n**Scénario** Ryūsuke Hamaguchi und Sachiko Tanaka **Image** Yasuyuki Sasaki **Son** Mikisuke Shimazu **Montage** Azusa Yamazak **Musique** Dj Tofubeats **Production** C&I Entertainment\n","2019-04-10",1013.081,"https://www.filmingo.ch/fr/films/671-asako-i-ii","> « _Asako_ est un très grand, très juste film sur ce que c’est que d’être aimé, et d’aimer en retour - une déconstruction de tous les instants. »\n**Olivier Lamm, [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2019/01/01/asako-beau-miroir-aux-amourettes_1700582/)**\n\n> « Hamaguchi puise dans l’irréel les ressorts de la croyance en la réalité ; c’est précisément parce que cette rencontre est merveilleuse qu’Asako y croit, et nous avec, par-delà la bluette. »\n**Élise Domenach, Positif**\n\n> « A deux reprises, il insiste sur le fait magnétique, sur la puissance d'aimantation qui seule vient souder Asako au corps désiré, comme si l'identité de celui-ci, interchangeable, ne comptait pas. Cette puissante perspective, rarement si bien tenue au cinéma, donne au film son secret de plus grande valeur, et c'est aussi cette tension dont l'érotisme est assez parfaitement camouflé qui va donner à _Asako 1 & 2_ ses plus grandes scènes. Un coup de foudre statique parmi des pétards d'enfants. Une révélation dans le black-out d'un tremblement de terre. Un adieu entre les digues antitsunami. »\n**Olivier Séguret, [Grazia](https://www.grazia.fr/cannes/asako-12-body-double-888150?fbclid=IwAR0OtqKAGA3AP00PLvqgiauH-_Q3dPiVUCN0vbChb1lFer3Lcirs18CA654)**\n","Als ihre erste grosse Liebe verschwindet, ist Asako verzweifelt. Zwei Jahre später trifft sie auf sein perfektes Double. Beunruhigt über diese seltsame Ähnlichkeit lässt sie sich verführen, entdeckt aber nach und nach einen jungen Mann mit einer völlig anderen Persönlichkeit.\n","> « Ein Film von seltenem Reichtum und seltener Sensibilität, eine Geschichte über die Initiation in die Liebe. »\n**Jacques Mandelbaum, [Le Monde](https://www.lemonde.fr/cinema/article/2018/12/31/eternel-recommencement-amoureux_5403795_3476.html)**\n\n> « _Asako_ ist das Porträt einer Frau von seltener Intensität. »\n**Olivier Lamm, [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2019/01/01/asako-beau-miroir-aux-amourettes_1700582/)**\n","_« Il y a presque toujours des artistes au travail dans vos films. En quoi est-ce cinématographique ?_\n\nJ’ai encore du mal à répondre à cette question, mais oui, cela m’attire. Je crois que cela a trait à la question du temps. Un corps qui s’est entraîné pour une performance a en quelque sorte accumulé du temps, un temps immédiatement perceptible pour les spectateurs. C’est pour cela qu’ils ne peuvent s’empêcher de regarder. La performance est irrésistible aussi pour un réalisateur, car elle donne une forme à la fiction, par essence abstraite, et elle pousse, aussi, le reste des scènes du film à être au niveau de ce qui a été représenté. Donc je me suis mis à en intégrer dans mes fictions. Après coup, je me suis rendu compte que de grands classiques de Mizoguchi ou d’Ozu contiennent des scènes de kabuki, de théâtre nô, de bunraku, représentées de manière étrangement longue. Les personnages du film ne jouent pas ces pièces mais les regardent, elles n’ont pas de rapport direct avec l’intrigue, mais, par effet d’entraînement, les spectateurs du film se mettent à regarder eux aussi. »\n\n**Ryūsuke Hamaguchi interviewé par [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2019/01/01/un-equilibre-tres-etrange-qu-il-suffirait-de-pousser-un-peu-pour-que-tout-se-renverse_1700587/)**\n\n\n","**Mit** Masahiro Higashide, Erika Karata, Koji Seto, Rio Yamashita, Sairi Itoh, \nDaichi Watanabe\n\n**Drehbuch** Ryūsuke Hamaguchi et Sachiko Tanaka **Kamera** Yasuyuki Sasaki **Ton** Mikisuke Shimazu **Schnitt** Azusa Yamazak **Komponist** Dj Tofubeats **Produktion** C&I Entertainment\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ6D7zZxtC9YvBmCQVVagwIHAyrH7QralXk","https://www.youtube.com/watch?v=eKNcRsp8nM4&t=8s&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/netemosametemo/","Ryûsuke Hamaguchi — « Cette histoire d'amour en deux actes est une merveille de subtilité d'écriture et de mise en scène. » L'Obs\n","Ryûsuke Hamaguchi — « Diese Liebesgeschichte in zwei Akten ist ein Wunder an subtiler Schreibweise und Inszenierung. » L'Obs","- **« _Asako_ est un très grand, très juste film sur ce que c’est que d’être aimé, et d’aimer en retour - une déconstruction de tous les instants. »**\n- Olivier Lamm - [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2019/01/01/asako-beau-miroir-aux-amourettes_1700582/)\n\n","asako-i-ii","https://sister-distribution.ch/movie/asako-i-ii?preview=true",[184],[186],[21,28],[189,94,184,996,1116],"Ryûsuke Hamaguchi",[191,12,192,713,1087],[941],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/ASAKO_Ble2H.jpg",{"Id":192,"Title":1121,"Description FR":1122,"Actus":54,"Trailer FR":1123,"Director":1124,"Year":441,"Credits FR":1125,"Duration":1126,"Release FR":1127,"Release DE":1128,"SUISA":1129,"VOD":1130,"Media FR":1131,"Catalogue":10,"Description DE":1132,"Media DE":1133,"Bonus FR":1134,"Bonus URL":1135,"Credits DE":54,"Bonus Type":77,"Pro":1136,"Trailer DE":1137,"Ton Cinéma":1138,"Quote FR":1139,"Quote DE":54,"Teaser FR":1140,"Teaser DE":1141,"DCP":1142,"Events":1143,"Slug":1144,"mId":192,"preview url fr":1145,"Country FR":1146,"Country DE":1147,"FCollections":1148,"FTags":1149,"TagIds":1150,"FEvents":1151,"img":1175},"LA BÊTE","Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s'en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures.\nElle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l'envahit, le pressentiment qu'une catastrophe se prépare.\n","https://youtu.be/Y635Rz-YYSE?feature=shared","Bertrand Bonello","Avec Léa Seydoux, George MacKay, Guslagie Malanda, Dasha Nekrasova, Martin Scali, Elina Löwensohn\nUne adaptation libre de _La Bête dans la jungle_ d'Henry James\n",146,"2024-02-14","2024-08-08",1019.709,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1908-la-bete","> « Qu’il s’inspire de Visconti ou recrée le Paris des inondations de 1910 (passage éblouissant), qu’il filme un night-club eighties ou notre proche futur dystopique, Bertrand Bonello sublime tout ce qu’il touche. Il accomplit ici un superbe pas en avant tout en récapitulant tout son cinéma qu’il redéploie avec la même munificence que dans son Saint Laurent. Léa Seydoux est à son sommet de cinégénie et de puissance d’actrice, trouvant ici sa plus belle partition depuis _La Vie d’Adèle_ et Un _Beau matin_. C’est elle qui donne à ce film-zappeur son unité et qui injecte dans son architecture virtuose une puissante vibration émotionnelle. In fine, la « bête », c’est ce film, chef-d’œuvre monstre dont la beauté carnassière déchiquette les trois quarts de la concurrence. »\n**Serge Kaganski, _Bertrand Bonello et Léa Seydoux atteignent des sommets de beauté et de modernité. Chef-d’œuvre_. [Transfuge](https://www.transfuge.fr/2024/02/05/critique-le-nouveau-film-de-bertrand-bonello-la-bete/)**\n\n> « C’est superbe. C’est un film qui m’a rappelé comme aucun autre film auparavant le cinéma de Chris Marker que j’adore plus que tout. »\n**Thomas Gerber, Débat cinéma, Vertigo , La Première (à partir de 6'23)**\n\n> « Il y a des scènes absolument sublime. Je suis comme un fou quand je vois ça, c’est brillant et la beauté me happe. »\n**Philippe Congiusti, [Débat cinéma, Vertigo , La Première (à partir de 6'23)](https://www.rts.ch/audio-podcast/2024/audio/debat-cinema-28403344.html)**\n\n> « En la mettant en scène dans un inextricable univers mêlant fabriques de poupées, somptueuses villas hollywoodiennes et boîtes de nuit envoûtantes, le cinéaste exprime une myriade de sensations, qui reflètent nos angoisses très contemporaines.\n> En résulte un film d’une extraordinaire densité et richesse d’interprétations, à découvrir sans se poser de questions pour se laisser hanter après la projection. » ✯✯✯✯\n**Raphaël Chevalley, _la sortie ciné de la semaine à ne pas rater_, [Le Quotidien Jurassien, Le Nouvelliste, Arcinfo](https://www.arcinfo.ch/culture-loisirs/cinema/la-bete-la-sortie-cine-de-la-semaine-a-ne-pas-rater-1363949)**\n\n> « Film gigogne gouverné par une sorte de folie contemplative, il s'assimile à une expérience qu'on vous conseille de vivre. »\n**Pascal Gavillet, plus un entretien avec Bertrand Bonello, [La Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/la-bete-avec-lea-seydoux-interview-de-bertrand-bonello-596753748339)**\n\n> « Film rêveur et futuriste, où l’intelligence artificielle promet un monde meilleur, _La Bête_ est l’une des œuvres les plus fortes de cette 80ᵉ édition. A Venise, Bertrand Bonello filme les vies antérieures de Léa Seydoux. »\n**Clarisse Fabre, [Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/09/05/a-venise-bertrand-bonello-filme-les-vies-anterieures-de-lea-seydoux-dans-la-bete_6187946_3246.html)**\n\n> « Jusqu'au bout, Bonello nous bouleverse et nous console. Tout à la fois. » ✯✯✯✯\n**Damien Leblanc, _Léa Seydoux exceptionnelle dans un film vertigineux_, [Première](https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/La-Bete-Lea-Seydoux-exceptionnelle-dans-un-film-vertigineux--critique)**\n\n> « Formellement captivant, à la fois terriblement romantique et visionnaire pour ce vers quoi nous nous dirigeons avec nos nouveaux gadgets. «J’ai vu l’avenir mon frère, c’est le meurtre», chantait Leonard Cohen. Cette _Bête_ est de celles qui ne se laissent pas facilement oublier. »\n**Norbert Creutz, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/la-bete-cette-peur-tapie-au-fond-de-nous)**\n\n> « _La Bête_ parle d’un amour fou, d’un amour qui voyage et d’une peur qui pétrifie »\n**Nicolas Bardot, Le Polyester**\n\n> « Original dans ses sujets et talentueux metteur en scène, Bertrand Bonello adapte ici une nouvelle de Henry James. »\n**Bertrand Bonello est l'invité de Rafael Wolf, [Vertigo, La Première](https://www.rts.ch/audio-podcast/2024/audio/l-invite-bertrand-bonello-la-bete-28400614.html)**\n\n> « Acclamé par la presse internationale lors de la Mostra de Venise, le onzième long-métrage de fiction de Bertrand Bonello reprend l’argument de _La Bête dans la jungle_, court roman de Henry James publié en 1903, pour en faire un bouleversant mélodrame atemporel autant qu’un récit dystopique d’un pessimisme glaçant, cheminant à travers les peurs du siècle. »\n**Raphaëlle Pireyre, entretien avec Bertrand Bonello, [AOC](https://aoc.media/entretien/2024/02/02/bertrand-bonello-le-plus-difficile-cest-dinventer-un-futur-relativement-proche/)**\n\n> « Jamais Léa Seydoux n’avait été aussi impressionnante, capable d’habiter les plans comme une reine en majesté, à la diction parfaite, couvant ses mystères illimités. À certains endroits, c’est comme si on revivait les vies antérieures de Catherine Deneuve. »\n**Arnaud Hallet, _Une immense boîte mentale qui traverse les genres et les époques, quelque part entre Lynch et Cronenberg_, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/la-bete-bertrand-bonello-offre-le-role-de-sa-vie-a-lea-seydoux-605332-04-02-2024/)**\n\n> « La force du film de Bonello est justement d’interroger ce risque à prendre : le risque d’aimer. Chacune des périodes, pour autant qu’elles aient leur propre enjeu et leur propre terreur, construisent un seul récit amoureux. En entremêlant plusieurs temporalités, _La Bête_ montre en quoi le sentiment amoureux est intemporel. Intemporel dans cette imbrication de la peur et de l’amour. Aimer, c’est avoir peur parce que c’est prendre le risque d’avoir mal. Aimer, c’est avoir peur parce que c’est prendre le risque d’être abandonné. Et pourtant la peur est ce qui permet de rester vivant. Aimer est peut-être alors le seul moyen de résister à l’anesthésie généralisée d’un monde à venir. Le geste du cinéaste devient alors un geste politique et contemporain de tous les âges, dans sa forme comme dans sa proposition narrative. _La Bête_ n’est pas un film d’anticipation mais d’émancipation. »\n**Maryline Alligier, [Culturopoing](https://www.culturopoing.com/non-classe/bertrand-bonello-la-bete/20240204)**\n\n> « _J’ai déjà travaillé plusieurs fois avec Léa, et elle était la seule que j’arrive à imaginer dans les trois époques: elle est à la fois intemporelle et moderne. On a beau l’approcher et la scruter, on ne peut pas vraiment savoir ce qu’elle pense. Elle garde une part de mystère, essentielle pour ce rôle. En face était prévu Gaspard Ulliel, avec qui j’avais fait Saint Laurent. Mais il est mort peu avant le début du tournage, qu’il a fallu reporter. Un drame terrible. Pour éviter toute comparaison, je me suis alors mis à chercher du côté anglo-saxon. Aux séances de casting à Londres, George MacKay est passé en dernier, mais j’ai tout de suite su que ce serait lui. C’est un acteur dingue, bosseur et très intelligent qui fait des choix intéressants. Au contraire de Léa, il devait changer radicalement entre les différents épisodes, et j’ai été servi._ »\n**_Il est l’un des auteurs les plus passionnants du cinéma français actuel_, [entretien avec Bertrand Bonello dans Le Temps par Norbert Creutz](https://www.letemps.ch/culture/bertrand-bonello-il-y-a-chez-henry-james-une-acuite-pour-saisir-l-ame-humaine)**\n","Schon einmal haben die Emotionen in den Untergang geführt; daher „reinigt“ die herrschende KI die ihr dienenden Menschen. Gelassenheit soll walten! Im Zuge der Prozedur erinnert Gabrielle ihre vormaligen Leben – 1910, 2014, 2044 –, vor allem aber: ihre große Liebe zu Louis, die sie nie wagte sich zuzugestehen. Kühl und elegant setzt Bonello sein epochenquerendes, dabei das Unheimliche wie das Horrible streifende Science-Fiction-Melodram in Szene. Während Seydoux und MacKay, eingedenk des Menschlichen und der Zärtlichkeit, derer es fähig ist, die inkriminierten Gefühlswesen in ihr Recht setzen. Und die Frage aufwerfen, wer hier eigentlich die Bestie ist? (Alexandra Seitz, [Viennale](https://www.viennale.at/de/film/bete))\n","> «LA BÊTE, Bertrand Bonello’s astonishing sci-fi drama, is a thrilling journey of the mind staged with visionary élan. Loosely adapting the Henry James novella The Beast in the Jungle (1903), Bonello tells the ill-fated story of Gabrielle (Léa Seydoux) and Louis (George MacKay), which is reconfigured over three points in time and space: Paris in 2044, in Los Angeles in 2014 and Paris once again in 1910. A dark cloud looms over the heroine’s troubled soul from the outset. In a near-future world dominated by AI where productivity is everything, she is restless, emotional and thus sub-optimal. Cleansing her “DNA” ofers an apparent solution, whereby she is transported through a time portal where she experiences fragments of her past lives, which are deleted from her mind in the process. Gabrielle first meets Louis in 1910, who captures her heart and spirit, as a powerful bond is forged, full of melancholy and eternal longing. A poignant quest for deeper connection, LA BÊTE follows two lovers who will never live out their mutual attraction. As we move with them from one epoch to the next, like in a hall of broken mirrors where memory and feelings merge into exciting but painful experiences, we realise that everything human is doomed to vanish.»\n**Maria Giovanna Vagenas, [Viennale](https://www.viennale.at/de/film/bete)**\n\n> «Ein Melodram mit eleganten Kostümen, angesiedelt im Jahre 1910 in den Pariser Salons der oberen Gesellschaft, wie aus der Feder des Romanciers Marcel Proust. Ein kühler Thriller im Stil einer Bret-Easton-Ellis-Geschichte über die urbane Einsamkeit in Los Angeles in der Mitte der 2010er-Jahre. Und ein melancholischer Science-Fiction-Film, etwa zwei Dekaden von unserer Gegenwart entfernt. «La bête» von Bertrand Bonello ist all das – und auf allen drei Erzählebenen verdammt grossartig.»\n**Andreas K��hnemann, Kino-Zeit**\n\n> «In allen drei Zeitebenen fügen sich wie ein Puzzle ähnliche Motive in unterschiedlichen Variationen zusammen: Tauben, Wasser und Puppen beispielsweise tauchen immer wieder auf, genauso wie musikalische Leitthemen. Sie geben der Protagonistin - und auch dem Publikum - einen Hinweis auf bevorstehendes Unheil. Oder hat sich das alles gar nicht so abgespielt? Ist das alles nur die Fantasie der Protagonistin? Die Antwort auf diese Fragen deutet der Film höchstens an, lässt eine eindeutige Antwort aber offen.»\n**Simon Eberhard, [Outnow](https://outnow.ch/Movies/2023/Bete/Review/)** ✯✯✯✯✯\n\n> «Faszinierend an diesem Film, der lose an die Kurzgeschichte «The Beast in the Jungle» von US-Autor Henry James aus dem Jahr 1903 angelehnt ist, sind die sorgsam gedrechselten Erzählschlaufen mit wiederkehrenden Warnzeichen. Mal ist es eine Taube, mal eine Wahrsage- rin oder eine Puppe (zuletzt sogar aus Fleisch und Blut), die Böses erwarten lässt. Das macht diesen unterkühlten, um nicht zu sagen schockgefrorenen Film zu einem Erlebnis irgendwo zwischen Michael Haneke («Funny Games») und David Lynch. Wobei Regisseur Bonello vor allem bei Letzterem punkto Bildsymbolik sehr genau hingeschaut hat.»\n**Hans Jürg Zinsli, [Kulturtipp](https://www.kultur-tipp.ch/artikel/artikeldetail/spielfilm-wenn-die-puppen-brennen)**\n\n> «Léa Seydoux ist beeindruckend und erinnert daran, dass sie eine weitaus grössere Bandbreite an Schauspielfähigkeiten besitzt, als in den grossen amerikanischen Produktionen verlangt wird. Ihr gegenüber steht der Brite George MacKay, der gekonnt zwischen den verschiedenen Charakteren wechselt und dabei die Rolle übernimmt, die ursprünglich dem verstorbenen Gaspard Ulliel zugedacht war.»\n**Damien Brodard, [Cineman](https://www.cineman.ch/movie/2023/LaBete/review.html#movie-detail-nav)**\n\n> ««La Bête» ist weder ein bescheidener noch ein einfacher Film. Bonello nimmt die Gegenwart mit all ihren Ängsten und Neurosen ins Visier und schickt sich an, diesem Chaos mit einer erzählerisch und thematisch dichten, unverhohlen philosophischen Literaturadaption zu begegnen, die als Diagnose und Provokation, als Warnung und Satire zugleich zu verstehen ist. Viele unserer Probleme sind hausgemacht, nicht wenige das Resultat historischer Kontinuitäten. Daraus aber zu schliessen, dass unser Heil in der ach so objektiven Technologie liegt, dass die Rettung unserer Welt eine Frage des richtigen Algorithmus ist, ist, so dieser grossartige, im besten Sinne zeitgemässe Film, ein kapitaler Fehlschluss. Unsere Gefühle mögen der Ursprung von so mancher Krise sein – doch ist eine Welt ohne sie überhaupt rettenswert?»\n**Alan Mattli, [Maximum Cinema](https://www.maximumcinema.ch/la-bete-von-bertrand-bonello/)**\n\n> «Der Franzose Bertrand Bonello ist ein experimentierfreudiger Komponist und Filmemacher. «La bête» – das Biest – heisst sein jüngstes Leinwandopus. Darin bewegt sich Frankreichs Starschauspielerin Léa Seydoux durch Zeitepochen wie einst Virginia Woolfs Romanfigur «Orlando». Nach seiner Premiere am Filmfestival von Venedig im letzten Herbst kommt «La bête» jetzt in der Deutschschweiz ins Kino. In Bonellos raffiniertem Leinwand-Genremix steht «Das Biest» für die lähmende Angst vor der Liebe. Michael Sennhauser hat den Filmemacher zum Gespräch getroffen.»\n**Michael Sennhauser, [SRF](https://www.srf.ch/audio/kultur-kompakt/eine-epochale-lea-seydoux-in-la-bete-von-bertrand-bonello?partId=12633692)**\n\n> «Die beängstigende Szene eines Versteckspiels in einer luxuriösen kalifornischen Villa erinnert daran, dass Bonello ein Kenner von Dario Argento ist, der es so gut verstand, den Mechanismus der Angst freizulegen.»\n**Emilien Gür, [Cinefile](https://de.cinefile.ch/movie/32349-the-beast)**\n","**Découverte de \"La Bête\" jouée par l'actrice Léa Seydoux. Une grande histoire d'amour se déroulant sur trois niveaux spatio-temporels. [Bertrand Bonello, entretien avec Julie Evard, 19:30, RTS](https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/decouverte-de-la-bete-jouee-par-lactrice-lea-seydoux--une-grande-histoire-damour-se-deroulant-sur-trois-niveaux-spatio-temporels-qui-sera-des-mercredi-dans-les-salles-de-cinema-suisse-?urn=urn:rts:video:14705029)**\n\n","https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/decouverte-de-la-bete-jouee-par-lactrice-lea-seydoux--une-grande-histoire-damour-se-deroulant-sur-trois-niveaux-spatio-temporels-qui-sera-des-mercredi-dans-les-salles-de-cinema-suisse-?urn=urn:rts:video:14705029","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZmqo1ZeoIMPFm6QTznPCA8ypFtK4D7Hkvy","https://youtu.be/tM9BzKl5qt4","https://www.ton-cinema.ch/film/bete/","« Film gigogne gouverné par une sorte de folie contemplative, il s'assimile à une expérience qu'on vous conseille de vivre. » (Tribune de Genève)\n","[Depuis sa présentation à la Mostra de Venise 2023, _La Bête_ figure de toute évidence parmi les films les plus attendus dans les prochains mois. Après _Zombi Child_ et _Coma_, Bertrand Bonello semble signer son grand retour avec un film plus proche de son _Saint Laurent_.](https://www.lesinrocks.com/cinema/trailer-lea-seydoux-est-radieuse-dans-la-bete-602747-30-11-2023/)\n","- 2044 – die künstliche Intelligenz hat die Vorherrschaft übernommen und Emotionen werden als Bedrohung angesehen. Um einen interessanteren Job zu erhalten, unterzieht sich Gabrielle einem Verfahren, das ihre DNA von Gefühlen reinigt, die mit vergangenen Erlebnissen verbunden sind. Im Zuge der Prozedur erinnert sie ihre vormaligen Leben – 1910, 2014, 2044 –, vor allem aber an ihre grosse Liebe zu Louis, die sie sich nie einzugestehen wagte.\n- 🇫🇷\n\n- „Ein Melodram mit eleganten Kostümen, angesiedelt im Jahre 1910 in den Pariser Salons der oberen Gesellschaft, wie aus der Feder des Romanciers Marcel Proust. Ein kühler Thriller im Stil einer Bret-Easton-Ellis-Geschichte über die urbane Einsamkeit in Los Angeles in der Mitte der 2010er-Jahre. Und ein melancholischer Science-Fiction-Film, etwa zwei Dekaden von unserer Gegenwart entfernt. «La bête» von Bertrand Bonello ist all das – und auf allen drei Erzählebenen verdammt grossartig.“\n\n","https://filmservice.net/films/4600",36,"la-bete","https://sister-distribution.ch/movie/la-bete?preview=true",[87],[90],[],[673,148],[571,155],[1152,1153,1007,1154,1155,1156,1157,1158,1159,1160,1161,1162,1163,1164,1165,1166,1167,1168,1169,1170,1171,1172,1173,482,1174],181,196,195,183,171,191,180,161,169,174,166,164,185,193,175,189,173,162,167,186,179,188,168,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/LABETE_vignette_A3Rev.jpg",{"Id":923,"Title":1177,"Description FR":1178,"Actus":54,"Trailer FR":1179,"Director":1116,"Year":611,"Credits FR":1180,"Duration":733,"Release FR":1181,"Release DE":1182,"SUISA":1183,"VOD":1184,"Media FR":1185,"Catalogue":10,"Description DE":1186,"Media DE":1187,"Bonus FR":1188,"Bonus URL":54,"Credits DE":1189,"Bonus Type":54,"Pro":1190,"Trailer DE":1191,"Ton Cinéma":1192,"Quote FR":1193,"Quote DE":1194,"Teaser FR":1195,"Teaser DE":1196,"DCP":989,"Events":38,"Slug":1197,"mId":923,"preview url fr":1198,"Country FR":1199,"Country DE":1200,"FCollections":1201,"FTags":1202,"TagIds":1203,"FEvents":1204,"img":1209},"WHEEL OF FORTUNE AND FANTASY","**CONTES DU HASARD ET AUTRES FANTAISIES**\n\nUn triangle amoureux inattendu, une tentative de séduction qui tourne mal et une rencontre née d’un malentendu. La trajectoire de trois femmes qui vont devoir faire un choix…\n","https://www.youtube.com/watch?v=153yxzTplT0&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Kotone Furukawa, Ayumu Nakajima, Hyunri, Kiyohiko Shibukawa, Katsuki Mori, Shouma Kai, Fusako Urabe, Aoba Kawai\n\n**Scénario** Ryusuke Hamaguchi **Image** Yukiko Iioka \n**Son** Akihiko Suzuki et Naoki Jono **Production** Neopa et Fictive\n","2022-04-13","2022-04-07",1015.988,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1337-wheel-of-fortune-and-fantasy","> « Le charme de la narration est indissociable de l’acuité d’un regard porté sur le monde pour en suggérer la complexité – non pas dissimulée, mais bien exhibée par les apparences. Tout est affaire de mise en scène. Que dire de plus ? »\n**Émilien Gür - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/wheel-of-fortune-and-fantasy/)**\n\n> « La richesse de ces trois contes tient à son exploration sensorielle du discours amoureux, à ses récits remplis de surprises, à ses magnifiques portraits féminins. »\n**Joachim Lepastier - [AOC](https://aoc.media/critique/2022/04/05/le-carrousel-des-sentiments-sur-contes-du-hasard-et-autres-fantaisies-de-ryusuke-hamaguchi/?fbclid=IwAR079TKI7jTACd2gc3kGqzOfXZIkCpC-4DDQ_SNLqHFDsnLykaXmop-mo0E)**\n","Meiko realisiert während einer Taxifahrt, dass der Mann, von dem ihre Freundin schwärmt, ausgerechnet ihr Ex-Freund ist. Nao will sich an einem Professor rächen, weil er ihren Freund durch seine Abschlussprüfung fallen liess. Aya und Natsuko waren Klassenkameradinnen und laufen sich 20 Jahre später zufällig über den Weg. In drei Episoden sprechen die Frauen und Männer von der Liebe, die sie geträumt, erhofft, für Augenblicke sogar erfahren, und verloren haben. Sie alle eint der Zufall – oder das Schicksal?\n","> «Wie schon der Oscar-gekrönte Vorgänger «Drive My Car» lebt auch diese Erzählung von intensiven Dialogen, überraschenden Wendungen und letztlich von Ryusuke Hamaguchis so feinfühlig und wahrhaftig gezeichneten Figuren. «Wheel of Fortune and Fantasy» schärft den Blick für die Bedeutung von Begegnungen und jene magischen Augenblicke, die uns verändern.»\u003Cbr>**Silvia Posavec - NZZ Filmnewsletter**\n\n> «Das Drama wurde an der Berlinale mit dem Jurypreis geehrt, Hamaguchi zeigt darin so genau wie beiläufig Menschen, die sich sehnen – nach einer Verbindung, nach Intimität. Indem er das Grosse aus dem Alltäglichen schält, wirkt das Gewöhnliche wie ein Geheimnis.»\u003Cbr>**Pascal Blum - Züritipp**","**Mot du réalisateur**\n\nCes trois histoires ont été conçues comme les trois premières d’une série de sept histoires ayant pour thème « coïncidence et imagination ». La coïncidence m’a toujours intéressé. Montrer la coïncidence, c’est une façon d’affirmer que la rareté est l’essence même du monde, plus que la réalité elle-même. J’ai réalisé combien l’exploration de ce thème offrait des perspectives narratives imprévisibles. Prenez plaisir à être surpris par l’inattendu du monde. \n\nRyûsuke Hamaguchi\n","**Mit** Kotone Furukawa, Ayumu Nakajima, Hyunri, Kiyohiko Shibukawa, Katsuki Mori, Shouma Kai, Fusako Urabe, Aoba Kawai\n\n**Drehbuch** Ryusuke Hamaguchi **Kamera** Yukiko Iioka \n**Ton** Akihiko Suzuki und Naoki Jono **Produktion** Neopa und Fictive\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZd65zZk5iRE6QNa5SHomLzqXtD4HXVpn3V","https://www.youtube.com/watch?v=KtF1dd07iIg&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/guzentosozo/","Ryûsuke Hamaguchi — « Un nouveau bijou délicatement taillé dans le plus pur minerai humain. » Transfuge\n","Ryûsuke Hamaguchi — « Ein neues Schmuckstück, zart geschliffen aus dem reinsten menschlichen Erz. » Transfuge","- **« Le charme de la narration est indissociable de l’acuité d’un regard porté sur le monde pour en suggérer la complexité – non pas dissimulée, mais bien exhibée par les apparences. Tout est affaire de mise en scène. Que dire de plus ? »**\n- Émilien Gür - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/wheel-of-fortune-and-fantasy/)\n","- «Wie schon der Oscar-gekrönte Vorgänger «Drive My Car» lebt auch diese Erzählung von intensiven Dialogen, überraschenden Wendungen und letztlich von Ryusuke Hamaguchis so feinfühlig und wahrhaftig gezeichneten Figuren. «Wheel of Fortune and Fantasy» schärft den Blick für die Bedeutung von Begegnungen und jene magischen Augenblicke, die uns verändern.»\n- Silvia Posavec - NZZ Filmnewsletter","wheel-of-fortune-and-fantasy","https://sister-distribution.ch/movie/wheel-of-fortune-and-fantasy?preview=true",[184],[186],[21,28],[189,673,184,996,1116],[191,571,192,713,1087],[383,170,276,1205,1206,1207,1208],354,355,384,394,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Wheel_of_Fort_vignettes_xc5uR.jpg",{"Id":901,"Title":1211,"Description FR":1212,"Actus":54,"Trailer FR":1213,"Director":1116,"Year":611,"Credits FR":1214,"Duration":482,"Release FR":1215,"Release DE":1216,"SUISA":1217,"VOD":1218,"Media FR":1219,"Catalogue":10,"Description DE":1220,"Media DE":1221,"Bonus FR":1222,"Bonus URL":54,"Credits DE":1223,"Bonus Type":54,"Pro":1224,"Trailer DE":1225,"Ton Cinéma":1226,"Quote FR":1227,"Quote DE":1228,"Teaser FR":1229,"Teaser DE":1230,"DCP":989,"Events":6,"Slug":1231,"mId":901,"preview url fr":1232,"Country FR":1233,"Country DE":1234,"FCollections":1235,"FTags":1236,"TagIds":1238,"FEvents":1240,"img":1243},"DRIVE MY CAR","Alors qu’il n’arrive toujours pas à se remettre d’un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un Festival, à Hiroshima. Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu’on lui a assignée comme chauffeure. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé.\n","https://www.youtube.com/watch?v=P-7w9_0lufI&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Hidetoshi Nishijima, Tôko Miura, Masaki Okada, Reika Kirishima, Park Yurim, \nJin Daeyeon\n\n**Scénario** Ryûsuke Hamaguchi et Takamasa Oe **Image** Hidetoshi Shinomiya \n**Son** Izuta Kadoaki et Miki Nomura **Montage** Azusa Yamazaki **Musique** Eiko Ishibashi **Production** Teruhisa Yamamoto\n","2021-12-22","2022-01-06",1015.749,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1232-drive-my-car","> « Attention, œuvre majeure. Le motif du faux road-movie se déploie comme une ondulation, une série de vagues que doivent traverser les deux personnages. On en ressort chancelant de bonheur, en priant de découvrir semblable film chaque semaine. »\n**Pascal Gavillet - [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/quels-films-aller-voir-cette-semaine-199775941671?fbclid=IwAR1yJVx64NS2cm2ZvPjaIhoCQ0jWsHSWI-rorB2mssLoejElT7MCTXNzCMs)**\n\n> « _Drive My Car_ vibre intensément de tout ce qui affleure. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/12/23/deux-ames-en-roue-libre/?fbclid=IwAR3o89pK-6WlM4dwe1wbiaT0opsduKCo14RZLgrsc5Je2nogGx3sFkCRCIg)**\n\n> « Prix du scénario à Cannes alors qu'il aurait mérité rien moins que la Palme d'Or, _Drive My Car_ confirme l'avènement d'un nouveau maître japonais. D'une nouvelle de son compatriote Murakami, étirée et amplifiée, Ryusuke Hamaguchi a tiré une forme de chef-d'œuvre qui allie le meilleur de la littérature et du cinéma. Ne surtout pas hésiter à s'embarquer pour les trois heures de ce voyage en voiture! Franchement, on ne voit pas qui pourrait le regretter, ne pas sortir de _Drive My Car_ profondément remué, en tous les cas enrichi. »\n**Norbert Creutz - [Bon pour la tête](https://bonpourlatete.com/culture/les-voies-sinueuses-de-la-consolation?fbclid=IwAR2mqzJNbP4QncMYe4-pY_tPfvdcs2m2FxPnl3-41xwwBt_ayFOSZAbWiag)**\n","Yusuke Kafuku, ein Bühnenschauspieler und Regisseur, ist glücklich verheiratet mit der Drehbuchautorin Oto (Reika Kirishima). Plötzlich stirbt Oto und hinterlässt ein Geheimnis. \nZwei Jahre später erhält Kafuku, der den Verlust seiner geliebten Frau noch nicht verkraftet hat, das Angebot, bei einem Theaterfestival in Hiroshima „Onkel Wanja“ von Tschechow zu inszenieren. Dort lernt er Misaki kennen, eine zurückhaltende junge Frau, die ihm als Chauffeurin zugewiesen wird. Während der gemeinsamen Fahrten öffnen sich Fahrerin und Fahrgast, dabei holen Kafaku die Rätsel der Vergangenheit ein, die ihn im Stillen verfolgen.\n","> « Ryūsuke Hamaguchi bleibt seinem Talent treu und versetzt uns in Erstaunen. Der Autor, die Regie, die Auswahl der Schauspieler, alles ist von seiner brillanten Handschrift geprägt, um uns ein prächtiges, fesselndes und ergreifendes Werk zu schenken. Wir lassen uns von den Dialogen führen und von den Emotionen überwältigen. _Drive My Car_ hat das Zeug dazu, Sie zu begeistern, und zwar für lange Zeit. »\n**Andreas Scheiner - [NZZ](https://www.nzz.ch/feuilleton/drive-my-car-eine-filmische-erkundungsfahrt-durch-die-psyche-ld.1663071?fbclid=IwAR3cDt-htFngugbiCNTFEjtT1kjjgYpB3TEZnWbkcodHc5_Tf_wnycimOLc)**\n\n> « _Drive My Car_ ist ein Film voller Leben, voller Abschied, voller Perspektivenwechsel, mit einem grossen Herz für jede der Figuren. »\n**Michael Sennhauser - [Sennhausers Filmblog](https://sennhausersfilmblog.ch/2021/07/12/drive-my-car-doraibu-mai-ka-von-ryusuke-hamaguchi/?fbclid=IwAR0QamjshUeWBMw4WdodWX8xdnbxdB31eEjEvcvdTfhgipSc7e5PMG-al_U)**\n","**Note d'intention du réalisateur**\n\nIl y a trois raisons pour lesquelles j’ai voulu faire un film d’après la nouvelle d’Haruki Murakami, \"Drive My Car\". La première est qu’elle met en scène deux personnages intrigants, Kafuku et Misaki. Et que leurs interactions se déroulent dans une voiture. Ces descriptions ont ravivé mes propres souvenirs de conversations intimes qui ne peuvent naître que dans cet espace fermé et mobile. Puisque c’est un espace en mouvement, c’est en quelque sorte nulle part, et il y a des moments où cet endroit nous aide à découvrir des aspects de nous-mêmes que nous n’avons jamais montrés à personne, ou des pensées que nous ne pouvions pas mettre en mots auparavant. \n\nEnsuite, l’un des thèmes de la nouvelle est l’art dramatique. Jouer, c’est avoir de multiples identités, ce qui est pour ainsi dire une forme de folie socialement acceptée. En faire son métier est évidemment éprouvant, et provoque même parfois des crises personnelles sérieuses. Mais je connais des gens qui n’ont pas d’autre choix que de le faire. Et ces personnes qui jouent pour gagner leur vie sont en fait guéries par cette folie, ce qui leur permet de continuer à vivre. Considérer le métier d’acteur comme une \"façon de survivre\", est quelque chose qui m’intéresse depuis longtemps. \n\nLa dernière raison tient au personnage ambigu de Takatsuki et à la façon dont l’auteur fait entendre sa \"voix\". Kafuku est pratiquement certain que Takatsuki a couché avec sa femme peu de temps avant qu’elle ne meure et il estime que \"c’était un acteur de seconde zone\". Mais un jour, Takatsuki révèle le \"point aveugle\" de Kafuku. «Si nous voulons vraiment voir l’autre, nous n’avons d’autre moyen que de nous plonger en nous-même» dit-il, et si ce commentaire assez stéréotypé dévaste Kafuku, c’est parce qu’il sent intuitivement qu’il s’agit d’une \"vérité\" qu’il n’aurait jamais pu atteindre par lui-même - \"Ses mots venaient de l’âme, sans fard. En tout cas, il était manifeste qu’il ne jouait pas.\"\n\nJ’ai pensé : \"Je connais des voix comme celle-ci. J’en ai déjà entendu dans la vraie vie.\" De plus, je sais qu’une fois qu’on a entendu une voix comme celle-là, on ne peut plus être le même qu’avant, et qu’on est obligé de répondre aux questions formulées par cette voix. La nouvelle ne s’étend pas sur ce qui s’est passé ensuite - moi, j’estimais que la réponse de Kafuku méritait d’être montrée. \n\nLorsque j’ai commencé à travailler sur l’adaptation de cette nouvelle riche en éléments aussi fascinants, mon objectif était de laisser ces questions et ces réponses se dérouler à la façon d’une chaîne de \"voix\" apportant la vérité, comme dans la nouvelle, pour finir par la réponse de Kafuku. Il s’agissait aussi de créer pour les spectateurs une expérience qui leur permette de ressentir continuellement, intuitivement, la vérité à travers la fiction qui se joue. \n\nLe film _Drive My Car_ y parvient-il ? Je ne sais pas. Je pense qu’il faudra du temps pour répondre à cette question. \n\nCe que je peux dire à ce stade, c’est que le temps que nous avons passé à filmer cette œuvre a été joyeux. Tous les personnages - à commencer par Kafuku, interprété par Hidetoshi Nishijima - expriment une douleur, mais ce que j’ai ressenti chez tous les acteurs sur le plateau, c’est le plaisir de jouer. Qu’est-ce que la caméra en a tiré ? J’ai sincèrement hâte de voir comment le public réagira à ce film et comment il l’interprètera.\n\n\nRyûsuke Hamaguchi\n","**Mit** Hidetoshi Nishijima, Tôko Miura, Masaki Okada, Reika Kirishima, Park Yurim, \nJin Daeyeon\n\n**Drehbuch** Ryûsuke Hamaguchi und Takamasa Oe **Kamera** Hidetoshi Shinomiya \n**Ton** Izuta Kadoaki und Miki Nomura **Schnitt** Azusa Yamazaki \n**Komponist** Eiko Ishibashi **Produktion** Teruhisa Yamamoto\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ6G5zZcjjXs5D4HYLH7oYwi49CQzgasTty","https://www.youtube.com/watch?v=YKXK14ZrRUc&t=9s&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/doraibumaika/","Ryûsuke Hamaguchi — « La beauté dure trois heures et a un nom : Ryûsuke Hamaguchi. » Le Figaro\n","Ryûsuke Hamaguchi — « Die Schönheit dauert drei Stunden und hat einen Namen: Ryûsuke Hamaguchi. » Le Figaro","- **« _Drive My Car_ vibre intensément de tout ce qui affleure. »**\n- Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/12/23/deux-ames-en-roue-libre/?fbclid=IwAR3o89pK-6WlM4dwe1wbiaT0opsduKCo14RZLgrsc5Je2nogGx3sFkCRCIg)\n","- **«**_Drive My Car_ hat das Zeug dazu, Sie zu begeistern, und zwar für lange Zeit.**.»**\n- Andreas Scheiner - [NZZ](https://www.nzz.ch/feuilleton/drive-my-car-eine-filmische-erkundungsfahrt-durch-die-psyche-ld.1663071)","drive-my-car","https://sister-distribution.ch/movie/drive-my-car?preview=true",[184],[186],[21,28],[1237,189,94,184,1116,405],"Anton Tchekov",[1239,191,12,192,1087,408],39,[1241,1242],241,351,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Drive-my-car_Affiche_qXqcN.jpg",{"Id":12,"Title":1245,"Description FR":1246,"Actus":54,"Trailer FR":1247,"Director":32,"Year":611,"Credits FR":1248,"Duration":383,"Release FR":1249,"Release DE":1250,"SUISA":1251,"VOD":1252,"Media FR":1253,"Catalogue":10,"Description DE":1254,"Media DE":54,"Bonus FR":1255,"Bonus URL":54,"Credits DE":1256,"Bonus Type":77,"Pro":1257,"Trailer DE":1258,"Ton Cinéma":1259,"Quote FR":1260,"Quote DE":1261,"Teaser FR":1262,"Teaser DE":1263,"DCP":989,"Events":157,"Slug":1264,"mId":12,"preview url fr":1265,"Country FR":1266,"Country DE":1268,"FCollections":1270,"FTags":1271,"TagIds":1273,"FEvents":1274,"img":1281},"WET SAND","Un village au bord de la mer Noire géorgienne avec des gens sympathiques qui croient se connaître. Un jour, Eliko est retrouvé pendu et sa petite-fille Moe est appelée pour organiser les funérailles. Elle est confrontée à un tissu de mensonges et aux conséquences tragiques de la vie d’Eliko. Elle est confrontée à un tissu de mensonges et aux conséquences tragiques de la vie amoureuse cachée d’Eliko avec Amnon au cours des vingt-deux dernières années. La vérité libère cependant la capacité de Moe à aimer et incite les villageois à prendre position.\n","https://www.youtube.com/watch?v=0FWLbu5BjWw&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Megi Kobaladze, Gia Agumava, Bebe Sesitashvili, Zaal Goguadze, \nKakha Kobaladze, Giorgi Tsereteli\n\n**Scénario** Elene Naveriani et Sandro Naveriani **Image** Agnesh Pakozdi\n**Son** Marc von Stürler **Production** Maximage et Takes Film\n","2022-03-30","2022-05-05",1015.72,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1347-wet-sand","> « Figure hiératique à la noblesse cousine d’un Yves Montand ou d’un Robert Mitchum, le patron (Gia Agumava) cherche à préserver sa dignité dans un monde qui s’efforce chaque jour de la lui ôter. Nés sur un coin de terre dont on ne semble pouvoir s’arracher, ils ont tous les trois des airs de naufragés usés par le ressac de la mer. Wet Sand : le nom d’un refuge où sécher ses larmes.»\n**Emilien Gür - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/wet-sand/)**\n\n> « La réalisatrice géorgienne, qui a décroché le Prix de Soleure, livre un mélodrame poétique, mélancolique, profond, d’autant plus bouleversant que les sentiments, mesurés, sont exprimés sans artifice. »\n**Edmée Cuttat - [360](https://360.ch/culture/67125-wet-sand-sort-en-salles-chronique-et-concours/?fbclid=IwAR2M7-ZEeY5LPDHTFFgmvowTL0kMFCSLIHf7HbNF6q1B_kI-_uxgiJBfU6g)**\n\n> « Elene Naveriani confirme les promesses de son premier long métrage – le ténébreux _[I Am Truly A Drop of Sun on Earth](https://sister-production.netlify.app/movie/i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth)_. Manifeste LGBTIQ+, _Wet Sand_ débute comme le requiem d’un amour secret, puis révèle la violence homophobe qui perdure en Géorgie, avant de s’achever sur un message d’espoir volontariste destiné aux générations qui se débattent avec leur identité. Sublime et bouleversant. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/08/12/locarno-rugit-a-nouveau/?fbclid=IwAR3SzMEjWIjcdoBEpH1AqP-U50RDWznYYg8DEKph4eHzT4gA_zZOSor7N_w)**\n","Ein Dorf am georgischen Schwarzen Meer mit freundlichen Menschen, die glauben, sich zu kennen. Eines Tages wird Eliko erhängt aufgefunden und seine Enkelin Moe wird gerufen, die Beerdigung zu organisieren. Sie stößt auf ein Netz von Lügen, doch das Stillschweigen wird gebrochen, und sie erfährt die tragischen Hintergründe von Elikos verborgenem Liebesleben mit Amnon in den letzten 22 Jahren.\n","**À l'occasion de la diffusion du film au festival de Locarno, Elene Naveriani est l'invitée de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/elene-naveriani-wet-sand-25213978.html) :**\n\n\"Le cinéma est un language universel qui permet d'exprimer des sujets personnels en touchant des spectateurs pourtant éloignés de vous.\"\n\n**Elle est également accueillie sur le plateau du [12h45](https://www.rts.ch/info/culture/cinema/12983480-avec-wet-sand-elene-naveriani-brise-les-tabous-de-la-societe-georgienne.html) :**\n\n\"Les corps parlent davantage que les mots.\"\n\n\n","**Mit** Megi Kobaladze, Gia Agumava, Bebe Sesitashvili, Zaal Goguadze, Kakha Kobaladze, Giorgi Tsereteli\n\n**Drehbuch** Elene Naveriani und Sandro Naveriani **Kamera** Agnesh Pakozdi\n**Ton** Marc von Stürler **Produktion** Maximage und Takes Film\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZW7KHZgP76Q8djKNYCnamEHxzvWkavuxtX","https://www.youtube.com/watch?v=qubK92hPYPQ&ab_channel=SisterDistribution","https://www.movies.ch/de/kinoprogramm/f/wetsand/","Elene Naveriani — « Sublime et bouleversant. » Le Courrier\n\n","Elene Naveriani — « Erhaben und aufwühlend. » Le Courrier\n\n","Manifeste LGBTIQ+, _Wet Sand_ débute comme le requiem d’un amour secret, puis révèle la violence homophobe qui perdure en Géorgie, avant de s’achever sur un message d’espoir volontariste destiné aux générations qui se débattent avec leur identité. Sublime et bouleversant.\n_Le Courrier_\n","Einer scheidet aus dem Leben, und der Mann von der Bar trauert fast ohne Worte: So beginnt «Wet Sand» von Elene Naveriani, ein Melodrama um eine Strandbar irgendwo am Schwarzen Meer. Die Leute hier im Dorf wissen noch genau, was die Liebe darf – und vor allem, was nicht. Aber rund um die Trauerfeier bricht dann so einiges auf, und bald kommt sich auch Fleshka nicht mehr so verloren vor.\n_WOZ - Die Wochenzeitung_\n","wet-sand","https://sister-distribution.ch/movie/wet-sand?preview=true",[454,1267],"Géorgie",[458,1269],"Georgien",[35],[32,1033,544,1272,152,347],"Locarno",[624,38,20,449,158,16],[155,571,192,1239,407,1143,504,1275,1276,1277,1278,1279,1280],347,348,349,427,428,429,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/wetsand_vignettes_hURaU.png",{"Id":6,"Title":1283,"Description FR":1284,"Actus":54,"Trailer FR":1285,"Director":1286,"Year":441,"Credits FR":54,"Duration":587,"Release FR":1287,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":1288,"Media FR":1289,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1290,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":1291,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1292,"Teaser DE":54,"DCP":1293,"Events":350,"Slug":1294,"mId":6,"preview url fr":1295,"Country FR":1296,"Country DE":1297,"FCollections":1298,"FTags":1299,"TagIds":1301,"FEvents":1302,"img":1304},"LA RIVIÈRE","**Prix Jean-Vigo 2023** - Entre Pyrénées et Atlantique coulent des rivières puissantes qu’on appelle les gaves.\nLes champs de maïs les assoiffent, les barrages bloquent la circulation du saumon. L’activité humaine bouleverse le cycle de l’eau et la biodiversité de la rivière.\nDes hommes et des femmes tendent leur regard curieux et amoureux vers ce monde fascinant fait de beauté et de désastre.\n\n","https://youtu.be/BSb4KThc3rA","Dominique Marchais ","2024-03-27","https://www.filmingo.ch/fr/films/1997-la-rivire","> « Dans _La Rivière_, Dominique Marchais remonte le cours des gaves des Pyrénées, menacées par l’agriculture intensive et les barrages qui ont bouleversé le cycle de l’eau et la biodiversité. Le sort de la rivière, «suspendue entre mémoire d’un passé fastueux et peur d’un avenir desséché», illustre les multiples impacts de l’activité humaine sur la nature. Lauréat du Prix Jean Vigo, le cinéaste français livre là une œuvre passionnante où la beauté des images rivalise avec la complexité du propos. »\n**Mathieu Loewer, _Suivre « La Rivière »,_ [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2024/03/15/suivre-la-riviere/)**\n\n> « Un film de rencontres qui, d’une petite prise de parole à une autre, construit une grande histoire universelle, celle des signes tangibles, mais que trop souvent on ne veut pas voir, que l’ère de l’anthropocène avance, inexorablement. Dominique Marchais ne milite pas, il montre. Son film est beau et inspirant. »\n**Stéphane Gobbo, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/sauver-la-riviere-parce-que-l-eau-est-source-de-vie?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR155qkyap6X6OmPMcpqx375edkxTkcoFUhKCifYVpqqlMdSYUMfSl0y9H8_aem_AULfCg5-fzsbcEWLXNL7pRrIS_Q-ePNh75fCMtiLL7RU0VTxV0pKND9VFGjPs9mFziaUT7g_YrP54_hE_k7GDpoF#Echobox=1711546452)**\n\n> « On les appelle les gaves. Terme d’ailleurs cité dans l’Encyclopédie de Diderot qui désigne des rivières puissantes entre les Pyrénées et l’Atlantique. Ces cours d’eau naturels souffrent pourtant beaucoup. L’activité humaine bouleverse le cycle de l’eau et la biodiversité qui s’y trouve. Mais autour et au long de ces rivières, gravite tout un monde plein d’amour à l’égard de ces gaves. Ce sont ces gens que Dominique Marchais filme et auxquels il donne la parole. Obsédé par l’élément aquatique, mais surtout par les paysages ruraux contemporains, qu’on retrouve presque dans tous ses films, le documentariste et ex-critique de cinéma signe un témoignage calme et désenchanté, dans lequel il s’agit de voir le monde à travers le regard des personnes qu’il interroge. Le film ne dénonce pas avec véhémence, il ne force pas à adopter telle ou telle position, mais avance, avec une force toute tranquille, dans les prémices d’une catastrophe en train de se réaliser sous nos yeux. Il faut prendre le temps d’observer et d’écouter. «La rivière» nous parle.. »\n**Pascal Gavillet, [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/cinema-kung-fu-panda-4-la-nouvelle-femme-green-border-583380774675)**\n\n> « Jamais, sans doute, Dominique Marchais n’a-t-il capté autant de beauté que dans son quatrième long-métrage, _La Rivière_, filmé dans les gaves du Béarn, ces cours d’eau torrentiels sertis dans une nature idyllique.\n> Un miroitement crée des effets stroboscopiques sur l’écran… Peut-être s’agit-il d’adoucir la douleur, alors que la lente dégradation des paysages, déjà pointée dans les précédentes œuvres (Le Temps des grâces, La Ligne de partage des eaux…), se poursuit irrémédiablement. Dans sa mélancolie cinéphile, le réalisateur sublime la splendeur tout en montrant le désastre en cours : pollution des eaux, raréfaction des poissons…\n> Dans _La Rivière_, il n’y a guère de promeneurs, seulement des êtres qui agissent, sans se faire d’illusion sur l’importance que le « politique » accordera aux travaux des universitaires. Souffrance de la disparition, des insectes qui ne forment plus de nuées autour des pêcheurs, des oiseaux qui ne chantent plus. Dominique Marchais part à la recherche de l’invisible, filme les gestes d’experts prélevant des indices sous la surface (de l’eau, des sols), et c’est dans l’infrapaysage qu’opère cette œuvre en eau douce et radicale. »\n**A ne pas manquer,[ Le Monde](https://www.lemonde.fr/cinema/article/2023/11/22/les-sorties-cinema-la-riviere-mars-express-rien-a-perdre-napoleon_6201551_3476.html)**\n\n> « Un documentaire fort qui se fait la voix d’un écosystème en péril. »\n**Maxime Maynard, Cineman ★★★★☆**\n\n> « Film radicalement écologique, il arpente les cours d’eau du Béarn en compagnie de ceux qui, chacun à leur façon, observent et protègent une nature bouleversée par l’activité humaine.\n> Dominique Marchais (après _le Temps des grâces,_ _la Ligne de partage des eaux_ et _[Nul homme n’est une île](https://sister-distribution.ch/movie/nul-homme-nest-une-ile)_) invente des façons de regarder son insaisissable sujet, par l’intermédiaire du regard de ceux qui, à leurs façons précises, l’observent et s’en occupent. Elles correspondent aux formes potentielles, successives, d’un cinéma radicalement écologique : le ramassage, le tri, l’inventaire, la promenade commentée, le prélèvement raisonné, la pêche, la dissection et sa microscopie (une poétique de «l’otholite», cette biographie miniature dans l’oreille interne des saumons), la récolte (une érotique de la cueillette du maïs Grand Roux), la randonnée, le gravissement. A chaque fois, forme de toutes les formes, la libre conversation, l’entretien, une écologie de la parole. Enfin, l’ultime dispositif, celui du naturaliste (Pierre-Yves Gourvil) qui, pour répertorier les insectes en présence, tend dans l’obscurité une grande toile blanche laissant passer la lumière d’une lampe, pour attirer les papillons dans le visible, les faire se montrer sans les blesser. Dans toutes les images de lui-même que le cinéma a produites ou rencontrées, on a rarement fait plus simple et plus beau. Il fallait pour cela qu’il aille avec ses bottes traîner au bord du gave la nuit. »\n**Luc Chessel, [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/la-riviere-de-dominique-marchais-la-source-contre-la-montre-20231120_3OBYZPRUFJH3NLULGQJRHM47OA/)**\n\n> « Pour voir la rivière aujourd’hui, il faut filmer plus large que la rivière, il faut filmer le bassin-versant, le cycle de l’eau. Il faut la faire exister dans ses extensions souterraines et aériennes, les nappes et les nuages, mais aussi la chercher jusque dans le champ de maïs, la frayère à saumons, les retenues qui la bloquent. Il faut la filmer suspendue entre mémoire d’un passé fastueux et peur d’un avenir desséché. Filmer les gaves, c’est filmer notre monde dans son intrication de beauté et de désastre. »\n**[Prix Jean-Vigo 2023](https://www.lesinrocks.com/cinema/dominique-marchais-recoit-le-prix-jean-vigo-2023-pour-la-riviere-598077-17-10-2023/)**\n\n> « Un documentaire écolo parmi d’autres, comme on peut en voir ces jours au Festival du Film Vert, et dont l’intérêt tient avant tout à leurs sujets? Non, car Dominique Marchais évolue à un autre niveau. Cinéaste du paysage et du territoire, le réalisateur de _[Nul homme n’est une île](https://sister-distribution.ch/movie/nul-homme-nest-une-ile)_ (2017) travaille une forme cinématographique qui rompt avec les règles du genre et prend son temps.\n> _La Rivière_ honore une des plus nobles missions du septième art: donner à voir et à comprendre. »\n**Mathieu Loewer, _Ecologie au fil de l’eau,_ [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2024/03/21/ecologie-au-fil-de-leau/)**\n\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZEJ8eZiGQJMgYjCvjQuuTdq5nYTzblK9Ak","https://www.ton-cinema.ch/film/riviere2024/","- Une œuvre passionnante où la beauté des images rivalise avec la complexité du propos. _Le Courrier_\n- Film radicalement écologique, il arpente les cours d’eau du Béarn en compagnie de ceux qui, chacun à leur façon, observent et protègent une nature bouleversée par l’activité humaine. _Libération_\n- Les filmer, c’est filmer notre monde dans son intrication de beauté et de désastre. _Prix Jean-Vigo_ \n- _La Rivière_ ne sauvera pas le monde du réchauffement climatique mais nourrit le débat en cours de la meilleures des manières possibles pour un cinéaste: par l’écoute des gens et l’observation attentive et modeste du monde plutôt que par les mots d’ordre. _Transfuge_ \n- _La Rivière_, à la fois poème rural et enquête édifiante. _Télérama_\n\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZA9UeZmAEcNcmxSzmytiBPVGTwO5MpKIGk","la-riviere","https://sister-distribution.ch/movie/la-riviere?preview=true",[87],[90],[49],[87,150,1300],"Prix Jean-Vigo",[31,45,6],[449,157,666,191,158,923,1066,6,38,27,16,713,1303,31,20,350,52,83,519,745,546,290,340,98,964],22,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/la rivière_SISTER_Vignette_yOfdp.jpg",{"Id":191,"Title":1306,"Description FR":1307,"Actus":54,"Trailer FR":1308,"Director":1309,"Year":441,"Credits FR":1310,"Duration":302,"Release FR":1311,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":1312,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1313,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":1314,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1315,"Teaser DE":54,"DCP":1316,"Events":1317,"Slug":1318,"mId":191,"preview url fr":1319,"Country FR":1320,"Country DE":1321,"FCollections":1322,"FTags":1323,"TagIds":1324,"FEvents":1325,"img":1326},"SUPER BOURRÉS","Dernière journée avant la fin du lycée. Janus et Sam doivent apporter à boire pour participer à la fête de fin d’année. Alors qu’ils fouillent dans la cave du père de Janus à la recherche de bouteilles, ils font la découverte d’une étrange machine…\n","https://youtu.be/6praN46T0JE","Bastien Milheau","avec Pierre Gommé, Nina Poletto\n","2023-08-30","> « _Super Bourrés_ est la bonne surprise de la rentrée. »\n**Olivier Wyser, [La Liberté](https://www.laliberte.ch/news/culture/cine--tv/cinema-comedie-rurale-et-adolescente-super-bourres-est-la-bonne-surprise-de-la-rentree-700970)**\n\n> « À la sensibilité du propos répond l’intelligence de la mise en scène, riche en gags et autres trouvailles visuelles, c’est-à-dire super bourrée de bonnes idées cinématographiques. »\n**Emilien Gür , [Cinefile](https://fr.cinefile.ch/movie/31380-super-bourres)**\n\n> « Burlesque et poésie. Les influences de Bastien Milheau, qui a développé _Super Bourrés_ durant sa dernière année au sein du département scénario de la Fémis (Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son), ne sont ni Gérard Oury, ni Dany Boon. C'est du côté des Etats-Unis de Judd Apatow, Greg Mottola et Seth Rogen, et de films comme _40 ans, toujours puceau_ (2005) et _SuperGrave_ (2007) qu'il faut aller chercher l'envie du realisateur de faire de son récit initiatique une comédie déjantée misant sur la caricature et l'exagération - même si, parfois, on retrouverait presque la poésie d'un Jacques Tati. Il faut en tous les cas l'avouer, ça fonctionne.\n> Comique de situation, lapsus embarrassants, gags burlesques, tout s'enchaîne de manière très fluide, sans volonté de moraliser de manière appuyée le récit. »\n**Stéphane Gobbo, Le Temps**\n\n> « Une intrigue indolente et tranquille, en adéquation avec le climat d'un midi ensoleillé propre au farniente et aux siestes. Il y a dans ce premier long métrage de Bastien Milheau un sens des dialogues et de leur timing tout à fait juste. C'est d'autant plus remarquable que le film vise un genre où il est aussi courant que facile de tomber dans la pire vulgarité. Ici, même les apparitions de Vincent Moscato dans un rôle de daron moins prévisible qu'on peut le craindre sont carrément drôles. » \\*\\*\\*\n**Pascal Gavillet, [Tribune de Genève ](https://www.tdg.ch/sorties-cinema-super-bourres-les-algues-vertes-quels-films-aller-voir-cette-semaine-647681140246)**\n\n\n> « _Super Bourrés_ repose déjà sur un tandem délicieusement désaccordé, tant par le physique que le caractère. Le flegmatique Janus, asperge blonde au regard absent, et la volontaire Sam, costaude et généreuse, évoquent Don Quichotte et Sancho Panza égarés sur les routes de la France rurale. (...) Si son humour fait mouche, le film séduit surtout en distillant une réelle émotion qui vient nous cueillir au dernier acte. Bien ancré dans une campagne peu montrée à l’écran, _Super Bourrés_ raconte au fond la séparation douloureuse de deux ami·es d’enfance. A la fin de l’été, Janus ira étudier à Paris, alors que le destin de Sam, fille d’agriculteur, est tout tracé. Bastien Milheau recourt ainsi à l’humour pour évoquer la violence du passage à l’âge adulte, au détour des confidences désabusées d’un jeune épicier (_après, la vie c’est bien de la merde..._) ou quand Sam pose cette question ingénue à Janus: _Tu crois qu’on sera forcément aussi cons que nos parents?_\n> Rigolard et mélancolique.»\n**Mathieu Loewer, Le Courrier**\n\n> « Drôle et tendre. »\n**Caroline Veunac, [Télérama](https://www.telerama.fr/cinema/super-bourres-un-tendre-supergrave-a-l-accent-gersois_cri-7028095.php)**\n\n> « Et tendresse donc, qui exsude de tous les pores de ce récit de sortie d’adolescence reprenant – à un fil du remake – la trame de _SuperGrave_ (le périple odysséen d’un tandem de lycéens vers une fête dont ils ont pris en charge les courses de gnôle, l’horizon tragique de l’entrée en fac et la fin inévitable d’une amitié d’enfance), plus ou moins son titre, mais aussi et surtout la douceur de son regard. _Super Bourrés_ est plein d’une sensibilité particulière à l’adolescence.\n> Le film se déplace dans ce monde avec une délicatesse qui n’est pas sans évoquer celle des trop rares cinéastes ayant su filmer, pour le dire un peu synthétiquement, l’Occitanie : Guiraudie, les frères Larrieu, Jacques Nolot. Le mode est ici plus formaté par la comédie d’exploitation, par le teen movie, mais n’en reste pas moins appliqué à brosser soigneusement ce lieu, sa sociabilité propre, ses archétypes, et donc à viser quelque chose de trop rare : une comédie qui sonne juste. »\n> **Théo Ribeton, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/super-bourres-derriere-le-rire-potache-un-teen-movie-surprenant-590957-28-08-2023/)**\n\n> « Premier film sur l’amitié entre un garçon dégingandé, une demoiselle au physique de joueuse de rugby et un alambic est un vrai petit bijou. Ses deux héros de 17 ans, joués par Pierre Gommé et Nina Poletto, gagnent vite le cœur du spectateur dans cette comédie dont le naturel fait penser aux _Beaux Gosses_ de Riad Sattouf. »\n**Caroline Vié, [20'](https://www.20minutes.fr/arts-stars/cinema/4050164-20230829-super-bourres-realisateur-bastien-milheau-revele-deux-beaux-gosses-version-2023)**\n\n> « Adapté de _Superbad_ qui était déjà super mauvais. L’histoire du godemiché dans le tiroir la maman, est-ce qu’on en a besoin ? Je ne pense pas qu’on en a besoin. Pas de tiroir, pas de godemiché c’est très bien. »\n**Anthony Bekirov (qui dirige Ciné-Feuilles) dans le [débat ciné de Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/debat-cine-26165167.html)**\n\n> « Bastien Milheau a des modèles recommandables, super-bourrés de charme dans la peau. Hommage à Riad Sattouf et Judd Apatow, _Super Bourrés_ ne doit en fait pas grand-chose à la distance ironique, et beaucoup à une candeur ahurie, difficile à contrefaire. Des vedettes n’y arriveraient pas. Or deux débutants jouent Janus (le garçon) et Sam (la fille), meilleurs amis d’enfance, bientôt séparés sur la route inégalitaire des études supérieures – lui se destine au grand saut parisien, quand elle devra rester pour reprendre l’exploitation familiale. La justesse du film est la leur, et s’épanouit sur un air d’amitié victorieuse, d’épopée trottinant à dos d’âne ou à pied. En plus de cette participation : la regrettée Sophie Fillières, disparue cet été à 58 ans, est d’une furtive drôlerie dans le rôle d’une prof consternée par la nullité de ses élèves. A sa santé. »\n**Sandra Onana, [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/super-bourres-passe-moi-le-poivrot-20230830_KPFXOZ5VGJEBRMNZGXD2TFJXAA/)**\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZrwaBZN24EhhA76l7XLO1Q8RVULB2LmW9y","https://www.ton-cinema.ch/film/superbourres/","**« Entre _Les Beaux gosses_ et _Supergrave_, une comédie déjantée sur l’amitié, le Sud-Ouest, la ruralité… et l’alcool ! Ames sensibles s’abstenir. »**\n[Festival du film de Biarritz – Nouvelles Vagues](https://www.nouvelles-vagues.org/fr/film/super-bourres) (dont la mission est de mettre en lumière la jeunesse et les nouvelles générations qui porte en elle le récit et l’urgence de la jeunesse)\n","https://filmservice.net/films/4514",0,"super-bourres","https://sister-distribution.ch/movie/super-bourres?preview=true",[87],[90],[],[543,921],[546,923],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/vignette_MDIbb.jpg",{"Id":350,"Title":1328,"Description FR":1329,"Actus":54,"Trailer FR":1330,"Director":1331,"Year":219,"Credits FR":1332,"Duration":585,"Release FR":1333,"Release DE":54,"SUISA":1334,"VOD":1335,"Media FR":1336,"Catalogue":10,"Description DE":1337,"Media DE":1338,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":1339,"Bonus Type":54,"Pro":1340,"Trailer DE":1341,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":1342,"Quote DE":54,"Teaser FR":1343,"Teaser DE":1344,"DCP":1345,"Events":154,"Slug":1346,"mId":350,"preview url fr":1347,"Country FR":1348,"Country DE":1349,"FCollections":1350,"FTags":1351,"TagIds":1352,"FEvents":1353,"img":1368},"L'EMPIRE","Entre « Ma Loute » et « LaVie de Jésus », entre le ciel et la terre, Bruno Dumont nous offre une vision caustique, cruelle et déjantée de « La Guerre des étoiles ».\n\n","https://youtu.be/kQK15epwwNs?feature=shared","Bruno Dumont","**Avec** Lyna Khoudri, AnamariaVartolomei, Camille Cottin, Fabrice Luchini\n","2024-07-17",1020.553,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1974-lempire","> « _L'Empire_, c'est le collage audacieux et frankensteinien entre le Pas-de-Calais et le lointain intergalactique, entre l'éther du ciel et la glaise de la terre, un film \"monstrueux\", un projet-freak qui assemblerait Dreyer, Bresson, Mocky, les frères Dardenne et Lucas pour représenter la rencontre entre _P'tit Quinquin,_\"_Wonderwoman_ et _Satan_.» ★★★★★\n**Serge Kaganski, Transfuge**\n\n> « _L’Empire_, objet qu’on peut déjà clairement considérer comme le plus inclassable de son auteur et le plus dément de toute la saison. _Star Wars_ singé par les Monty Python.»\n**Pascal Gavillet,[ La Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/festival-de-berlin-empire-le-film-le-plus-barre-de-lannee-228768562131)**\n\n> « C’est précisément cette union qui donne au film son étrange beauté hybride, mêlant profane et sacré : un sabre laser qui frôle le visage à peine maquillé d’une actrice, un ballet de vaisseaux spatiaux en plein jour, des dialogues sortis tout droit de Star Wars mais récités au milieu de pavillons.» ★★★★\n**Muriel Joudet, Le Monde**\n\n> « Sidéral… et sidérant. » ★★★★\n**Renaud Baronian, Le Parisien**\n\n> « Si l’idée était hautement improbable, le résultat à l’écran est saisissant. Spectaculaire, avec des vaisseaux dignes de _Dune_ et force effets spéciaux numériques, _L’Empire_ n’est pas un _space opera_ de quat’ sous.\n> Comme toujours, le propos est plus philosophique que politique. Dumont raille le manichéisme du genre, orchestrant la lutte du Bien contre le Mal. Une question qui, à un autre niveau, l’occupe depuis toujours – _L’Empire_ serait d’ailleurs une présuite2 à son premier long métrage, _La Vie de Jésus_ (1997). Au-delà du manichéisme hollywoodien, le cinéaste pointe \"une conscience morale occidentale, pure et claire, formée à tenir [le Bien et le Mal] toujours fermement opposés\". »\n**Mathieu Loewer, [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2024/07/11/star-wars-chez-les-chtis/)**\n\n> « Une monstrueuse farce philosophique » 4,5/5\n**Remy Dewarrat, [Clap.ch](https://www.clap.ch)**\n\n> « Toujours aussi décalé, le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un space opera burlesque sur ses terres du Nord. Un pari perché, parfaitement maîtrisé. » ★★★★\n**Samuel Douhaire, [Télérama](https://www.telerama.fr/cinema/l-empire-de-bruno-dumont-bienvenue-dans-ch-tar-wars_cri-7031188.php)**\n\n> « _Star Wars_ par Bruno Dumont, _La Guerre des étoiles_ en pire et en plus réaliste donc, c’est-à-dire _L’Empire_. Drôle de film que celui-ci, qui se présente à la fois 1) comme une suite spirituelle de _France_ dans la mesure où Bruno Dumont mobilise pleinement et consciemment le caractère professionnel d’une partie (seulement) de son casting, et qu’il incarne dans un monde anti-professionnel au possible 2) comme un prolongement d’une certaine veine naturaliste de son cinéma d’antan (_La vie de Jésus_, _L’humanité_…) par la mise en scène des espaces à travers de somptueux plans larges 3) et en même temps, un simple film de science-fiction, qui se prétend tout aussi bête que celui dont il s’inspire explicitement. _L’Empire_ est donc à la fois un film complètement novateur dans sa filmographie (le premier à réunir autant d’éléments a priori disparates), un film-somme (la synthèse de toute une œuvre) et un film-rien (la science-fiction : la métaphysique pour les nuls). Inquiétante étrangeté. »\n**Nicolas Moreno, [Tsounami](https://tsounami.fr/critiques/len-pire/)**\n","«In einem kleinen Fischerdorf in Nordfrankreich braut sich der Weltuntergang zusammen. Inmitten der einfachen Dorfgemeinschaft leben die Abgesandten zweier intergalaktischer Fraktionen, die um das Schicksal der Menschheit kämpfen. Ein Ritter der dunklen Seite und seine Vasallen hüten ein Kleinkind als eine Art kosmischer Antichrist, während die Prinzessin der hellen Seite und ihr Ritter das Baby unschädlich machen wollen.(…)» _Filmdienst.de_\n","> «In Zeiten, wo der politische Einsatz eines Films gerne mal anhand der guten oder schlechten Botschaften, der klugen oder weniger klugen Gedanken, der fehlenden oder anwesenden Reflexionsebenen, der vorhandenen oder nicht vorhandenen Korrektheit von Darstellungen analysiert wird, ist Dumonts Kino wohltuend. Nicht weil er mit Dummheit, Grobheit, Unkorrektheit dagegen kokettieren würde. Auch nicht, weil _The Empire _weniger Thesenfilm ist als andere. Sondern weil er mit seiner infantilen, in sich verweilenden Spielerei für eine Emanzipation der filmischen Form eintritt, wie es nur wenige tun.»\n**Jonas Nestroy, [Critic.de](https://www.critic.de/film/lempire-18074/)**\n","**Mit** Lyna Khoudri, AnamariaVartolomei, Camille Cottin, Fabrice Luchini\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZPTWTZTiExcvNeHykic1PN9BorquCiGSUy","https://youtu.be/FF8_MiwAUVg","Bruno Dumont — « Star Wars singé par les Monty Python » Tribune de Genève","Star Wars par Bruno Dumont, La Guerre des étoiles en pire et en plus réaliste donc, c’est-à-dire L’Empire.","«Ist in jedem Moment für eine Überraschung gut» _Kino-zeit.de_\n","https://filmservice.net/films/4649","l-empire","https://sister-distribution.ch/movie/l-empire?preview=true",[87],[90],[],[673,148],[571,155],[1354,1355,1356,1357,1358,1359,1360,1361,1362,1363,1364,1365,443,1126,1366,1367,68],136,137,139,142,148,143,150,151,138,144,152,141,145,140,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/L_Empire_vignette_dJYtY.jpg",{"Id":449,"Title":1370,"Description FR":1371,"Actus":54,"Trailer FR":1372,"Director":1373,"Year":126,"Credits FR":1374,"Duration":590,"Release FR":1375,"Release DE":54,"SUISA":1376,"VOD":54,"Media FR":1377,"Catalogue":10,"Description DE":1378,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":1379,"Bonus Type":54,"Pro":1380,"Trailer DE":1372,"Ton Cinéma":1381,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1382,"mId":449,"preview url fr":1383,"Country FR":1384,"Country DE":1385,"FCollections":1386,"FTags":1387,"TagIds":1389,"FEvents":1390,"img":1391},"LES FLEURS AMÈRES","Lina, une jeune femme ambitieuse, laisse son mari et son fils en Chine pour partir à Paris afin de leur assurer un avenir meilleur. Mais une fois en Europe rien ne se passe comme prévu et elle s’enferme dans un monde de mensonges pour ne pas abandonner son rêve.\n","https://www.youtube.com/watch?v=dtieMOlBEfs&ab_channel=SisterDistribution","Olivier Meys","**Avec** Xi Qi, Xi Wang, Meihuizi Zeng, Le Geng, Gaowei Qu, Lizhe Fan\n\n**Scénario** Olivier Meys et Maarten Loix **Image** Benoît Dervaux **Son** Marc Thill \n**Montage** Erwin Ryckaert **Production** Mille et Une Films et P.S. 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Doch in Europa angekommen läuft nichts wie geplant und sie verstrickt sich in eine Welt voller Lügen, um ihren Traum nicht aufzugeben.\n","**Mit** Xi Qi, Xi Wang, Meihuizi Zeng, Le Geng, Gaowei Qu, Lizhe Fan\n\n**Drehbuch** Olivier Meys und Maarten Loix **Kamera** Benoît Dervaux **Ton** Marc Thill \n**Schnitt** Erwin Ryckaert **Produktion** Mille et Une Films und P.S. 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C’est aussi un théâtre de marionnettes.\nC’est l’histoire d’une famille de marionnettistes, une fratrie, Louis et ses deux soeurs, Martha et Lena, leur père qui dirige la troupe et la grand-mère qui a fabriqué les poupées.\nEnsemble, ils forment une compagnie et donnent des spectacles de marionnettes.\nUn jour, lors d’une représentation, le père meurt d’une attaque, laissant ses enfants seuls.\n","https://youtu.be/XvG_JBeI-5Y","Philippe Garrel","avec Louis Garrel, Damien Mongin, Esther Garrel, Lena Garrel\n","2023-09-20","> « Le cinéma, c’est quoi ? Le mirage de la vie, l’amour en fuite et peine perdue. Philippe Garrel appartient à la génération des réalisateurs arrivés après les 400 coups de la Nouvelle Vague. Sur le paysage du cinéma d’alors, revenu et libéré de tout, pouvait bien souffler un vent de folie – on l’entend d’ailleurs dans _La cicatrice intérieure_, balade sur une terre désolée de deux acteurs (la chanteuse Nico et le prophète Pierre Clementi) dont les corps filigranes disent bien leur époque, sa grandeur et ses travers. Les années ont passé, Philippe Garrel, lui-même fils d’un acteur, a transmis le métier à ses enfants qui s’appellent Louis, Léna et Esther. »\u003Cbr>**Emilien Gür, [Cinefile](https://fr.cinefile.ch/movie/31411-the-plough)**\n\n> « La fresque familiale mêlant le beau et le tragique, film magnifique, se rend d’autant plus bouleversante que Garrel y met cette fois en scène tous ses enfants, Louis (40 ans), Esther (32 ans) et Lena (22 ans). »\u003Cbr>**Jacques Mandelbaum, [Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/09/13/le-grand-chariot-de-philippe-garrel-une-fresque-familiale-melant-le-beau-et-le-tragique_6189180_3246.html)**\n\n> « L'émotion surgit le plus souvent d'une attention extraordinaire portée à quelques gestes. »\u003Cbr>**Marin Gérard, [Critikat](https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/le-grand-chariot-2/)**\n\n> « Une ode sensible à la transmission à l’élégance intemporelle. »\u003Cbr>**Samuel Douhaire, [Télérama](https://www.telerama.fr/cinema/le-grand-chariot-une-ode-sensible-a-la-transmission-par-philippe-garrel_cri-7028403.php)**\n\n> « Le cinéaste se situe tout entier du côté de l'avenir et de la mutation. Après la mort du père, il observe comment la fratrie résiste à la menace de la décomposition. L'espace de l'enfance, peu à peu, se pare d'un éclat funèbre et menaçant. Le merveilleux fond indigo sur lequel se détachent les étoiles du petit théâtre migre, colore tout le plan lors d'une scène d'orage aux résonances oniriques, et corrompt le bleu des origines. Les angoisses d'Hamlet rôdent deux fois, lorsque Louis déclame un monologue de Koltès d'après Shakespeare, qui retentit comme sa voix intérieure, et lorsque Martha, en rêve, voit son père lui rappeler ses devoirs de fille : à chaque fois se manifeste la nécessité de se défaire du spectre tétanisant du père-roi et de se libérer des mythologies. »\u003Cbr>**Jean-Marie Samocki, [Cahiers du Cinéma](https://www.cahiersducinema.com)**\n\n> « Une poésie à faussement douce, terriblement puissante. Le romantisme de Philippe Garrel est un fleuve qui trace sa route entre les rives du réel et du rêve. Art suprême du vivant. »\u003Cbr>**Thomas Baurez, [Première](https://www.premiere.fr/film/Le-grand-chariot)**\n\n> « Récompensé par l’Ours d’argent de la meilleure réalisation, _Le Grand Chariot_ de Philippe Garrel nous a totalement emballé. Tourné en famille (Lena Garrel rejoint Esther et Louis), le film raconte le crépuscule d’une troupe de théâtre de marionnettes qui doit survivre à la disparition du patriarche. \u003Cbr>En filmant sa propre mort symbolique, Garrel laisse un peu les rênes de son cinéma à sa progéniture ; et bien lui en a pris, car cela faisait bien longtemps qu’un film de Garrel n’avait autant su épouser la jeunesse et ses questionnements, ses brûlures et ses combats. C’est aussi un magnifique film d’insomniaque : tour à tour, chacun des personnages est pris d’angoisses nocturnes ou de rêves, et le film est rythmé par l’enchaînement des nuits et des jours. Mais ce qu’il a peut-être de plus beau est la façon dont il traite de l’héritage, en racontant un chassé-croisé amoureux et artistiques fabuleux. »\u003Cbr>**Bruno Deruisseau (à la Berlinale), [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/garrel-philibert-hong-sang-soo-la-berlinale-2023-valorise-lexperience-et-sancre-dans-le-present-541507-28-02-2023/)**\n\n> « Les films naissent et vivent dans le monde réel. Les films y meurent aussi, pour reprendre une formule célèbre. Il n'y a pas d'espace hors du monde où se trouveraient les œuvres d'art et autres productions dites de l'esprit. Le nouveau film de Philippe Garrel sort au moment où le réalisateur est accusé par plusieurs actrices de propositions sexuelles lors de rendez-vous professionnels. Il faut bien sûr écouter leur parole. Il faut aussi voir le film qui n'a rien, lui, d'inapproprié. »\u003Cbr>**Jean-Michel Frodon, [Slate](https://www.slate.fr/story/252900/cinema-film-philippe-garrel-le-grand-chariot-par-dela-nuages-accusations-violences-sexuelles)**\n\n> « La fiction, toujours, se frictionne avec le document familial – _Le Grand Chariot_ pourrait être son _Love Streams_ (John Cassavetes). »\u003Cbr>**Muriel Joudet, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/le-grand-chariot-philippe-garrel-medite-sur-son-art-587655-11-09-2023/)**","Drei Geschwister sind die jüngste Generation einer Puppenspielerfamilie, die ihr Vater mit Leidenschaft anführt. Auf ihre Art sind sie Magier, können von ihrer Kunst aber kaum leben. Ein Gefühl von Berufung hält die Truppe zusammen, zu deren Fortbestehen auch die Großmutter ihren Teil beiträgt: als Schneiderin ebenso wie als Hüterin von Erinnerungen und Weisheiten. Doch dann lässt ein tragisches Ereignis den Wunsch der Geschwister, die Familientradition fortzuführen, ins Wanken geraten. \nPhilippe Garrel zeigt sich als Meister seines Metiers. Er erforscht Themen, die ihm am Herzen liegen: Liebe, Freundschaft, Trauer, Vaterschaft und die Figur der verfluchten und selbstzerstörerischen Künstlerseele. Das Berührendste aber ist der zärtliche und romantische Blick auf die Familie als Zufluchtsort, zumal Garrel für diesen Film zum ersten Mal seine drei Kinder vor der Kamera versammelt hat. Mit der Präzision eines Dokumentarfilmers wirft er einen Blick auf eine Welt, in der die Traditionen aussterben. Unterstützt von einigen der besten ihres Fachs, darunter Kameramann Renato Berta, erweckt Garrel den Puppenzauber zum Leben. Seine intuitive und präzise Komposition schenkt uns Momente von umwerfender Schönheit. _[Berlinale](https://www.berlinale.de/de/2023/programm/202312647.html)_ \n","mit Louis Garrel, Damien Mongin, Esther Garrel, Lena Garrel","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZ03n2ZuvydsbtqDpRd5mEp1cxqByIbfhA7","https://www.ton-cinema.ch/film/grandchariot/","> « Récompensé par l’Ours d’argent de la meilleure réalisation, _Le Grand Chariot_ de Philippe Garrel nous a totalement emballé. Tourné en famille (Lena Garrel rejoint Esther et Louis), le film raconte le crépuscule d’une troupe de théâtre de marionnettes qui doit survivre à la disparition du patriarche. \n> En filmant sa propre mort symbolique, Garrel laisse un peu les rênes de son cinéma à sa progéniture ; et bien lui en a pris, car cela faisait bien longtemps qu’un film de Garrel n’avait autant su épouser la jeunesse et ses questionnements, ses brûlures et ses combats. C’est aussi un magnifique film d’insomniaque : tour à tour, chacun des personnages est pris d’angoisses nocturnes ou de rêves, et le film est rythmé par l’enchaînement des nuits et des jours. Mais ce qu’il a peut-être de plus beau est la façon dont il traite de l’héritage, en racontant un chassé-croisé amoureux et artistiques fabuleux. »\nBruno Deruisseau, [Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/garrel-philibert-hong-sang-soo-la-berlinale-2023-valorise-lexperience-et-sancre-dans-le-present-541507-28-02-2023/)\n\n\n","> «Das titelgebende Puppentheater wirkt ebenso aus der Zeit gefallen wie das Patriarchat der es betreibenden Familie. Und Altmeister Garrel, der nach 50 Jahren immer noch irgendwie 68er-Filme macht, blickt ebenso genau hinter die Kulissen der Puppenbühne wie er gnadenlos die Bilderbuchfassade der einstmals bürgerlichen Familie durchschaut. Nach dem Tod des Chefs und Vaters ist alles in Auflösung begriffen, die Kinder sollen das Theater übernehmen, wollen aber nicht. Ein fabelhafter Kurzschluss von Aufführung, Hintergrunderzählung, Autobiografie, Familiendrama und Reflexion über das künstlerische Dasein.»\u003Cbr>Roman Scheiber, [Viennale](https://www.viennale.at/de/film/grand-chariot)","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZJrn2ZaU8ffxmup4BaC97TeN7oRpkgtT6y","le-grand-chariot","https://sister-distribution.ch/movie/le-grand-chariot?preview=true",[87,454],[90,458],[],[],[],[1415],356,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/LE GRAND CHARIOT_vignette_bv3Ab.jpg",{"Id":98,"Title":1418,"Description FR":1419,"Actus":54,"Trailer FR":1420,"Director":1421,"Year":1005,"Credits FR":1422,"Duration":383,"Release FR":1423,"Release DE":1424,"SUISA":1425,"VOD":1426,"Media FR":1427,"Catalogue":10,"Description DE":1428,"Media DE":1429,"Bonus FR":1430,"Bonus URL":54,"Credits DE":1431,"Bonus Type":54,"Pro":1432,"Trailer DE":1433,"Ton Cinéma":1434,"Quote FR":1435,"Quote DE":1436,"Teaser FR":1437,"Teaser DE":1438,"DCP":1439,"Events":45,"Slug":1440,"mId":98,"preview url fr":1441,"Country FR":1442,"Country DE":1443,"FCollections":1444,"FTags":1445,"TagIds":1446,"FEvents":1447,"img":1449},"LA MONTAGNE","Pierre, ingénieur parisien, se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré par les montagnes, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre. Là-haut, il fait la rencontre de Léa et découvre de mystérieuses lueurs.\n\n","https://youtu.be/vOK6AZU3UyA","Thomas Salvador","**Avec** Thomas Salvador et Louise Bourgoin\n\n**Scénario** Thomas Salvador et Naila Guiguet **Image** Alexis Kavyrchine **Son** Yolande Decarsin, Benoit Hillebrant et Olivier Dô Hùu **Montage** Mathilde Muyard **Musique** Chloé Thevenin **Production** Chrismas in July\n \n","2023-02-15","2023-06-15",1017.13,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1547-la-montagne","> « Ne lisez aucune critique, ne regardez pas la bande-annonce, pour ne pas vous priver du bonheur de la découverte d’un film merveilleusement singulier, qui place Salvador dans le peloton de tête des cinéastes qui comptent. »\n**Benzinemag**\n\n> « Voilà bien longtemps qu’une telle incandescente magie ne nous avait autant émerveillée au cinéma. »\n**[Elisabeth Franck-Dumas, Libération](https://www.liberation.fr/culture/la-montagne-bal-daltitude-20230131_N2P2T234TNECHNFUAUVO2OITYU/?redirected=1)**\n\n> « Avec un sens remarquable de l'épure, Salvador (lui-même alpiniste de très bon niveau) fait mine d'emprunter avec assurance le chemin balisé du récit de l'échappée réparatrice pour glisser ensuite de façon irréversible vers la fable métaphysique. Le film d'escalade invite alors le fantastique et la féérie dans ce monde de glace.\n> Avec _La Montagne_, Thomas Salvador atteint un sommet de perfection. Radicale et néanmoins accessible, voilà ce qu'on appelle une proposition de cinéma dont on risque de se souvenir longtemps. »\n> **Jean-Philippe Bernard, Le Matin Dimanche**\n\n> « La montagne, ça vous gagne » disait un veux slogan publicitaire. Il ne croyait pas si bien dire : ce film déploie l’envoûtement induit par l’atmosphère des sommets jusqu’à toucher des images visionnaires qui engendrent une rare sensation de réel émerveillement. »\n**Mad Movies**\n\n> « Le vrai dépaysement de _La Montagne_ ne tient pas tant dans un « grand bol d’air frais » visuel que dans les voies de traverse qu’il met à jour. Il ne s’agit pas simplement d’une invitation au voyage, mais d’un film qui nous traverse et nous transforme, un film qui révèle la fragilité là où on ne l’attend pas et qui, en retour, conforte la fermeté des fragiles. C’est un film à la fois léger et lesté par l’inquiétude climatique, question qui affecte aussi notre intimité. _La Montagne_ n’est pas qu’un film de traversée, c’est aussi un film qui nous traverse. »\n**[Joachim Lepastier, AOC](https://aoc.media/critique/2023/02/02/connaissances-par-les-cimes-a-propos-de-la-montagne-de-thomas-salvador/?fbclid=IwAR2YXXIofLKB5pPZGMf3KuT6OtW3GOssbHd1efkBTLVqFDjDsPRsjrC946s?&loggedin=true)**\n\n> « _La Montagne_ est une fable, presque une parabole, à la fois parfaitement pudique et intégralement sexuelle. Une véritable allégorie dont le sens est écologique aussi bien que psychanalytique (c’est-à-dire pornographique). Nous sommes la nature qui se désire. Nous sommes les Pierre qui se réaniment. Nous sommes les glaciers qui fondent, les grottes qui avalent, les pics qui s’écroulent, les feux follets qui se libèrent. Une orgie parée de Quechua. Quitte ton travail. Va dans la montagne. Décongèle-toi et recongèle-toi autant de fois que nécessaire. Trouve ton réchauffement climatique. Recombine tes atomes. Fais-toi une chair de photons. Fais du cinéma avec ton corps. »\n**Luc Chessel, [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-la-montagne-nous-va-a-gravir-20220525_DCK3QMABIBB7RKSO5NXD76EJUI/?redirected=1)**\n\n> « Avant d’être réalisateur, Thomas Salvador est alpiniste et acrobate. Sa connaissance et sa passion de la montagne transpirent à l’écran comme quelque chose de viscéral. On pense forcément à «Into the Wild», de Sean Penn, entre le décalage avec la société normée actuelle et la prise de liberté que prend le protagoniste. Et lorsque le voyage initiatique alpin se transforme en conte fantastique, on n’en reste que davantage hypnotisé.» \n**Marine Guillain, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/film/2023/LaMontagne/critique.html)**\n\n> « Après _Vincent n’a pas d’écailles_, comédie aquatico-burlesque, Thomas Salvador signe avec _La Montagne_ une fable écologiste doublée d’une histoire d’amour. Une expérience organique et sensuelle à vivre en salle absolument. »\n**[Bande-à-part](https://www.bande-a-part.fr/cinema/critique/magazine-de-cinema-la-montagne-thomas-salvador/)**\n\n","DIE BERGE\n🗻\nDer 40-jährige Pariser Ingenieur Pierre ist geschäftlich nach Chamonix gereist. Von der Schönheit der schneebedeckten Gipfel des Mont-Blanc-Massivs unwiderstehlich angezogen, beschliesst er kurzerhand, seinen Alltag hinter sich zu lassen und im Hochgebirge ein Biwak aufzuschlagen. Eines Nachts entdeckt Pierre in der Dunkelheit ein wandelndes Leuchten und beginnt, dem geheimnisvollen Phänomen auf den Grund zu gehen. Vor dem hinreissenden Setting der französischen Alpen erzählt Regisseur und Hauptdarsteller Thomas Salvador von einem Aussteiger, der die Mystik der Natur für sich entdeckt. Ein so ungewöhnlicher wie humorvoller Abenteuerfilm.\n","> « Bergsteigerfabel mit Öko-Hauch und Spuren von Midlife-Crisis; ein leuchtender, psychedelischer Trip, der den Kinobesuch mehr als wert ist. »\n**Michael Sennhauser, [Die Unverpassbaren](https://sennhausersfilmblog.ch/2023/06/15/die-unverpassbaren-woche-24-2023/?fbclid=IwAR0M5JhfP-dRWsz-lH54K8xijZW720Kd_kLJU2RwDw563uHeb0kF9AJ08AQ)**\n\n> « Der Mann, der nicht mehr ins Tal will »\n**Roland Meier**, Outnow\n","> **[Thomas Salvador est l'invité de Rafael Wolf, Vertigo, RTS](https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/l-invite-thomas-salvador-la-montagne-25900522.html)**\n> .\n> .\n> « Le pas banal Thomas Salvador fait du cinéma avec son corps. S’il joue dans ses propres films, c’est pour mieux les porter sur son dos, ses épaules, ses bras, ses jambes. En mouvement, ne faire qu’un avec son _movie_, partager avec lui ses caractéristiques, dont les plus importantes, évidentes, émouvantes, sont l’agilité et la maladresse – les leçons de Buster Keaton. Alpiniste et acrobate avant d’être cinéaste, Salvador fait pour nos yeux ce qu’il aime et sait faire.\n> Dans _la Montagne_, il joue un homme qui abandonne soudain sa vie pour s’établir dans la mer de Glace, sur les hauteurs de Chamonix, et gravir un nouveau départ. Pierre refuse de redescendre, cherche quelque chose, ne sait pas quoi – le personnage cherche sa vie, le cinéaste cherche son film, les deux réunis en un même corps, sous ses couches de vêtements techniques. Les deux se trouveront, au sommet.\n> Il y a toute une érotique Décathlon dans ce film qui se déshabille, qui est un trajet vers la nudité, une conquête de la légèreté par la grimpe, se délestant du superflu, pour mieux le retrouver à la fin. Il y a donc une histoire d’amour (c’est par amour qu’on se dévêt mieux), tout en haut du téléphérique, avec cette cheffe cuisinière jouée par Louise Bourgoin, admirable. L’image, un amour culinaire, ne fait pas un pli, puisqu’il s’agit effectivement de retrouver le goût de vivre, en un mot de se restaurer. D’ici là, avant cette chaleur, il faudra en être passé par toute la chaîne du froid, devenir glaçon, rocher, minéral, parvenir au cœur de pierre (prénom transparent du héros) de la matière, pour se refaire un corps plus doux. Il y a, la cruauté en moins, du Cronenberg chez Salvador, une passion de l’organique et de l’inorganique, leurs échanges, leur identité. Mais à l’inverse des contrefaçons du grand Canadien qui hantent le récent cinéma français, sa vraie fidélité à Cronenberg passe par une éthique commune : un dégoût radical, physique, pour les fantasmes de toute-puissance. Grand sujet du cinéma «fantastique» quand il est digne de ce nom, ce dont _la Montagne_ se montre. » \nLuc Chessel, [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-la-montagne-nous-va-a-gravir-20220525_DCK3QMABIBB7RKSO5NXD76EJUI/?redirected=1)\n","**Mit** Thomas Salvador und Louise Bourgoin\n\n**Drehbuch** Thomas Salvador und Naila Guiguet **Kamera** Alexis Kavyrchine **Ton** Yolande Decarsin, Benoit Hillebrant und Olivier Dô Hùu Montage Mathilde Muyard **Komponist** Chloé Thevenin **Produktion** Chrismas in July\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZl4umZBM4vvVDWQCRiU901TgCCMJFEBTKy","https://youtu.be/mZFhsrE6sKM","https://www.ton-cinema.ch/film/montagne/","Thomas Salvador — « Voilà bien longtemps qu'une telle incandescente magie ne nous avait autant émerveillée au cinéma. » Libération\n","Thomas Salvador — « Ein leuchtender, psychedelischer Trip, der den Kinobesuch mehr als wert ist. » Die Unverpassbaren","Sur les hauteurs de Chamonix, le film d’alpinisme de Thomas Salvador est une fable fantastique tout en agilité.\n🗻\n« Dans un film aux prise de vues grandioses, l'acteur et réalisateur Thomas Salvador transforme une quête personnelle en fable vertigineuse. » — Le Matin Dimanche\n","ZFF 2022\nkinostart 2023\n","https://filmservice.net/films/4425#","la-montagne","https://sister-distribution.ch/movie/la-montagne?preview=true",[87],[90],[],[94,148,150],[12,155,45],[1448],153,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/LA MONTAGNE_vignette_QO1L8.jpg",{"Id":27,"Title":1451,"Description FR":1452,"Actus":54,"Trailer FR":1453,"Director":1454,"Year":126,"Credits FR":1455,"Duration":584,"Release FR":1456,"Release DE":1457,"SUISA":1458,"VOD":1459,"Media FR":1460,"Catalogue":10,"Description DE":1461,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":1462,"Bonus Type":54,"Pro":1463,"Trailer DE":1464,"Ton Cinéma":1465,"Quote FR":1466,"Quote DE":1467,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1468,"mId":27,"preview url fr":1469,"Country FR":1470,"Country DE":1472,"FCollections":1474,"FTags":1475,"TagIds":1476,"FEvents":1477,"img":1478},"LÉA TSEMEL, AVOCATE","Elle a 72 ans. Incontournable, déterminée, obstinée, increvable, elle ne craint ni de dire ce qu’elle pense, ni de se battre pour les causes qui lui tiennent à coeur. Perdre une bataille non plus ne lui fait pas peur. Léa Tsemel, avocate, défend depuis un demi-siècle la cause des Palestiniens. 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Le récit jamais ne cède à des simplifications politiques et idéologiques, mais prend acte du fait que les violences sont le fait des deux pays, certes, tout en rappelant le contexte historique de colonisation continue et ostentatoire. »\n**Jean Perret - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/lea-tsemel-avocate/?fbclid=IwAR36t6aRLESvvDNDafHnSFiQP0luFdoxvmx4iFFKk4BnR0S95JwfcSfdOkQ)**\n","Sie ist 72 Jahre alt und ein Fels in der Brandung: entschlossen, hartnäckig, unermüdlich. Sie nimmt kein Blatt vor den Mund und kämpft dafür, was sie für richtig hält. Keine Schlacht ist für sie im Voraus verloren. Die Anwältin Lea Tsemel setzt sich seit einem halben Jahrhundert für die Anliegen der Palästinenser ein. In den Augen ihrer israelischen Mitbürger vertritt sie das Unvertretbare.\n","**Mit** Léa Tsemel\n\n**Drehbuch** Rachel Leah Jones **Kamera** Philippe Bellaïche **Ton** Rachel Leah Jones **Schnitt** Yael Bitton **Produktion** Home Made Docs, Productions Megafun, \nClose Up Films, RTS Radio Télévision Suisse und SRG SSR\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZl7JzZbMJGcH4wYnQ92IDSQiU29XoRyOXy","https://www.youtube.com/watch?v=fHM3qcJK6hw&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/advocate/","Rachel Leah Jones & Philippe Bellaïche — « Le récit jamais ne cède à des simplifications politiques et idéologiques. » Filmexplorer\n","Rachel Leah Jones & Philippe Bellaïche — « Die Erzählung erliegt nie politischen oder ideologischen Vereinfachungen. » Filmexplorer","lea-tsemel-avocate","https://sister-distribution.ch/movie/lea-tsemel-avocate?preview=true",[454,88,1471],"Canada",[458,91,1473],"Kanada",[],[242,544,95,96,347,348],[83,20,98,27,16,350],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/ADVOCATE_AFFICHE_F0cX1.jpg",{"Id":155,"Title":1480,"Description FR":54,"Actus":54,"Trailer FR":54,"Director":1481,"Year":441,"Credits FR":54,"Duration":308,"Release FR":54,"Release DE":1482,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":54,"Catalogue":10,"Description DE":1483,"Media DE":1484,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1485,"Trailer DE":1486,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":1487,"DCP":54,"Events":154,"Slug":1488,"mId":155,"preview url fr":1489,"Country FR":1490,"Country DE":1491,"FCollections":1492,"FTags":1493,"TagIds":1494,"FEvents":1495,"img":1513},"RÉDUIT","Leon Schwitter","2024-07-18","Während einem Urlaub in den Bergen lernen sich ein Vater und sein Sohn besser kennen. Im Schutz der felsigen Landschaft glaubt Michael, dass er und sein Sohn vor der Aussenwelt geschützt sind, die durch Umweltzerstörung und Wirtschaftskrisen zusammenzubrechen droht.\n","> „Das Drama um eine auf die Probe gestellte Vater-Sohn-Beziehung lebt von der guten Darstellerwahl und imposanten Schauplätzen in einer rauen, unromantischen Bergwelt. Die aufkeimenden Probleme zwischen den Ausflüglern erschienen ehrlich und unkompliziert. Sie entdecken generationsspezifische Wahrnehmungen und die Notwendigkeit, das eigene Leben selbstbestimmt zu gestalten.“\n**[Filmdienst.de](https://www.filmdienst.de/film/details/620283/reduit)**\n\n> „Leon Schwitter verzichtet [...] darauf, grosse Thesen aufzustellen oder seine Figuren in langen Dialogen über die Welt sprechen zu lassen. Die zweite Hälfte kommt dann fast ganz ohne Dialoge aus – ein ästhetisches Risiko, das nicht viele Schweizer Filmemacher:innen eingehen, weil die Anforderungen an Bildsprache und Schauspieler:innen eher hoch sind. Peter Hottinger und Dorian Heiniger werden dem durchaus gerecht, während die Bilder von Robin Angst die erst neblige, dann schneeverhangene Szenerie zwischen Klaustrophobie und Geborgenheit schweben lassen.“\n**Dominic Schmid - [WOZ - Die Wochenzeitung](https://www.woz.ch/wobei/23-1/reduit/reduit-wer-jetzt-kein-haus-hat/!PACCND7AZSTD)**\n\n> „Im Langfilm-Debüt der jungen Schweizer Regie-Stimme Leon Schwitter wird keine Lawine ausgelöst, kein Bergsturz verursacht, kein Waldbrand gelegt; das Grauen schleicht sich wie die mit jedem Tag früher eintretende Dämmerung in die Bergidylle.“\n**Tom von Arx - [OutNow](https://outnow.ch/Movies/2022/Reduit/Review/)**\n\n> „Leon Schwitter gelingt in seinem Langspielfilmdebüt ein brillant und langsam erzähltes Prepperdrama, das von der Einsamkeit des Ortes lebt, aber auch von den beiden eindrücklich agierenden Darstellern, Dorian Heiniger und Peter Hottinger.“\n**Jürgen Bürgin - [avisualzine.com](https://avisualzine.com/2023/01/25/reduit-von-leon-schwitter-beim-max-ophuels-festival/)**\n\n> „Ein geheimnisvoller, schleichend unbehaglicher Film.“\n**Sarah Stutte - [Cineman](https://www.cineman.ch/movie/2021/R%C3%A9duit/review.html) **✯✯✯✯\n\n> „Filme waren schon immer von den gesellschaftlichen Realitäten und Debaten geprägt, in denen sie entstanden. Für mich sind menschliche Themen und Geschichten automatisch politisch. Unsere Welt ist heute so, weil sie durch menschliche Entscheidungen und Machtverhältnise so geformt wurde, sprich jedes Bild eines Menschen erzählt etwas über den sozialen und politischen Kontext mit. Einen unpolitischen Film über Menschen zu machen ist dementsprechend unmöglich.“\n> **Leon Schwitter im Interview mit Emma Isolini - [Imagique](https://www.cineman.ch/imagique/article/f%C3%BCr-mich-sind-menschliche-themen-und-geschichten-automatisch-politisch-regisseur-leon-schwitter-im-interview)**\n\n> „Der Film dekonstruiert Vorstellungen von Männlichkeit und Schweizer Mythen.“\n**Gregor Schenker - [Tages-Anzeiger](https://www.tagesanzeiger.ch/in-reduit-fluechtet-ein-mann-vor-dem-klimakollaps-in-die-berge-736820274581)**\n\n> „«Réduit» ist mitten in der Pandemie gedreht worden und fängt die Weltuntergangsstimmung der Zeit perfekt ein. In einer Welt, die seither nicht weniger verrückt geworden ist, hat der Film auch eine universellere Note. Inhalt und Form halten gekonnt die Balance und zeigen einmal mehr, dass eine neue Generation Schweizer Filmemacher:innen dabei ist, einen unaufgeregt-achtsamen Stil zu entwickeln. «Dene wos guet geit», «Foudre» oder jüngst «Füür brännt» [...] lassen grüssen.“\n**Michael Kuratli - [Filmbulletin](https://www.filmbulletin.ch/articles/schwitter-r%C3%A9duit-kritik)**\n\n> „«Réduit» soll auch ein Seitenhieb an die Schweizer Mythologie sein, dass wir das Gefühl haben, uns in den Bergen verstecken zu können und dass uns diese Berge beschützen sollen.“\n**[ Der Freiämter](https://www.derfreiaemter.ch/filmen-geht-ewig)**\n\n> „Schwitters «Réduit» ist ein sprödes winterliches Kammerspiel, in dem Abhängigkeiten wechseln und der Sohn seine Freiheit gewinnt. Der Rückzug wird zur Öffnung.“\n**[ Textatur](https://breiner-textatur.ch/blog/r%c3%a9duit)** ✯✯✯✯✯\n\n> „Leon Schwitter malt in seinem Spielfilmerstling «Réduit» eine beklemmend wortkarge Nichtannäherung, die final ebenso überstürzt und einseitig wieder abgebrochen wird, wie sie ihren Anfang nimmt.“\n**Thierry Frochaux - [P.S. Zeitung](https://www.pszeitung.ch/irrlehre/)**\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZN9njZN6qg7H7dL7j3QzRu6cozqXhyzEE7","https://youtu.be/KLS9hrTINbY","- Während einem Urlaub in den Bergen lernen sich ein Vater und sein Sohn besser kennen. Im Schutz der felsigen Landschaft glaubt Michael, dass er und sein Sohn vor der Aussenwelt geschützt sind, die durch Umweltzerstörung und Wirtschaftskrisen zusammenzubrechen droht.\n- 🇨🇭\n\n- „Das Drama um eine auf die Probe gestellte Vater-Sohn-Beziehung lebt von der guten Darstellerwahl und imposanten Schauplätzen in einer rauen, unromantischen Bergwelt. Die aufkeimenden Probleme zwischen den Ausflüglern erschienen ehrlich und unkompliziert. Sie entdecken generationsspezifische Wahrnehmungen und die Notwendigkeit, das eigene Leben selbstbestimmt zu gestalten.“\n\n","reduit","https://sister-distribution.ch/movie/reduit?preview=true",[454],[458],[],[543,674,544,404],[546,519,20,52],[1496,1497,1498,1499,1500,1501,1502,1503,1504,1505,1506,1507,1508,1509,1510,1511,1512],198,213,200,206,211,203,202,214,205,210,201,208,209,204,207,212,199,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/230412_REDUIT_Poster_DIGITAL-BOY_DE_NLPA_.jpg",{"Id":1066,"Title":1515,"Description FR":1516,"Actus":54,"Trailer FR":1517,"Director":1518,"Year":1519,"Credits FR":1520,"Duration":304,"Release FR":1521,"Release DE":54,"SUISA":1522,"VOD":1523,"Media FR":1524,"Catalogue":10,"Description DE":1525,"Media DE":54,"Bonus FR":1526,"Bonus URL":54,"Credits DE":1527,"Bonus Type":77,"Pro":1528,"Trailer DE":1517,"Ton Cinéma":1529,"Quote FR":1530,"Quote DE":1531,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":1532,"mId":1066,"preview url fr":1533,"Country FR":1534,"Country DE":1536,"FCollections":1538,"FTags":1539,"TagIds":1540,"FEvents":1541,"img":1542},"EN ROUTE POUR LE MILLIARD","1734 km sur le fleuve Congo, une incroyable épopée pour réclamer justice. Sola, Modogo, Mama Kashinde, Papa Sylvain, Bozi, Président Lemalema… font partie de l’Association des victimes de la Guerre des Six Jours de Kisangani. Depuis 20 ans, ils se battent pour la mémoire de ce conflit et demandent réparation pour les préjudices subis. Excédés par l’indifférence des institutions à leur égard, ils décident de se rendre à Kinshasa pour faire entendre leurs voix.\n","https://www.youtube.com/watch?v=KuC0xYcokVg&ab_channel=SisterDistribution","Dieudo Hamadi",2020,"**Image** Dieudo Hamadi **Son** Sylvain Aketi et Dieudo Hamadi **Montage** Hélène Ballis et Catherine Catella **Production** Kiripifilms et Les Films de l’œil sauvage\n","2021-11-03",1015.748,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1156-en-route-pour-le-milliard","> « Du 5 au 10 juin 2000, durant la deuxième guerre du Congo, les troupes ougandaises et rwandaises se sont affrontées à Kisangani. Bilan: 1000 morts, au moins 3000 blessés et une ville détruite par les tirs d’obus. L’événement porte un nom – la guerre des six jours – et devait obtenir une réparation du gouvernement congolais, dont 1 milliard de dollars pour les victimes. Dix-sept ans plus tard, celles-ci n’ont toujours rien touché. Rassemblées dans une association, elles décident d’envoyer une délégation à Kinshasa pour défendre leurs droits. S’ensuit un long périple de 1724 km le long du fleuve Congo sur un bateau de marchandises, à bord duquel s’est glissé le réalisateur Dieudo Hamadi, une caméra dans une main, un iPhone dans l’autre. Dis comme ça, on imagine un documentaire dur aux images difficilement supportables… Le genre de films qu’on se doit d’aller voir, plutôt que le film qu’on rêve de voir. Mais c’est compter sans l’incroyable puissance des personnages qui l’habitent et l’amour et la détermination avec laquelle Dieudo Hamadi les filme. »\n**Elisabeth Stoudman - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/congo-1-milliard-dollars-loubli?utm_source=facebook&utm_medium=share&utm_campaign=article&fbclid=IwAR2X1nJAP96VtoiB4Fze6aK623LsQEVioC4hobdRXYYurOhH6RdDwXPNawY)**\n\n> « Dieudo Hamadi est devenu en quelques films l’auteur d’une œuvre documentaire cohérente, qui fait le portrait des habitants et habitantes de son pays au miroir de la violence (politique, physique) qui les environne et les prend pour cible : le portrait de personnes que l’histoire a jetées dans le rang des victimes et qui cherchent à se reconstruire une autre place, depuis laquelle elles pourraient témoigner, exister et résister – les films les accompagnant dans cette voie. »\n**Luc Chessel - [Libération](https://www.liberation.fr/culture/musique/en-route-pour-le-milliard-survivants-debout-20210928_6CUW7CJPN5GR7I2PFOBXOADP2E/)**\n","1734 km auf dem Kongo-Fluss, ein unglaubliches Epos, um Gerechtigkeit zu fordern. Sola, Modogo, Mama Kashinde, Papa Sylvain, Bozi, Präsident Lemalema... sind Mitglieder der Vereinigung der Opfer des Sechstagekriegs von Kisangani. Seit 20 Jahren kämpfen sie für die Erinnerung an diesen Konflikt und fordern Wiedergutmachung für die erlittenen Schäden. Überfordert von der Gleichgültigkeit der Institutionen ihnen gegenüber, beschließen sie, nach Kinshasa zu reisen, um ihren Stimmen Gehör zu verschaffen.\n","**Dieudo Hamadi est l'invité de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/dieudo-hamadi-en-route-pour-le-milliard-25219747.html) :**\n\n\"C'était important de parler de ce sujet, ne serait-ce que pour la mémoire congolaise.\"\n","**Kamera** Dieudo Hamadi **Ton** Sylvain Aketi und Dieudo Hamadi **Schnitt** Hélène Ballis und Catherine Catella **Produktion** Kiripifilms und Les Films de l’œil sauvage\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZx7JzZGyy9c2IQGnzQsQWQkTQUz7RULEny","https://www.ton-cinema.ch/film/routepourlemilliard/","Dieudo Hamadi — « Film aussi sobre qu’impressionnant sur la dignité et le courage. » Les Fiches du Cinéma\n","Dieudo Hamadi — « Ein ebenso nüchterner wie beeindruckender Film über Würde und Mut. » Les Fiches du Cinéma","en-route-pour-le-milliard","https://sister-distribution.ch/movie/en-route-pour-le-milliard?preview=true",[1535],"République démocratique du Congo",[1537],"Demokratische Republik Kongo",[],[147,94,242,96],[154,12,83,27],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/ERPM_Affiche_fOvM6.jpg",{"Id":1143,"Title":1544,"Description FR":1545,"Actus":54,"Trailer FR":1546,"Director":1547,"Year":126,"Credits FR":1548,"Duration":596,"Release FR":1549,"Release DE":54,"SUISA":1550,"VOD":54,"Media FR":1551,"Catalogue":10,"Description DE":1552,"Media DE":54,"Bonus FR":1553,"Bonus URL":54,"Credits DE":1554,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":1546,"Ton Cinéma":1555,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1556,"mId":1143,"preview url fr":1557,"Country FR":1558,"Country DE":1559,"FCollections":1560,"FTags":1561,"TagIds":1562,"FEvents":1563,"img":1564},"VIF-ARGENT","Juste erre dans Paris à la recherche de personnes qu’il est seul à voir. Il recueille leur dernier souvenir avant de les faire passer dans l’autre monde. Un jour, une jeune femme, Agathe, le reconnaît. Elle est vivante, lui est un fantôme.\n","https://www.youtube.com/watch?v=QDmjWoUPSWk&ab_channel=SisterDistribution","Stéphane Batut","**Avec** Thimotée Robart, Judith Chemla, Djolof Mbengue, Saadia Bentaïeb\n\n**Scénario** Stéphane Batut, Christine Dory et Frédéric Videau **Image** Céline Bozon \n**Son** Dimitri Haulet, Benoît Hillebrant et Florent Lavallée **Montage** François Quiqueré **Musique** Benoît de Villeneuve et Gaspar Claus **Production** Zadig Films\n","2019-11-13",1013.566,"> « Ici, les mots manquent pour restituer le sortilège des images, l'interprétation à fleur de peau des comédiens et la grâce irréelle qui caractérise ce petit miracle cinématographique. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2019/11/21/romance-dans-les-limbes/?fbclid=IwAR0sWLeh1SsKWFq_gXChZrn035FV_ZWrkXOxR-UlHgBCegl55ckDyhJzN8Q)**\n\n> « Totalement fascinant. Grand film à cheval entre les vivants et les morts, il faut absolument se laisser porter à la découverte de cet insaisissable objet. »\n**Pascal Gavillet - [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/culture/vifargent-cheval-vivants-morts/story/20658471)**\n\n> « Il y a dans _Vif-argent_ le même amour du 7e art que dans _After Life_. Batut, qui jusque-là travaillait dans l’ombre comme directeur de casting (pour Mathieu Amalric, Xavier Beauvois, Claire Denis, Arnaud Desplechin ou encore Paul Verhoeven), semble prendre un malin plaisir à déjouer les règles du cinéma de genre, du film romantique et de la narration, pour tendre vers un objet cinématographique à la fois d’une infime fragilité dans sa façon d’entremêler le monde des vivants et des morts (tout esprit rationnel y trouvera forcément des incohérences), et d’une grande force émotionnelle dans son évocation de l’histoire de Juste le fantôme et Agathe la vivante. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/vifargent-histoire-fantomes-francais?utm_source=facebook&utm_medium=share&utm_campaign=article&fbclid=IwAR1dG267Ht5e246mxWxi7QRIEyLaZ6m5H8659oj_kHfqHdrq1Zh_bzcYljk)**\n","Juste streift durch Paris auf der Suche nach Personen, die nur er sieht. Er sammelt ihre letzten Erinnerungen, bevor er sie in die andere Welt überführt. Eines Tages erkennt ihn eine junge Frau namens Agathe. Sie lebt, er ist ein Geist.\n","**Stéphane Batut s'entretient avec Serge Kaganski :**\n\n_« Dans le projet Vif-Argent, qu’est-ce qui est venu en premier : la grande histoire d’amour ou les morts-vivants ?_\n\nRien de ça. Mon point de départ, c’était un assemblage composite des souvenirs que je gardais de personnes rencontrées lors de castings. Qu’ils soient acteurs ou non-professionnels, je leur demande souvent de me raconter un souvenir. Certains de ces souvenirs avaient une dimension universelle, j’ai commencé à les monter ensemble. L’idée était de réaliser un portrait de la ville à travers ces gens rencontrés au hasard des rues. J’ai compris ensuite que celui qui pourrait faire le lien entre ces souvenirs serait une sorte d’alter-ego qui aurait un caractère fantastique. Quand j’écoutais ces histoires, j’y voyais quelque chose de fatal, comme une esquisse du destin de ces personnes. Je voyais en eux, déjà, des fantômes, figures éminemment cinématographiques. L’histoire d’amour est venue ensuite. Si ce spectateur des histoires des autres devait en vivre une à son tour, elle devait être une histoire d’amour : sa découverte de l’amour serait à la fois pour lui la première et la dernière histoire.\n\n_Les films de fantômes, de revenants, de morts-vivants sont très nombreux. Aviez-vous des références en tête ?_ \n\nMon film n’est fait que de collages, de récits qu’on m’a racontés, que j’ai retranscrits, d’œuvres qui m’ont marqué, de films… J’assume des influences comme Guitry, ou Franju. J’ai piqué plein de choses à des films que j’ai aimés. Je pense que les films sont souvent des réinterprétations d’autres films qui nous ont traversés. Ce que j’aime chez Franju, c’est que son cinéma allie des éléments très fantasmatiques et d’autres très documentaires. J’avais envie que dans ce film ces deux registres s’entrechoquent plutôt qu’ils ne se fondent. Jouer sur des contrastes de couleurs complémentaires. On a filmé les rues, les passants, des acteurs non-professionnels, afin de saisir quelque chose de la ville, de l’époque, qui échappe à la représentation. Quelque chose qui s’impose à nous. Et de manière parallèle, j’ai apposé le fantasme d’un film très fictionnel, fantastique, mélodramatique. Le fantastique et le documentaire se frottent l’un contre l’autre. Des œuvres de Jean Rouch, Abbas Kiarostami ou Charles Burnett m’ont autant influencé que celles de Franju, ce qui peut paraître étrange à la vue du film. »\n","**Mit** Thimotée Robart, Judith Chemla, Djolof Mbengue, Saadia Bentaïeb\n\n**Drehbuch** Stéphane Batut, Christine Dory und Frédéric Videau **Kamera** Céline Bozon **Ton** Dimitri Haulet, Benoît Hillebrant und Florent Lavallée **Montage** François Quiqueré **Komponist** Benoît de Villeneuve und Gaspar Claus **Produktion** Zadig Films\n","https://www.ton-cinema.ch/film/vifargent/","vif-argent","https://sister-distribution.ch/movie/vif-argent?preview=true",[87],[90],[],[543,94,148,87,1300,996],[546,12,155,31,6,713],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Vif-argent_vignettes_cJX_c.jpg",{"Id":1239,"Title":1566,"Description FR":1567,"Actus":54,"Trailer FR":54,"Director":1568,"Year":1005,"Credits FR":1569,"Duration":898,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":1570,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":1571,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1567,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":20,"Slug":1572,"mId":1239,"preview url fr":1573,"Country FR":1574,"Country DE":1576,"FCollections":1577,"FTags":1578,"TagIds":1579,"FEvents":1580,"img":1585},"FOLLOW THE WATER","_Follow the water_ nous transporte en hiver 2021, dans le désert d’Atacama, au Chili. Autour d’une des plus grandes mines de lithium au monde, plusieurs protagonistes racontent leur attachement à ce territoire. S'entrechoquent l'engagement d'une indigène pour les droits de l'eau, les doutes des scientifiques en exploration du désert comme analogue à la planète Mars, la croyance des industriels, les spectres de la colonisation et les récits des nouveaux explorateurs. La quête des traces de la vie dans l'univers creuse celle de l'équipe du film, vertigineuse et absurde. Les voix s'emmêlent et les discours s'enrayent. Le paysage aride et sec du désert se confond bientôt avec celui de la planète rouge et de ses délires raisonnées. Telle une boule de cristal, Mars apparaît comme le début et la fin du temps.\n","Pauline Julier et Clément Postec","Triple écran\n","> « Invention occidentale directement issue des développements technologiques du capitalisme triomphant, le cinéma est-il capable de faire autrement que selon les normes au sein desquelles il est né ? La réponse est loin d’être assurée. Les conditions de sa naissance et de son existence pèsent inévitablement sur ce qu’il est et ce qu’il pourrait être. Pourtant, il n’est pas certain qu’il soit condamné à rester à l’intérieur de ce dont il est issu, et où il a prospéré et s’est modifié depuis d’un siècle. Des pistes de sortie existent d’ores et déjà, des pistes concrètes, c’est à dire des films.\n> Rares sont ceux qui parviennent à une rupture radicale avec la triple contrainte énoncée plus haut – point de vue centré, point de vue unique, point de vue humain – mais il y en a. Un bon exemple serait le récent Follow the Water de Pauline Julier et Clément Postec, tourné dans le désert d’Atacama. De tels films indiquent des voies possibles. »\n**Jean-Michel Frodon, _Pour une éco-mise en scène_, [AOC](https://aoc.media/opinion/2023/08/28/pour-une-eco-mise-en-scene/)**\n","> « En trois canaux, avec une image tantôt unique, tantôt triple, le film de presque 50 minutes navigue dès lors entre les enjeux croisés de cette quête de H2O. Non sans onirisme, à plusieurs reprises, par l’apparition d’un ouvrier reprenant «Penumbras» du crooner argentin Sandro; ou par le truchement d’un homme à la longue chevelure imitant les mouvements du robot martien Curiosity. Entre quête de l’hyper lointain et cécité locale, démesure dépensière et frugalité imposée, retour du refoulé colonial et mise à mal de la planète, _Follow the Water _ne perd jamais de vue les étoiles, particulièrement visibles depuis l’Atacama. »\n**Samuel Schellenberg - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/09/29/en-quete-de-vie-et-de-possibles/)**\n\n« _D’un sol à l’autre, de Mars à la Terre, il s’agit de composer un seul et même espace critique. Se projeter sur Mars, c’est tenter d’appréhender et de regarder la Terre, alors que le changement climatique et le désastre écologique en cours nous projettent dans un monde inconnu. Mars a été de tous temps le lieu de projections multiples. Aujourd’hui qu’y voit-on ? 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Mon Légionnaire raconte leurs histoires : celle de ces femmes qui luttent pour garder leur amour bien vivant, celle de ces hommes qui se battent pour la France, celle de ces couples qui se construisent en territoire hostile.\n","https://www.youtube.com/watch?v=pvd-Cm1X6h0&ab_channel=SisterDistribution","Rachel Lang","**Avec** Louis Garrel, Camille Cottin, Aleksandr Kuznetsov, Ina Marija Bartaité\n\n**Scénario** Rachel Lang **Image** Fiona Braillon **Son** Aline Huber \n**Montage** Sophie Vercruysse **Musique** Odezenne **Production** Chevaldeuxtrois et Wrong Men\n","2021-10-06",1015.691,"> « L’intérêt du récit tient à la découverte d’une réalité méconnue, souvent romancée au cinéma selon les canons héroïques du film de guerre, à cet angle inédit qui met en lumière le sort des épouses et le défi que représente une vie amoureuse ou familiale dans de telles conditions – rédhibitoires pour Nika, dont Rachel Lang raconte finalement l’émancipation. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/10/14/amours-militaires/?fbclid=IwAR1TfC-q8cngAeWZft_OQ4p7Y78JKafLffMHeVPORSllpBimPRlZX1XwC1A)**\n\n> « Admirablement documenté, ce drame sobre nous plonge au cœur d’une des armées les plus prestigieuses, exigeantes et mystérieuse du monde: la Légion Etrangère. Le parti pris de la réalisatrice Rachel Lang, ancienne militaire, est simple: coller au plus près de la réalité pour la vie en caserne et au cours des \"opex\" (les missions sur le terrain de ces soldats français pour la plupart d’origine étrangère) avec une approche quasi-journalistique, et explorer en parallèle les enjeux de leur vies personnelles, leurs histoires de couples, de famille, les relations avec les amis, pour le coup dans un récit très fictionné. L’ensemble sonne très juste, et nous sommes emportés par le destin de ces hommes hors du commun qui s’investissent corps et âme dans une vocation qui, bien souvent, les dépasse. Sans jamais être hagiographique ni spectaculaire à l’instar de ses équivalents américains, voici un regard très juste posé sur le métier de militaire. »\n**Thomas Lécuyer - [Lausanne Cités](https://www.lausannecites.ch/sortir/cinema-television/sortie-cinema-mourir-peut-attendre-ou-le-baroud-dhonneur-de-daniel-craig?fbclid=IwAR3_9BU4GvO0eTcK_vLhADgFG1WzkEUe4ssPBaEBiX_xxhHMZfecsmh18FM)**\n","Sie kommen von überall her, jetzt haben sie eine Sache gemeinsam: die Fremdenlegion, ihre neue Familie. Mein Legionär erzählt ihre Geschichten: die Geschichten der Frauen, die darum kämpfen, ihre Liebe am Leben zu erhalten, die Geschichten der Männer, die für Frankreich kämpfen, die Geschichten der Paare, die sich in feindlichem Gebiet zusammenfinden.\n","**Rachel Lang, Louis Garrel et Aleksandr Kuznetsov présentent le film à la [Quinzaine des Réalisateurs](https://www.youtube.com/embed/wFm8k4qoTys?start=53), lors du Festival de Cannes 2021 :**\n\n\"L'idée du film était de s'interroger sur la manière dont les militaires peuvent retrouver dans leur relation de couple l'intensité de ce qu'ils vivent avec leurs frères d'armes\"\n","https://www.youtube.com/embed/wFm8k4qoTys?start=53","**Mit** Louis Garrel, Camille Cottin, Aleksandr Kuznetsov, Ina Marija Bartaité\n\n**Drehbuch** Rachel Lang **Kamera** Fiona Braillon **Ton** Aline Huber \n**Schnitt** Sophie Vercruysse **Komponist** Odezenne **Produktion** Chevaldeuxtrois und Wrong Men\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ27JzZYck07ks5vuRmnQ8ddADWojWceAzX","https://www.ton-cinema.ch/film/monlegionnaire/","mon-legionnaire","https://sister-distribution.ch/movie/mon-legionnaire?preview=true",[87],[90],[],[1064,94,1033,404,347],[1066,12,38,52,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/MON_LEGIONNAIRE_Affiche_7lgon.jpg",{"Id":156,"Title":1611,"Description FR":1612,"Actus":54,"Trailer FR":1613,"Director":7,"Year":611,"Credits FR":1614,"Duration":899,"Release FR":1615,"Release DE":1615,"SUISA":1616,"VOD":1617,"Media FR":1618,"Catalogue":10,"Description DE":1619,"Media DE":1620,"Bonus FR":1621,"Bonus URL":54,"Credits DE":1622,"Bonus Type":77,"Pro":1623,"Trailer DE":1613,"Ton Cinéma":1624,"Quote FR":1625,"Quote DE":1626,"Teaser FR":1627,"Teaser DE":1628,"DCP":54,"Events":45,"Slug":1629,"mId":156,"preview url fr":1630,"Country FR":1631,"Country DE":1632,"FCollections":1633,"FTags":1634,"TagIds":1635,"FEvents":1636,"img":1638},"WAY BEYOND","Le Future Circular Collider est la machine du futur. Grâce à elle, nous pourrons enfin remonter le temps jusqu’à l’origine de notre univers. Mais comment mettre en place le plus grand instrument scientifique de tous les temps ? Entre métaphysique et tunnels souterrains, _Way Beyond_ raconte l’histoire d’une aventure où se déplacent des montagnes pour plus de connaissances.\n","https://www.youtube.com/watch?v=g_TRMTHpl6Y&ab_channel=SisterDistribution","**Scénario** Pauline Julier **Image** Marion Neumann **Son** Xavier Lavorel, David Bratschi, Björn Cornelius, Taco Drijfhout, Christophe Giovannoni, Masaki Hatsui, David Lipka, David Puntener, Bernard Seidler **Montage** Orsola Valenti **Production** Close Up Films\n","2022-10-05",1015.141,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1349-way-beyond","> « Filmer les astres pour établir le tracé d’un tunnel : aucune métaphore ne saurait mieux rendre compte du geste cinématographique de Pauline Julier, qui suit le discours des scientifiques du CERN pour inventer une poétique du temps et de l’espace. »\n**Emilien Gür - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/way-beyond/)**\n\n> « L’invisible filmé avec une justesse folle. »\n**Julie Evard - [12:45, RTS](https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/13425382?startTime=914)**\n\n> « Pauline Julier entrouvre ainsi les portes d’un monde à part avec l’ambition de montrer cet endroit autrement, au-delà du discours formaté sur les prouesses du CERN. Elle y parvient en bousculant les règles et la grammaire du genre. Way Beyond n’a rien d’un documentaire scientifique voué à vulgariser un sujet des plus complexes. Ici, pas de schémas ou autres infographies animées. Exit aussi la traditionnelle voix off omnisciente, remplacée par des intertitres – dont la lecture, dans le silence concentré de la salle, crée une intimité inédite entre la réalisatrice et son audience. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/09/29/vers-linfini-et-au-dela/)**\n\n> « Les films de Pauline Julier donnent le vertige. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/way-beyond-petitesse-letre-humain-face-big-bang)** \n\n> « Film de science-fiction d’apparence modeste, _Way Beyond_ toise un projet pharaonique. »\n**Antoine Duplan - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/way-beyond-the-great-void-coeur-matiere-bout-civilisation)**\n\n> « _Way Beyond_ aborde d’une manière à la fois poétique et brutale cette lutte fascinante entre réalité et fiction jusqu'à l’origine de l’univers. »\n**Muriel Del Don - [Cineuropa](https://cineuropa.org/fr/newsdetail/401867/)**\n","Der Ringbeschleuniger, auch „Future Circular Collider“ genannt, ist die Maschine der Zukunft. Mit ihm werden wir endlich in der Lage sein, die Ursprünge unseres Universums zu rekonstruieren. Aber wie baut man das größte wissenschaftliche Instrument aller Zeiten auf? Zwischen Metaphysik und unterirdischen Tunneln erzählt \"Das Neue Atlantis\" die Geschichte eines Abenteuers, das zugunsten von neuen Erkenntnissen Berge versetzt.\n","> «Way Beyond» wird fast schon religiös, wenn es um die Zukunftsträume der wissenschaftlichen Gemeinde geht. In den Sitzungen und Konferenzen werden aber vor allem ganz bodenständige Dinge besprochen: Wer zahlt die Milliarden von Franken, die allein die Kabel kosten? Wie organisiert man die Verpflegung der Arbeiterinnen und Arbeiter auf der Riesenbaustelle? Und wie soll man jene Einzelteile transportieren, die für Lastwagen und Strassen schlicht zu gross sind? Ein faszinierender Clash von Wunsch und Realität. \n**Gregor Schenker - [Züritipp](https://www.tagesanzeiger.ch/sie-kaempfen-gegen-sklavenhaendler-und-nachbarstaemme-704951622223)**\n","**Pauline Julier est l'invitée du [12h30](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invitee-du-12h30-pauline-julier-realisatrice-de-way-beyond-25192634.html) de la RTS :**\n\n« Je voyais le CERN comme une île mystérieuse où le langage, les rituels et la manière de se comporter étaient différents. C'est cela que j'avais envie de découvrir en filmant ce lieu. »\n\n**Entretien avec Mathieu Loewer dans [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/09/29/vers-linfini-et-au-dela/) :**\n\n> « Je voulais tenir une ligne entre l’admiration et le doute, porter un regard complexe et nuancé. Je ne suis pas compétente pour juger du bien fondé scientifique de ce que fait le CERN. La recherche fondamentale, je trouve ça dingue. Mais l’ampleur du projet me paraît aussi délirante, grandiloquente. C’est trop. L’humanité veut toujours repousser les limites, faire plus gros, plus grand, plus vite. Après, j’ai choisi de ne pas traiter certains aspects du projet, comme l’enjeu énergétique, qui auraient appelé un propos plus ouvertement critique. »\n\n","**Drehbuch** Pauline Julier **Kamera** Marion Neumann **Ton** Xavier Lavorel, David Bratschi, Björn Cornelius, Taco Drijfhout, Christophe Giovannoni, Masaki Hatsui, David Lipka, David Puntener, Bernard Seidler **Schnitt** Orsola Valenti **Produktion** Close Up Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZHyxzZhEt9AwC6Twfqwz98iwqLApU7OvEk","https://www.ton-cinema.ch/film/waybeyond/","Pauline Julier — « Une lutte fascinante entre réalité et fiction jusqu'à l'origine du monde. » Cineuropa\n","Pauline Julier — « Ein faszinierender Kampf zwischen Realität und Fiktion bis hin zum Ursprung der Welt. » Cineuropa","Le sujet de _Way Beyond_, c’est une quête des profondeurs : la conception d’un futur collisionneur circulaire, lequel par un processus de pelage des différents couches de la nature, nous donnera des informations physique sur les origines du monde, sur les processus de formation de la Vie. On peut se dire qu’il est bien tard, alors que l’on s’inquiète de la disparition du vivant, de vouloir en connaître les origines, mais sans doute ces deux mouvement (l’appréhension d’une fin, un savoir sur le commencement) se croisent-ils en nous et se renseignent les uns les autres : c’est parce qu’il y a soudain la réalité une fin possible, un danger, que la question de l’origine refait surface. C’est parce que les choses ne vont plus de soi, qu’il faut peler la nature jusqu’au noyau. \nPhilippe Azoury\n","_Way Beyond_ wird fast schon religiös, wenn es um die Zukunftsträume der wissenschaftlichen Gemeinde geht. In den Sitzungen und Konferenzen werden aber vor allem ganz bodenständige Dinge besprochen: Wer zahlt die Milliarden von Franken, die allein die Kabel kosten? Wie organisiert man die Verpflegung der Arbeiterinnen und Arbeiter auf der Riesenbaustelle? Und wie soll man jene Einzelteile transportieren, die für Lastwagen und Strassen schlicht zu gross sind? Ein faszinierender Clash von Wunsch und Realität.\nGregor Schenker\n\n","way-beyond","https://sister-distribution.ch/movie/way-beyond?preview=true",[454],[458],[13],[242,544,150,151,347],[83,20,45,157,16],[1637],233,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/WAY BEYOND_vignette_Pu6X3.jpg",{"Id":308,"Title":1640,"Description FR":1641,"Actus":54,"Trailer FR":54,"Director":7,"Year":126,"Credits FR":1642,"Duration":891,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":1643,"VOD":1644,"Media FR":1645,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":1646,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":1647,"Quote DE":1648,"Teaser FR":1649,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":31,"Slug":1650,"mId":308,"preview url fr":1651,"Country FR":1652,"Country DE":1653,"FCollections":1654,"FTags":1655,"TagIds":1656,"FEvents":1657,"img":1661},"NATURALES HISTORIAE","À travers différentes histoires naturelles tournées entre la Chine, la France et l'Italie, _Naturales Historia_ interroge nos manières de penser et représenter la Nature. Chaque chapitre explore une situation d’êtres humains aux prises avec la Nature et ses images, qui révèle leurs obsessions et ébranle nos certitudes.\n","**Avec** Jun Wang, Bruno Latour et Philippe Descola\n\n**Scénario** Pauline Julier **Image** Marion Neumann et Pauline Julier **Son** Xavier Lavorel\n",1013.466,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1350-naturales-historiae","> « Art, sciences, rêves : cartographier l’invisible ? » \n> **[Rencontre entre Pauline Julier, Nastassya Martin et Eric Vautrin](https://soundcloud.com/theatredevidy/221002_cartographier_linvisible?utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing)**\n**[Théâtre Vidy-Lausanne](https://vidy.ch/en/art-sciences-reves-cartographier-linvisible)**\n\n> « Condensé d’une recherche sur les enjeux de l’Anthropocène, _Naturales Historiae_ réinterprète ainsi des travaux antérieurs : des entrailles de la Terre aux confins de l’espace, en passant par la notion de paysage, l’artiste y questionne notre représentation de la nature »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2022/09/29/vers-linfini-et-au-dela/)**\n\n> « Allant des notions mythologiques d’un monde dominé par les forces naturelles, au paradigme de l’Anthropocène dans lequel on se trouverait aujourd’hui, _Naturales Historiae_ n’aborde pas la nature comme une notion universelle et objective, mais comme une pure construction discursive, une fiction. » \n**Elena López Riera - [Visions du Réel](https://www.visionsdureel.ch/film/2019/naturales-historiae/)**\n","**Emanuele Coccia:** I would like to start with the quote by Jorge Luis Borges that opens the film: the effort to map the world can only fail and lead to a labyrinth of forms which is nothing other than the portrait of the cartographer. To what extent is this film your portrait? One could also say the opposite: every biography is in fact a form of natural history of the planet through an interposed body. We are all a face that Gaïa gives herself to contemplate differently.\n**Pauline Julier:** The idea of portrait implies a fixity, the capture of a moment. A bit like a description, a map, a definition, an image, “it” freezes things. And what is fixed in this film is the state of my thought at that moment, a thought in the process of being made, articulated and composed with the words of others and which is shaped by the montage. In this sense, there is no doubt that this film is my portrait, at a given moment, when I discovered that the idea of Nature—which I inherited from Western modernity—is the most unshared thing in the world, alongside with how we look at it, the idea of a landscape that doesn’t go without saying, etc.\n\nI really like the inversion that you propose, which can be applied to many human deeds. Is a portrait the portrait of the portrayed or the portrayer? Who is described in a story and who sees what through a film? Maybe in the case of Gaïa every human life that is narrated is the description of one of these multiple facets, all our biographies as many natural stories.\n \n**EC:** I was very struck by your definition of cinema: a wind-light image. Could you develop this idea further?\n**PJ** **:** This idea comes from the discovery, as the author François Jullien explains, that the word landscape, as we understand it in the Western world, does not exist in Chinese language, which instead uses either the ideogram “mountain-water” or “wind-light”. I have appropriated this idea to apply it to cinema because cinema is a language for me. And the first element of this language, the original word, is the image of a reality facing us and which differs from photography because it moves. It is literally the wind in a tree and light on those leaves that the moving image allows us to capture. If one of the two elements is missing, there is no cinematic image. The association of these two words also evokes fleetingness. It's quite prosaic, probably a bit romantic, but the basis of my attraction to this medium relies on that, which is also what I try to create, a wind-light breath.\n \n**EC:** In your film I also see a strong stance: what we call nature can only be contemplated through narrative, because it is historically constructed, in an arbitrary way, exactly like our history. Natural sciences should therefore embrace the art of storytelling. What is cinema’s contribute to the possibility of producing a new natural history? And how to tell today’s history?\n**PJ:** From my point of view, natural sciences form a narrative and, perhaps unwittingly, use this art. An objectified (objectifying) narrative, with a precise descriptive vocabulary, in search of facts; but a narrative, still. \n\nI believe the strength of cinema (and moving images) lies in the multi-perspectivist vision it can offer. Today, there is a strong need to embrace new perspectives, no one believes in the isolated, devastating position of a single point of view anymore. The fields to be rediscovered are vast and cinema, among other storytelling arts, makes it possible to tackle them, particularly through montage. Telling the story, the stories, these days is perhaps to accept the fragility of a narrative and to show different perspectives within the same context.\n \n**EC:** Your “natural stories” also embrace many episodes of human history (the cult of Saint Gennaro in Naples, the suicide of Cassini, etc.). What does it mean to think of human history in terms of natural history?\n**PJ:** We are living in an age that is learning that there is no human history outside natural history, or rather no human histories outside natural histories. And if we needed a proof, here comes the term Anthropocene—which everyone is grasping because it reveals a need to name, I believe—which designates this new geological period in which we live: we have inscribed our traces even in the layers of rock.\n \nThe film depicts historical episodes by drawing from different registers of history (literary, pictorial, popular, scientific). For me, the strange splendour of the living world around us is revealed by the composition of ET. In the case of Vesuvius, for example, it is not scientific surveillance or the belief in the protection of the Saint that has allowed Neapolitans to live close to the volcano for so long. These are the two versions which hold together, to which all the other stories about this volcano should be added.\n\nEmanuele Coccia - [Vdrome](https://www.vdrome.org/pauline-julier/)\n"," Pauline Julier — « On ne voit que ce que l’on a appris à regarder. »\n","Pauline Julier — « Man sieht nur das, was man zu sehen gelernt hat. »","Ce film est celui d’une série de prises de voix. Celle de Bruno Latour qui marque notre passage dans une nouvelle ère, non encore actée officiellement, qu’il appelle Anthropocène où il apparaît que le terme de Nature, auquel Latour préfère souvent celui de Gaïa, recouvre aujourd’hui tout à la fois une éthique, une politique, une conception des sciences et une théologie. \nLa seconde prise de parole vient de l’anthropologue Philippe Descola. Lequel replace l’acte de voir, de regarder dans l’axe de la connaissances : nous ne regardons qu’au travers des questions que nous nous posons déjà : « _On ne voit que ce que l’on a appris à regarder_ ». D’où l’urgence de proposer des oeuvres, écrits, installations, films, qui façonnent un entendement différent quant à notre rapport à la Nature. Les films de Pauline Julier sont une façon de déconstruire la contemplation pour la remplacer par des suites d’interrogations.\n_Philippe Azoury_\n","naturales-historiae","https://sister-distribution.ch/movie/naturales-historiae?preview=true",[454],[458],[13],[242,1033,544,150,151],[83,38,20,45,157],[1658,1659,1660],332,333,334,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Naturales_Historiae-498653894-large_DJ8iq.jpeg",{"Id":290,"Title":1663,"Description FR":1664,"Actus":54,"Trailer FR":1665,"Director":1666,"Year":1667,"Credits FR":1668,"Duration":307,"Release FR":1669,"Release DE":1670,"SUISA":1671,"VOD":1672,"Media FR":1673,"Catalogue":10,"Description DE":1674,"Media DE":1675,"Bonus FR":1676,"Bonus URL":1677,"Credits DE":1678,"Bonus Type":136,"Pro":54,"Trailer DE":1679,"Ton Cinéma":1680,"Quote FR":1681,"Quote DE":1682,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1683,"mId":290,"preview url fr":1684,"Country FR":1685,"Country DE":1686,"FCollections":1687,"FTags":1688,"TagIds":1689,"FEvents":1690,"img":1691},"NOTHINGWOOD","Salim Shaheen, le personnage principal du documentaire _Nothingwood_, est à la fois un prince de la série Z, un grand cinéaste afghan, dans un pays où la production cinématographique est plus que minime, et le réalisateur le plus prolifique au monde. Ce Ed Wood afghan a 110 films à son compteur. Dans les périodes fastes, il en tourne une dizaine par an. Les Américains ont Hollywood, les Indiens, Bollywood, et les Nigérians, Nollywood. Salim Shaheen est le roi de cette minuscule industrie qu’il a baptisée \"Nothingwood\". La Française Sonia Kronlund, productrice de l’émission _Les pieds sur terre_ sur France Culture, saisit dans son film la personnalité de celui dont les \"superproductions\" coûtent 10 000 euros : le caméraman et monteur reçoit 100 dollars par mois, et certains acteurs paient pour y figurer, afin d’inscrire sur leur CV qu’ils ont été les héros d’un film.\n","https://www.youtube.com/watch?v=4CF_5yHxdRQ&ab_channel=SisterDistribution","Sonia Kronlund",2015,"**Avec** Salim Shaheen, Sonia Kronlund, Qurban Ali\n\n**Scénario** Sonia Kronlund **Image** Alexander Nanau et Eric Guichard \n**Son** Matthieu Perrot et Hassan Shabankareh **Montage** Sophie Brunet et \nGeorge Cragg **Production** Gloria Films\n","2017-09-06","2018-05-24",1012.184,"https://www.filmingo.ch/fr/films/588-nothingwood","> « L’équipe de _Nothingwood_ pénètre à l’intérieur des cavités qui abritaient les bouddhas de Bamiyan. Et le film se termine sur une chaîne de monts évoquant l’échine et le crâne fendu d’un dragon fossilisé. Mythe, fiction et réalité se confondent. »\n**Antoine Duplan – [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/nothingwood-nabab-kaboul)**\n\n> « Avec justesse et sans surplomb déplacé, Kronlund suit cette bande de joyeux lurons qui tournent avec trois fois rien des films d’action au milieu d’un pays ravagé par la guerre. Le premier motif comique surgit du contraste entre cette frêle intello occidentale qui enchaîne les clopes, toujours à la traîne de son sujet, et l’énergie de Shaheen, bavard intarissable et un peu mythomane sur les bords qui donne le sentiment de contrôler toutes les bouffées de folie et de pittoresque qui se dégagent de lui pour les offrir à la caméra qui le scrute. La vérité et le masque, le documentaire et le cabotinage se mêlent jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une sorte de productivité joyeuse, d’enthousiasme créatif qui contamine tous ceux qui se trouvent sur la route de Shaheen. »\n**Jérôme Momcilovic - [Chronicart](https://www.chronicart.com/cinema/cannes-2017-9-finir/?fbclid=IwAR1lKTSoHLrA5NKkHluwf3ICTCYKc_shKIgzkaubJduGEI8MLKZWyI5ngjc)**\n\n","Salim Shaheen ist eine Art afghanischer Bud Spencer, der aber statt mit den Fäusten lieber mit der Knarre arbeitet. Darüber hinaus jedoch dreht er selbst als Regisseur Filme wie andere Leute Zigaretten. Bereits 110 Filme hat er produziert. In guten Zeiten dreht er schon mal 10 Filme pro Jahr.\n\nDie Dokumentation folgt der barocken Erscheinung, wie sie unter erheblicher Lautstärkeentfaltung durchs kriegsverwüstete Hinterland pflügt, immer vier Projekte gleichzeitig vorantreibt und im Herzen der Finsternis eine Mikro-Entertainment-Industrie aus dem Boden zu stampfen versucht. «Es gibt Hollywood und es gibt Bollywood», sagt Shaheen einmal im Film: «Und dann gibt es noch Nothingwood. Das ist hier, denn hier gibt es kein Geld.»\n\n« Nothingwood » hat in Cannes Weltpremiere gefeiert und wurde vom Publikum begeistert aufgenommen. Ein grossartiger Film und ein ganz anderer Blick auf ein Land, das wir vor allem mit Krieg verbinden.\n","> « Wirklich ein verblü ender und bizarrer Film. Er hat mehrere Ebenen und ist mehr als eine Reise auf den Spuren dieses vollkommen spinnigen afghanischen Regisseurs, der über 100 Filme mit geringsten Mitteln produziert hat. _Nothingwood_ stellt auch die Frage nach dem Kino als Medium und was es einem Land bringen kann. »\n**Pierre-Philippe Cadert – Vertigo_,_** **La Première**\n\n> « Das Drehteam von _Nothingwood_ wagt sich in die leeren Nischen der Buddha-Statuen von Bamiyan. Und der Film endet auf einer Bergkette, die an das Rückgrat und den gespaltenen Schädel eines versteinerten Drachens erinnert. Mythos, Fiktion und Realität vermischen sich. »\n**Antoine Duplan –** **[Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/nothingwood-nabab-kaboul)**\n","**Rencontre avec la réalisatrice Sonia Kronlund aux [cinémas du Grütli](https://www.youtube.com/embed/CZJ22On2--E) :**\n\n\"C'est un projet que je porte depuis près de 10 ans\"\n","https://www.youtube.com/embed/CZJ22On2--E?start=1","**Mit** Salim Shaheen, Sonia Kronlund, Qurban Ali\n\n**Drehbuch** Sonia Kronlund **Kamera** Alexander Nanau und Eric Guichard \n**Ton** Matthieu Perrot und Hassan Shabankareh **Schnitt** Sophie Brunet und \nGeorge Cragg **Produktion** Laurent Lavolé\n","https://www.youtube.com/watch?v=a6QGkG1XqLo&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/nothingwood/","Sonia Kronlund — « Une ode au cinéma. » Le Parisien\n","Sonia Kronlund — « Eine Ode an das Kino. » Le Parisien","nothingwood","https://sister-distribution.ch/movie/nothingwood?preview=true",[87],[90],[],[543,189,94,921,242,347],[546,191,12,923,83,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Nothingwood_affiche_6A3gr.jpg",{"Id":902,"Title":1693,"Description FR":1694,"Actus":54,"Trailer FR":1695,"Director":1696,"Year":1094,"Credits FR":1697,"Duration":582,"Release FR":1698,"Release DE":54,"SUISA":1699,"VOD":1700,"Media FR":1701,"Catalogue":10,"Description DE":1702,"Media DE":54,"Bonus FR":1703,"Bonus URL":1704,"Credits DE":1705,"Bonus Type":136,"Pro":1706,"Trailer DE":1707,"Ton Cinéma":1708,"Quote FR":1709,"Quote DE":1710,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1711,"mId":902,"preview url fr":1712,"Country FR":1713,"Country DE":1714,"FCollections":1715,"FTags":1716,"TagIds":1719,"FEvents":1720,"img":1721},"SAUVAGE","Léo, 22 ans, se vend dans la rue pour un peu d’argent. Les hommes défilent. Lui reste là, en quête d’amour. Il ignore de quoi demain sera fait. Il s’élance dans les rues. Son cœur bat fort.\n","https://www.youtube.com/watch?v=a46ew0gfjvk&ab_channel=SisterDistribution","Camille Vidal-Nacquet","**Avec** Félix Maritaud, Éric Bernard, Nicolas Dibla, Philippe Ohrel\n\n**Scénario** Camille Vidal-Naquet **Image** Jacques Girault **Son** Jérémie Vernerey, \nJulien Roig et Benjamin Viau **Montage** Elif Uluengin **Musique** Romain Trouillet **Production** Les Films de la croisade et La voie lactée \n","2018-10-24",1012.952,"https://www.filmingo.ch/fr/films/682-sauvage","> « Avec _Sauvage_, Camille Vidal-Naquet signe un film frontal, intense, magnifié par la performance de Félix Maritaud, radicalement mis à nu. »\n**Edmée Cuttat - [360.ch](https://360.ch/culture/45471-les-errances-dangereuses-dun-prostitue-en-quete-damour/?fbclid=IwAR14XhFJ9lUdIQwT8xGr5K_DdryGWb5tNOX0IEInxxyDj-fB0_yskroH8lc)**\n\n> « Des corps et de la sueur, des garçons qui se vendent, s’aiment, se désirent ou se rudoyent, et un regard brut mais poétique sur un monde qu’aucun carcan ne semble vouloir figer. À Cannes en mai dernier, on s’est pris _Sauvage_ en pleine tronche. Révélation d’un cinéaste, Camille Vidal-Naquet, et d’un comédien, Félix Maritaud, investi dans son personnage comme peu d’acteurs le sont. »\n**Pascal Gavillet - [Tribune de Genève](https://pascalgavillet.blog.tdg.ch/archive/2018/11/12/sauvage-la-part-du-romantisme-dans-le-sexe-et-autres-tropis-295490.html?fbclid=IwAR3KqpGV1KmAWut6jTtc1Qsv5y99oXvVApcnS5GkIr0_ERROxXw5EVpqII4)**\n","Der 22-jährige Leo verkauft sich für ein bisschen Geld auf der Straße. Die Männer ziehen an ihm vorbei. Er bleibt zurück, auf der Suche nach Liebe. Er weiß nicht, was morgen sein wird. Er läuft durch die Straßen. Sein Herz schlägt laut.\n","**Entretien de Camille Vidal-Nacquet pour [Filmexplorer](https://www.youtube.com/watch?v=ECcuX4FyYkI&ab_channel=filmexplorerswitzerland) :**\n\n\"Le personnage vit dans un monde violent mais n'en a pas perdu sa candeur.\"\n","https://www.youtube.com/embed/ECcuX4FyYkI?start=58","**Mit** Félix Maritaud, Éric Bernard, Nicolas Dibla, Philippe Ohrel\n\n**Drehbuch** Camille Vidal-Naquet **Kamera** Jacques Girault **Ton** Jérémie Vernerey, \nJulien Roig und Benjamin Viau **Schnitt** Elif Uluengin **Komponist** Romain Trouillet **Produktion** Les Films de la croisade und La voie lactée \n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZa97zZ2vIilC4WeeHMwfUQNtezAp1Mm0EV","https://www.youtube.com/watch?v=xHwjCCNcsP4&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/sauvage2018/","Camille Vidal-Nacquet — « Un film frontal, intense, magnifié par la performance de Félix Maritaud, radicalement mis à nu. » 360.ch\n","Camille Vidal-Nacquet — « Die Enthüllung eines Regisseurs und eines Schauspielers. » Tribune de Genève","sauvage","https://sister-distribution.ch/movie/sauvage?preview=true",[87],[90],[],[543,94,87,1717,152,1718],"Marginaux","Sexualité",[546,12,31,1303,158,1143],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Sauvage_vignettes_O_m_A.jpg",{"Id":52,"Title":1723,"Description FR":1724,"Actus":54,"Trailer FR":1725,"Director":1726,"Year":126,"Credits FR":1727,"Duration":303,"Release FR":1728,"Release DE":1729,"SUISA":1730,"VOD":1731,"Media FR":1732,"Catalogue":10,"Description DE":1733,"Media DE":54,"Bonus FR":1734,"Bonus URL":54,"Credits DE":1735,"Bonus Type":77,"Pro":1736,"Trailer DE":1737,"Ton Cinéma":1738,"Quote FR":1739,"Quote DE":1740,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":1741,"mId":52,"preview url fr":1742,"Country FR":1743,"Country DE":1745,"FCollections":1747,"FTags":1748,"TagIds":1749,"FEvents":1750,"img":1751},"IL MIO CORPO","Oscar – presque plus un enfant - récupère de la ferraille pour son père qui la vend. Il passe sa vie dans des déchèteries sauvages où le reste des restes sédimente. Aux antipodes, juste à côté, il y a Stanley. Il nettoie l’église contre une hospitalité monnayée, il ramasse les fruits, mène les troupeaux, tout ce qui peut occuper son corps venu d’ailleurs. Entre Oscar, le petit Sicilien, et Stanley, le Nigérian, rien de commun en apparence. 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Si _Il mio corpo_ s’apparente au \"cinéma du réel\", alors il parle d’un réel bien particulier, récité, car la mise en scène se rend presque toujours visible en prenant le réel par la main. Jusqu’à l’amener dans l’irréalité de personnages complètement isolés du (et dans le) contexte social, en réalité si présent et envahissant dans le sud de l’Italie. »\n**Giuseppe Di Salvatore - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/il-mio-corpo/?fbclid=IwAR3hMlHDtzVZ5z0f-aH00wTVXhPZjMcEeVSXwRuLeqrTiwqMsmnHhVXEeNo)**\n","Oscar, kaum noch ein Kind, sucht für seinen Vater nach Altmetall. Er verbringt sein Leben auf wilden Schrottplätzen. Welten von ihm entfernt, und doch ganz in der Nähe, da ist Stanley, ein nigerianischer Flüchtling. Gegen Kost und Logis räumt er die Kirche auf, erntet Früchte, hütet Schafe: alles, was seinen fremden Körper beschäftigt. Zwischen Oscar und Stanley gibt es oberflächlich betrachtet keine Gemeinsamkeiten. Außer dem Gefühl, der gleichen Ablehnung unterworfen zu sein.\n","**Michele Pennetta est l'invité du [12h45](https://www.rts.ch/play/tv/-/video/-?urn=urn:rts:video:12126177) sur la RTS :** \n\"Nous avons donné une patte fictionnelle à ce documentaire\"\n\n## \n**Il parle également de son film dans l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invite-michele-pennetta-il-mio-corpo-25194982.html) :** \n\"Je me suis intéressé à une Sicile qui n'est pas vu, même des siciliens\"\n\n## \n**Ainsi que sur [France Culture](https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/par-les-temps-qui-courent-emission-du-vendredi-28-mai-2021) :**\n\"J'ai capturé un petit fragment de leur vie\"\n","**Mit** Oscar Roberto, Marco Prestifilippo, Stanley Abhulimen, Blessed Idahosa\n\n**Drehbuch** Michele Pennetta, Arthur Brügger und Pietro Passarini \n**Kamera** Paolo Ferrari **Ton** Edgar Iacolenna **Schnitt** Damian Plandolit und \nOrsola Valenti **Produktion** Close Up Films, Kino produzioni, RAI Cinema und RSI Radiotelevisione svizzera\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZSM7zZX3axMmxK8183NuniP47yN7NXvgGX","https://www.youtube.com/watch?v=f_2jfMkEoE8&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/miocorpo/","Michele Pennetta — « Un film épatant qui réveille les fantômes du néoréalisme italien. » Les Inrocks\n","Michele Pennetta — « Ein umwerfender Film, der die Geister des italienischen Neorealismus weckt. » Les Inrocks","il-mio-corpo","https://sister-distribution.ch/movie/il-mio-corpo?preview=true",[1744,454],"Italie",[1746,458],"Italien",[],[94,242,674,1033,544,1388,404,1717,962],[12,83,519,38,20,290,52,1303,964],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/IMCORPO-Affiches_lz1fF.jpg",{"Id":903,"Title":1753,"Description FR":1754,"Actus":54,"Trailer FR":1755,"Director":1756,"Year":126,"Credits FR":1757,"Duration":589,"Release FR":1758,"Release DE":54,"SUISA":1759,"VOD":54,"Media FR":1760,"Catalogue":10,"Description DE":1761,"Media DE":54,"Bonus FR":1762,"Bonus URL":54,"Credits DE":1763,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":1755,"Ton Cinéma":1764,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":1765,"Teaser DE":1766,"DCP":54,"Events":31,"Slug":1767,"mId":903,"preview url fr":1768,"Country FR":1769,"Country DE":1770,"FCollections":1771,"FTags":1772,"TagIds":1773,"FEvents":1774,"img":1778},"JESSICA FOREVER","Jessica est une reine mais elle pourrait aussi bien être un chevalier, une mère, une magicienne, une déesse ou une star.\nJessica, c’est surtout celle qui a sauvé tous ces enfants perdus, ces garçons solitaires, orphelins et persécutés qui n’ont jamais connu l’amour et qui sont devenus des monstres.\nEnsemble, ils forment une famille et cherchent à créer un monde dans lequel ils auront le droit de rester vivants.\n","https://www.youtube.com/watch?v=tJre5jdPRxE&ab_channel=SisterDistribution","Caroline Poggi et Jonathan Vinel","**Avec** Aomi Muyock, Sebastian Urzendowsky, Augustin Raguenet, Eddy Suiveng, Lukas Ionesco, Maya Coline, Paul Hamy, Angelina Woreth, Théo Costa-Marini, \nFlorian Kiniffo, Ymanol Perset, Jordan Klioua, Franck Falise, Jean-Marie Pittilloni\n\n**Scénario** Caroline Poggi et Jonathan Vinel **Image** Marine Atlan\n**Son** Lucas Doméjean, Olivier Voisin et Victor Praud **Montage** Vincent Tricon \n**Musique** Ulysse Klotz **Production** Ecce Films\n","2019-05-08",1013.358,"> « Lyrique et contemplatif, Jessica Forever entonne ce chant du cygne en cherchant des éclats de beauté dans les décors les plus ordinaires, dans les clichés les plus kitsch, offrant une expérience cinématographique inédite et entêtante. »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2019/05/09/meute-melancolique/?fbclid=IwAR0AOKVXVPa7FNLlu_LH7d447c8DtuQ-tXaYwdvXc5omerAQAZ90PRekwV4)**\n\n> « Il y a encore dans cet opus si prometteur un traitement des corps rarement vu jusque-là, car jamais sexualisés par le regard de l’autre ou des autres. Tous les sentiments ayant usuellement cours dans la fiction sont à leur tour repensés, balayés, décalés par une grille de lecture qui reformule là aussi tous les codes usuels. Rien n’est plus vivifiant, roboratif et stimulant que ces films qui réinventent le cinéma (certes pas de fond en comble) et surtout nous poussent à relativiser, voire mettre à mal notre confort réflexif. Mais pour cela, il faut que la proposition de cinéma soit à la hauteur. Avec Poggi/Vinel, elle est de chaque plan, de chaque instant, et nous saisit dès la première image pour ne plus nous quitter. Sans hésiter l’un des meilleurs films vus cette année. À découvrir séance tenante. »\n**Pascal Gavillet - [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/culture/cinema/jessica-forever-experience-ultime/story/13117995?fbclid=IwAR1TfC-q8cngAeWZft_OQ4p7Y78JKafLffMHeVPORSllpBimPRlZX1XwC1A)**\n\n> « Pas de second degré ici, nulle dérision. Le film est sérieux, c’est à prendre ou à laisser. Il affiche son lyrisme naïf, à l’image du personnage de Michael (formidable Sebastien Urzendowsky), mélange de froideur, de feu et de douceur, qui fait une rencontre amoureuse. À travers son itinéraire se dessine une forme de romantisme pur et dur, réponse somme toute constructive à la tentation ambiante du nihilisme. »\n**Télérama**\n \n> « Peu de films français récents ont été aussi en prise avec leur époque ou, du moins, une certaine vision de l’époque où le fantasme et la fiction auraient achevé d’envahir le réel, tout en le figeant. Il n’y a là, dans ce futur qui accouche d’un nouveau Moyen Âge, plus que mythes, contes et rites magiques. Mais tous sont ancrés dans une forme de banalité. Il faut l’adresse de ces bardes milléniaux pour transcender la banalité, faire crépiter la moindre lumière, filmer chaque baiser comme si c’était le dernier. On aimerait flotter longtemps, sur cette plage, au milieu de ces jeunes gens alertes. Même leurs cauchemars sont accueillants. »\n**Vanity Fair**\n \n> « Une merveille ovniesque qui recycle le tout-venant des images pour en tirer une élégie sombre. Une rêverie d'heroic fantasy où Jessica, reine, chevalière ou mère louve, protège un groupe d'adolescents errants \"_en enfants perdus\"_ - comme on dit dans la terminologie militaire, lorsqu'un groupe part seul, en repérage, avant le dernier combat. Et si ce film étrange qui ne cherche jamais à aller sur le terrain d'un cinéma guerrier ou vénère, préférant pénétrer le cœur silencieux d'un monde abasourdi, était le film d'une génération ? »\n**Grazia** \n\n> « À Seattle en 1999, sur les places des villes incendiaires, la foule venait de toute part former un poing serré et défier les seuls rituels marchands. Les voix insurrectionnelles criaient aux ordonnateurs de misères « un autre monde est possible ». L’écho de cette injonction lancée au ciel s’est dédoublé. Un sillon s’est creusé dans la linéarité de la phrase. Un trou noir s’est formé dans les mots. L’inconscient est sans appel, et quand il frappe le langage il terrorise jusqu’à l’espoir. On croyait entendre une espérance mais elle masquait le vrai visage du cri. Et maintenant, il nous brule les yeux Oui un monde bien pire est probable. Dans ce désir aussi flou qu’incandescent, rien d’autre ne se dessine aussi bien que ce futur enfer. Jessica Forever est la surréalité de cet après notre ère, ce n’est pas un fantasme de jeu vidéo, ni même une hallucination mais la réverbération d’un paradis perdu. Cet autre monde, on le pressent dans un cauchemar articulé sous des soleils morbides par des Hadès camouflés en Jupiter. Un monde déshumanisé se forge où seules les vitrines resteront debout, où les caméras ne capteront que la désertion et les cadavres, où la lumière du jour ne brillera que pour des machines aveugles. Le cinéma n’est peut-être plus la révolution qu’il promettait, il s’est peu à peu dissout dans le rentable de la distraction et le plus souvent, il s’oublie. Il se digère et se répète aussi vite que ce que l’on y mange. Mais, dans ce ciel d’étoiles neutralisées, Jessica Forever apparaît en un film- météorite, il transperce la tranquille normalité de ce que l’on appelle le genre et ne réconforte pas les pupilles en mal de sensations. »\n**L’Humanité**\n \n> « Jessica forever ne ressemble à aucun autre film : c'est une petite météorite à laquelle le cinéma français n'était pas prêt et dont le fracas ne sera compris qu'une fois le choc passé. »\n**i-D**\n \n> « A la croisée de l’ultra-réel et du fantastique, du sombre et de l’étrange, Jonathan Vinel et Caroline Poggi livrent pour leur premier long-métrage, un conte moderne et inspiré. »\n**Transfuge Magazine**\n \n> « Film très fort et conquérant. »\n**Libération**\n \n> « S’accorder le droit de dire les choses tout haut, tout fort. C’est pouvoir brandir l’amour comme une arme, dormir les uns contre les autres ou répondre à une lettre enflammée par une danse. C’est dans cette naïveté, cette forme d’absolu romantique que Jessica Forever, qui déborde d’idées et d’envies, trouve sa fulgurante beauté. »\n**Les Inrockuptibles**\n \n> « De ce réel parfois trivial surgissent alors des instants magiques, romantiques, nostalgiques, émouvants, grâce à une mise en scène qui ose l’artifice, des dialogues très écrits et empreints de vérité, de musiques qui portent la dramaturgies de leurs histoires au statut de légendes. »\n**Répliques**\n \n> « _Jessica forever_ est à lui seul un manifeste et porte un souffle d'espoir d'une pureté cristalline. Il ne ressemble à aucun autre film. S'il recycle avec bonheur des éléments épars pris ici ou là, il peut hautement se revendiquer comme prototype qui sera inévitablement copié.Ce qui ne sera pas copié, on en est sûr, c'est son énergie, sa capacité à raconter une bonne dizaine de destins à l'aide d'acteurs tous emblématiques, solides et parfaitement dirigés et dessinés. »\n**Froggy's Delight**\n \n> « Le duo Poggi-Vinel impressionne par sa force de frappe émotionnelle. La traversée de Jessica Forever — car il s’agit bien là d’expérience — est à la fois dense et éthérée, quelque part entre une cinématique de jeu vidéo et une cérémonie chamanique, entre une messe de Purcell et du vocoder, et vibre avec un humour décalé sur une intensité politique rarement défrichée de la sorte. »\n**Culturopoing**\n \n","Jessica ist eine Königin, aber sie könnte genauso gut ein Ritter, eine Mutter, eine Magierin, eine Göttin oder ein Star sein.\nJessica ist vor allem diejenige, die all die verlorenen Kinder gerettet hat, die einsamen, verwaisten und verfolgten Jungen, die nie Liebe erfahren haben und zu Monstern geworden sind.\nGemeinsam bilden sie eine Familie und versuchen, eine Welt zu erschaffen, in der sie das Recht haben, am Leben zu bleiben.\n\n","**Caroline Poggi et Jonathan Vinel sont les invités de l'émission [Nectar](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/jessica-forever-entre-mythe-et-realite-25046978.html) :**\n\n\"Jessica est une guérisseuse qui va donner de l'amour à des jeunes ultra-violents\"\n","**Mit** Aomi Muyock, Sebastian Urzendowsky, Augustin Raguenet, Eddy Suiveng, Lukas Ionesco, Maya Coline, Paul Hamy, Angelina Woreth, Théo Costa-Marini, \nFlorian Kiniffo, Ymanol Perset, Jordan Klioua, Franck Falise, Jean-Marie Pittilloni\n\n**Drehbuch** Caroline Poggi und Jonathan Vinel **Kamera** Marine Atlan \n**Ton** Lucas Doméjean, Olivier Voisin und Victor Praud **Schnitt** Vincent Tricon \n**Komponist** Ulysse Klotz **Produktion** Ecce Films\n","https://www.ton-cinema.ch/film/jessicaforever/","« Un arrière-goût de dernier tour de pistes des signes de la jeunesse millénaire, et d'innocence malgré tout, qui prend son envol chaque fois qu'apparaît un personnage de jeune fille (qu'elle soit une potentielle fiancée pour la vie ou une soeur défunte), et qui explique aussi le rythme ralenti du film, qui ne cherche jamais à aller sur le terrain d'un cinéma guerrier ou vénère, mais plutôt à pénétrer dans le coeur silencieux d'un monde abasourdi : un des grands témoignages à chaud, à notre sens, d'une jeunesse 2019.» \n","_Jessica Forever_ ist ein Film aus einer anderen Welt. Der Wunsch nach Zugehörigkeit und liebevoller Führung wird auch ästhetisch ausgelebt – irgendwo zwischen Hightech-Kriegsästhetik, Romantik und purem Kitsch. «Wir sind keine Menschen, wir sind Kometen», sagt Jessica, «die leuchten am Himmel, die rufen der Welt zu: ‹Schaut mich an, ich werde bald verschwinden, aber jetzt blende ich euch!›. (Xenix)\n","jessica-forever","https://sister-distribution.ch/movie/jessica-forever?preview=true",[87],[90],[],[543,1064,673,87,404,1717,151,962,347,348],[546,1066,571,31,52,1303,157,964,16,350],[1775,1776,1777],270,271,272,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Jessica Forever_vignettes_8yD0A.jpg",{"Id":898,"Title":1780,"Description FR":1781,"Actus":54,"Trailer FR":1782,"Director":1783,"Year":219,"Credits FR":54,"Duration":771,"Release FR":1784,"Release DE":54,"SUISA":1785,"VOD":1786,"Media FR":1787,"Catalogue":10,"Description DE":1788,"Media DE":1789,"Bonus FR":1790,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1791,"Trailer DE":1792,"Ton Cinéma":1786,"Quote FR":1793,"Quote DE":54,"Teaser FR":1781,"Teaser DE":1794,"DCP":1795,"Events":27,"Slug":1796,"mId":898,"preview url fr":1797,"Country FR":1798,"Country DE":1799,"FCollections":1800,"FTags":1801,"TagIds":1802,"FEvents":1803,"img":1818},"LA BELLE DE GAZA","Elles étaient une vision fugace dans la nuit. On m’a dit que l’une d'entre elles était venue à pied de Gaza à Tel-Aviv. Dans ma tête je l'ai appelée _La Belle de Gaza_. \n","https://youtu.be/0aXhfEE-5rA","Yolande Zauberman","2024-06-05",1020.522,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1988-la-belle-de-gaza","> « La réalisatrice française évoque surtout une grande marche symbolique vers la liberté et offre un documentaire d’une fulgurante humanité. »\n**Julie Evard, [entretien avec la réalisatrice, 19:30, RTS](https://www.rts.ch/play/tv/-/video/-?urn=urn:rts:video:14951207&startTime=1642)**\n\n> « La réussite de Zauberman toujours, c'est de mélanger justement une très, très grande sensualité, une très grande beauté des images avec de la politique. Donc on a des lumières, des décadrages, du montage, on a une vraie invention et une vraie écriture de cinéma qui ne cède jamais devant l'ambition politique, l'ambition sociale, de montrer des réalités évidemment complexes et très importantes. »\n**Laurent Delmas,[ Les sorties cinéma de la semaine, France Inter](https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/les-sorties-cinema-de-la-semaine/les-sorties-cinema-de-la-semaine-du-samedi-01-juin-2024-7408006)**\n\n> « Un film formidable, absolument vertigineux.\n> Une beauté qui transcende, l’impression de voir des déesses mythologiques. »\n**Rafael Wolf, Stéphane Gobbo, [débat cinéma, Vertigo, La 1ere](https://www.rts.ch/audio-podcast/2024/audio/debat-cine-28528553.html)**\n\n> « Le rire clair de la gracieuse Talleen résonne dans toutes les scènes où elle apparaît. Dont celle qui voit sa marraine trans Israela narrer son mariage de trois ans avec un rabbin qui ne se doutait de rien! _La Belle de Gaza_ est ponctué de moments comme celui-ci, cocasses ou émouvants, qui célèbrent la résilience de ses protagonistes. Ils signalent une cinéaste plus préoccupée par ses personnages que par un sujet (transidentité, pédocriminalité…), auquel on ne saurait réduire ses documentaires. Ces trois films tournés en Israël montrent par ailleurs le pays sous un jour inédit. Sans évacuer pour autant la réalité de l’occupation, présente en creux et à l’esprit. Aujourd’hui plus que jamais.»\n**Mathieu Loewer,[ A la faveur de la nuit, Le Courrier](https://lecourrier.ch/2024/06/06/a-la-faveur-de-la-nuit/)**\n\n> « Ballet nocturne dans lequel les corps et les visages s’entremêlent pour transcender les témoignages. Sous son voile, le sourire à la fois mélancolique et rieur de Nathalie est déchirant.\n> Son travail, qui d’une certaine manière plonge dans les ténèbres pour y trouver la lumière, est exemplaire et nécessaire, tout en évitant l’écueil du militantisme ou du dogmatisme. Il est complexe, comme la vie. »\n**Stéphane Gobbo,[ Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/la-belle-de-gaza-des-femmes-trans-pour-eclairer-la-nuit-israelienne)**\n\n> «Comme dans «M», la réalisatrice semble avoir tissé un véritable lien de confiance avec ces flamboyantes héroïnes de la nuit, qui parlent à cœur ouvert, autant de leurs joies que de leurs blessures, faisant preuve d’une résilience impressionnante. Guidée par une bande-son envoûtante, cessant de se demander comment des images si belles et si douces ont été capturées, on sent ainsi une vraie proximité s’établir avec ces Belles de nuit, qui jaillissent parfois fugacement, ou avec qui l’on partage un moment plus long. Solitude, fragilité, mais surtout force et émancipation rayonnent face à la caméra, ces figures incandescentes démontrant qu’au bout du chemin, quelle que soit la profondeur des ténèbres, la lumière existe… »\n**Marine Guillain, ★★★★, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/film/2024/LaBelleDeGaza/critique.html)**\n\n> « Une femme comme l’héroïne manquante d’un conte un peu halluciné, une vision, une légende, un vide : et qui raconte, au-delà de cette quête singulière, quelque chose de très émouvant sur ce que le cinéma peut ou ne peut pas représenter de ce lieu là.»\n**Lucile Commeaux, _[La Belle de Gaza](https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-regard-culturel/le-regard-culturel-chronique-du-mercredi-29-mai-2024-4418054)_[ : fouiller la nuit, France Culture](https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-regard-culturel/le-regard-culturel-chronique-du-mercredi-29-mai-2024-4418054)**\n\n> « Brûlant de lumière, Yolande Zauberman déploie de fulgurantes réflexions au croisement du corps et du conflit politique. »\n**Clarisse Fabre, [l'avis du Monde : À NE PAS MANQUER](https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/05/29/la-belle-de-gaza-a-la-recherche-d-une-femme-trans-palestinienne-dans-les-nuits-de-tel-aviv_6236206_3246.html)**\n\n> « Sublime documentaire »\n**Joséphine Leroy, [Trois couleurs](https://www.troiscouleurs.fr/article/yolande-zauberman)**\n\n> « Présenté en séance spéciale au Festival de Cannes, le nouveau documentaire de Yolande Zauberman fascine autant qu’il émeut. Par sa tentative de réconciliation de l’irréconciliable, par sa générosité humaniste, par son scintillement dans la nuit. »\n**Olivier Pélisson,[ Bande à part](https://www.bande-a-part.fr/cinema/critique/magazine-cinema-la-belle-de-gaza-yolande-zauberman-cannes-2024-critique/)**\n\n> « Dans la rue Hatnufa de Tel Aviv, Yolande Zauberman part à la recherche d’un garçon qui aurait « marché de Gaza à Tel Aviv pour devenir une fille ». Avec la simplicité d’un mythe, elle fait le portrait de cinq femmes trans la nuit autour de cette rue qui est comme le chemin des Enfers. La nuit nous rapproche de ces cinq personnages en même temps qu’elle fait disparaître dans le noir la société dont la violence n’apparaît que dans les récits. Comme dans une danse, la cinéaste embrasse le visage de ces cinq femmes qui deviennent les seules habitantes de Tel Aviv. »\n**Raphaëlle Pireyre, [AOC](https://aoc.media/entretien/2024/05/24/yolande-zauberman-je-me-suis-toujours-dit-quil-faut-soccuper-de-gaza/)**\n\n> « Un film passionnant, humaniste, en forme de lettre d’amour pour ses héroïnes, « La belle de Gaza » évoque avant tout la possibilité de devenir ce qu’on est, d’où qu’on vienne et ce que l’on croit. »\n**Edmée Cuttat, [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/chronique-cannoise-564479566341)**\n\n> « Difficile de faire la part entre le mystère inhérent à la nuit et celui des plans quasi surnaturels que compose la cinéaste : les ondulations d’une chevelure lors d’un lip-sync en extase, suivant le mouvement d’une décapotable lancée à toute allure dans le ciel noir, ou le reflet du visage de Talleen dans la vitre du bus que conduit son père, pareil à une icône flottante. Yolande Zauberman dit filmer en se laissant porter par _«l’intuition suivante»,_ _«ce dont le projet aura besoin»,_ s’abstenant de trop en dire sur le projet pour construire, avec ses personnages, _«un territoire qui n’est pas tout à fait le leur, qui n’est pas non plus le mien»._ C’est la belle réussite du film, que de matérialiser ce lieu de rencontre, pareil à un lieu de l’esprit, secret comme une prière faite à soi-même, puis partagée à la face du monde. »\n**Sandra Onana, [Libération](https://www.liberation.fr/culture/festival-de-cannes-2024-la-belle-de-gaza-de-yolande-zauberman-retient-la-nuit-20240517_RYECK56HL5EGDHI5OY3JCXHTCI/)**\n\n> « Yolande Zauberman avec sa caméra n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant. »\n**Thomas Baurez, [Première](https://www.premiere.fr/film/La-Belle-de-Gaza) ★★★★**\n\n> « Loin d’être un prétexte pour explorer son sujet – la transidentité chez les Palestiniens –, la quête entreprise par la cinéaste irrigue surtout le film d’un élan pulsionnel. Le désir y est omniprésent : dès le feu d’artifice qui jaillit à l’ouverture, le film, sans éluder la précarité de l’existence des femmes qu’elle filme (les nuits de Tel-Aviv sont loin d’être un havre de paix pour les transgenres palestiniennes), partage leur appétit de jouissance. Les conversations qui s’engagent avec ces personnages à la sensualité exacerbée. »\n**Bastien Gens, [Critikat](https://www.critikat.com/panorama/festival/festival-de-cannes-2024/la-belle-de-gaza/)**\n","«**Nächtliches Ballett, in dem Körper und Gesichter miteinander verschmelzen**» _Le Temps_","> «‹Die Schöne von Gaza› – so nennt Zauberman eine trans Frau, nach der sie sucht, seit sie vor einigen Jahren in Israel ihren Film M (2018) drehte. Zufällig hat Zauberman damals eine trans Person gefilmt. Später erfuhr sie, dass die Frau aus Gaza gekommen sei. Unter Prostituierten erzählte man sich, dass sie die siebzig Kilometer bis nach Tel Aviv zu Fuss zurückgelegt habe. Zauberman liess ihr Schicksal nicht los.»\n**Andreas Scheiner, [NZZ](https://www.nzz.ch/feuilleton/triump-der-transfrauen-in-cannes-la-belle-de-gaza-und-emilia-perez-ld.1830970)**\n\n> «Mit der Einfachheit eines Mythos porträtiert sie fünf Transfrauen in der Nacht rund um diese Strasse, die wie der Weg in die Unterwelt ist. Die Nacht bringt uns diese fünf Figuren näher, während sie gleichzeitig die Gesellschaft, deren Gewalt nur in den Erzählungen auftaucht, in der Dunkelheit verschwinden lässt.»\n**_Raphaëlle Pireyre_, [AOC](https://aoc.media/entretien/2024/05/24/yolande-zauberman-je-me-suis-toujours-dit-quil-faut-soccuper-de-gaza/)**\n","_Pour moi, il existe une différence entre violence et brutalité. Rentrer avec une caméra dans la vie des gens est un processus vital, joyeux et violent. J’en accepte la violence. Si je ne l’acceptais pas, je ne pourrais pas faire les films que je fais. Et il est indispensable qu’elle soit consentie. Nathalie nous a appelés après son opération et a accepté d’être filmée malgré la douleur. La brutalité, c’est ma limite. Rien ne peut être volé. Quand elle souffre, elle souffre vraiment. C’est étrange d’être filmée à cet instant, mais elle l’a voulu et accepté. Je pense qu’il y a quelque chose de l’ordre de la nudité vers laquelle on va ensemble. Ma limite, c’est l’éthique. Filmer quelqu’un comme une victime, victimiser des victimes, de mon point de vue, ça n’est pas éthique. Ce serait leur enlever toute forme de beauté, d’intelligence, de lutte contre la douleur, de joie. Ma limite, c‘est celle là. Je filme depuis mon intimité avec une petite caméra, une petite équipe, entre quatre et cinq personnes – Selim Nassib, mon compagnon, prend le son, j’ai un assistant pour la caméra et un autre pour le projecteur._\n(...)\n_Quand une personne accepte que je la filme, je lui montre une image, une seule. Je veux qu’elle comprenne comment je la regarde. À partir de cette image, chacune a décidé si elle me faisait confiance ou non. Je demande cette confiance. Si je ne l’ai pas, je ne peux pas filmer._\n> Yolande Zauberman, [entretien avec Raphaëlle Pireyre, AOC](https://aoc.media/entretien/2024/05/24/yolande-zauberman-je-me-suis-toujours-dit-quil-faut-soccuper-de-gaza/)\n\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZI9WMZN2TOzwIoyb8spM13gcuGd4tTI7Vy","https://youtu.be/Mb-zfPyxYXI","Yolande Zauberman — « Un film formidable, absolument vertigineux. Une beauté qui transcende, l’impression de voir des déesses mythologiques. » Vertigo, RTS","«Nächtliches Ballett, in dem Körper und Gesichter miteinander verschmelzen» _Le Temps_\n","https://filmservice.net/films/4634","la-belle-de-gaza","https://sister-distribution.ch/movie/la-belle-de-gaza?preview=true",[87],[90],[],[242,95,96,152,347],[83,98,27,158,16],[1804,1805,1806,1807,1808,1809,1810,1811,1812,1813,1814,1815,1816,1817],277,280,284,273,283,274,276,282,286,285,279,281,278,275,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/LABELLEDEGAZA_VIGNETTE_hNQRD.jpg",{"Id":1820,"Title":1821,"Description FR":1822,"Actus":54,"Trailer FR":1823,"Director":1824,"Year":1005,"Credits FR":1825,"Duration":1826,"Release FR":1827,"Release DE":1828,"SUISA":1829,"VOD":1830,"Media FR":1831,"Catalogue":10,"Description DE":1832,"Media DE":1833,"Bonus FR":1834,"Bonus URL":54,"Credits DE":1835,"Bonus Type":77,"Pro":1836,"Trailer DE":1837,"Ton Cinéma":1838,"Quote FR":1839,"Quote DE":1840,"Teaser FR":1841,"Teaser DE":1842,"DCP":1843,"Events":20,"Slug":1844,"mId":1820,"preview url fr":1845,"Country FR":1846,"Country DE":1847,"FCollections":1848,"FTags":1849,"TagIds":1850,"FEvents":1851,"img":1856},52,"FOUDRE","Été 1900, dans une vallée du sud de la Suisse. Elisabeth a dix-sept ans et s’apprête à faire ses vœux quand le décès brutal de sa sœur aînée l’oblige à retrouver sa famille et la vie de labeur qu’elle avait quitté cinq ans plus tôt pour entrer au couvent. Elisabeth n’est plus une enfant et les mystères entourant la mort de sa sœur vont la pousser à lutter pour son droit à l’expérience.\n```\n\n```\n","https://youtu.be/h8XMQ4Vghrk","Carmen Jaquier","**Avec** Lilith Grasmug, Mermoz Melchior, Benjamin Python, Noah Watzlawick, Sabine Timoteo et François Revaclier\n\n**Scénario** Carmen Jaquier **Image** Marine Atlan **Son** Carlos Ibañez Diaz, Raphaël Sohier, Matthieu Fichet et Denis Séchaud **Montage** Xavier Sirven **Musique** Nicolas Rabaeus **Production** Close Up Films\n",92,"2023-03-29","2023-04-13",1017.148,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1522-foudre","> « _Foudre_ est un film de territoire. Il y a d’abord le territoire géographique, avec en son centre la verticalité de la montagne, et parfois une approche qui évoque le western, et ensuite le territoire des corps et du désir. Jouant parfaitement sur le visible et l’invisible, les injonctions sociales et les sentiments souterrains, Carmen Jaquier livre un premier long métrage d’une grande force qui part du Valais de 1900 pour tendre vers une universalité de propos, ce qu’elle a pu constater avec des spectatrices et spectateurs qui, de Toronto à Marrakech en passant par Busan, sont venus lui dire à quel point cette histoire résonnait en eux. »\n> **[Stéphane Gobbo, Le Temps ](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/foudre-foi-se-heurte-desir)**\n\n> « C’est un film inédit et nécessaire que propose la cinéaste, sans oublier, constante à notre sens essentielle de toute démarche artistique, de porter un vrai regard sur son sujet, et même de faire preuve d’ambition, dans une quête dont l‘exigence se mue en radicalité. On ne voit pas toutes les semaines des premiers films aussi enthousiasmants. Par sa direction d’acteurs, son esthétique, sa richesse thématique, son intimisme et sa relecture de l’histoire suisse, «Foudre» fait la preuve d’audace. Il tranche dans le vif tout en restant en conformité avec un genre, le drame historique, générateur de films souvent ampoulés. Tout ce que ce métrage n’est pas. On adhère. »\n**[Pascal Gavillet, Tribune de Genève ](https://www.tdg.ch/foudre-bonne-conduite-quels-films-aller-voir-cette-semaine-720764084073)**\n\n> « Ce film est un témoignage du passé, mais qui fait écho avec une thématique actuelle, par son évocation courageuse de l’émancipation d’une jeune femme au début du 20e siècle. Nous avons voulu saluer la naissance d’une nouvelle réalisatrice qui cultive merveilleusement le sens du mystère et se pose en porteuse d’espoir pour les générations futures. Notre jury est fier de décerner le Prix Opera Prima de la 58es édition des Journées de Soleure à Carmen Jaquier. »\n> **[Prix Opera Prima Soleure 2023](https://www.solothurnerfilmtage.ch/fr/magazine/58/laudatio-opera-prima)**\n\n> « Exploration incandescente et sensorielle de la liberté, _Foudre_ est autant un bucher de sorcière qu’un feu de joie. »\n**[Le Polyester](https://www.lepolyester.com/critique-foudre/)**\n","Sommer in einem Schweizer Dorf um 1900. Als die 17-jährige Novizin Elisabeth vom plötzlichen Tod ihrer ältesten Schwester Innocente erfährt, sieht sie sich gezwungen, auf den Hof ihrer Familie zurückzukehren. Schon bei ihrer Ankunft werden die Todesumstände ihrer Schwester von einem seltsamen Schweigen umhüllt. Doch Elisabeth ahnt, dass mehr dahinterstecken muss. Zwischen knochenharter Feldarbeit, dem christlich-konservativen Elternhaus und den verstohlenen Blicken der männlichen Dorfjugend taucht sie immer tiefer in die Geheimnisse von Innocente ein. Die hochtalentierte Westschweizer Regisseurin Carmen Jaquier erforscht in eindrücklich komponierten Bildern weibliche Emanzipation inmitten erdrückender Gesellschaftsnormen.\n","> « Foudre è un film impavido, di straordinaria bellezza »\n**Filmbulletin**\n\n> « La ginevrina Carmen Jaquier dirige una storia di emancipazione femminile nel Vallese del 1900. Vincitore di due Premi del Cinema Svizzero, questo primo lungometraggio è un film di grande intensità formale »\n**Le Temps**\n\n> « Questo film è una testimonianza del passato, ma che riecheggia un tema attuale, attraverso la coraggiosa evocazione dell'emancipazione di una giovane donna all'inizio del XX secolo. La nascita di un nuovo regista che coltiva meravigliosamente il senso del mistero ed è un faro di speranza per le generazioni future. »\n**Opera Prima Solothurner Filmtage - Journées de Soleure**\n\n> « Foudre è un'opera prima potente, visivamente maestosa e precisa che rivela una regista determinata a ad affermare il suo punto di vista. »\n**Cineuropa**\n\n> « Foudre è un film impavido, di straordinaria bellezza »\n**Filmbulletin**\n\n> « La ginevrina Carmen Jaquier dirige una storia di emancipazione femminile nel Vallese del 1900. Vincitore di due Premi del Cinema Svizzero, questo primo lungometraggio è un film di grande intensità formale »\n**Le Temps**\n\n> « Questo film è una testimonianza del passato, ma che riecheggia un tema attuale, attraverso la coraggiosa evocazione dell'emancipazione di una giovane donna all'inizio del XX secolo. La nascita di un nuovo regista che coltiva meravigliosamente il senso del mistero ed è un faro di speranza per le generazioni future. » \n**Opera Prima Solothurner Filmtage - Journées de Soleure**\n\n> « Foudre è un'opera prima potente, visivamente maestosa e precisa che rivela una regista determinata a ad affermare il suo punto di vista. »\n**Cineuropa**\n\n","### Coup de «Foudre» dans le cinéma suisse\n**[Le premier long métrage de la Genevoise impressionne par sa rigueur. Rencontre avec une cinéaste plus que prometteuse.](https://www.tdg.ch/coup-de-foudre-dans-le-cinema-suisse-604257565823)**\nPar Pascal Gavillet, Tribune de Genève\n\n","**Mit** Lilith Grasmug, Mermoz Melchior, Benjamin Python, Noah Watzlawick, Sabine Timoteo und François Revaclier\n\n**Drehbuch** Carmen Jaquier **Kamera** Marine Atlan **Ton** Carlos Ibañez Diaz, Raphaël Sohier, Matthieu Fichet und Denis Séchaud **Schnitt** Xavier Sirven **Komponist** Nicolas Rabaeus **Produktion** Close Up Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZko2mZSTkvdy5Pi7JHz6zTMrMvV4jkDABX","https://youtu.be/XiQsBYHgBsQ","https://www.ton-cinema.ch/film/foudre/","Carmen Jaquier — « Une exploration incandescente et sensorielle de la liberté. » Le Polyester\n","Carmen Jaquier — « Eine glühende und sinnliche Erkundung der Freiheit. » Le Polyester","**[«Foudre», un film qui claque dans le cinéma suisse](https://www.tdg.ch/foudre-bonne-conduite-quels-films-aller-voir-cette-semaine-720764084073)**\n\n> À l’unanimité, le jury a choisi un film porté par un incroyable souffle de liberté. Son niveau de maitrise et de maturité nous a étonné et très vite conquis dès les premiers plans. De part sa mise en scène épurée, sa direction d’acteur inspirée, nuancée, juste, sensible, cette première fiction nous a épaté et émue. Son sens du cadrage et ses paysages incarnés, au service de la narration, nous transportent dans un autre temps.\n> Ce film est un témoignage du passé, mais qui fait écho avec une thématique actuelle, par son évocation courageuse de l’émancipation d’une jeune femme au début du 20e siècle. Nous avons voulu saluer la naissance d’une nouvelle réalisatrice qui cultive merveilleusement le sens du mystère et se pose en porteuse d’espoir pour les générations futures. Notre jury est fier de décerner le [Prix Opera Prima](https://www.solothurnerfilmtage.ch/fr/magazine/58/laudatio-opera-prima) des Journées de Soleure à Carmen Jaquier.\n","**[«Foudre», ein Film, der in die Schweizer Kinolandschaft einschlägt!](https://www.tdg.ch/foudre-bonne-conduite-quels-films-aller-voir-cette-semaine-720764084073)**\n\n> Die Jury hat sich einstimmig für einen Film ausgesprochen, der von einem unglaublichen Hauch von Freiheit durchdrungen ist. Sein Niveau und seine Reife haben uns verblüfft und von den ersten Einstellungen an sehr schnell in seinen Bann gezogen. Dieses Erstlingswerk hat uns durch seine schlichte Inszenierung sowie seine inspirierte, nuancierte, exakte und feinfühlige Führung der Schauspieler:innen beeindruckt und berührt. Sein Gefühl für Bildkompositionen und die im Dienste der Narration stehenden Landschaften versetzen uns in eine andere Zeit.\n> Dieser Film ist ein Zeugnis der Vergangenheit, der durch seine mutige Thematisierung der Emanzipation einer jungen Frau Anfang des 20. Jahrhundert aber auch ein aktuelles Thema aufgreift. Wir wollten das Debüt einer neuen Regisseurin würdigen, die ihr Gespür für das Geheimnisvolle kultiviert und eine Hoffnungsträgerin für künftige Generationen ist. Unsere Jury ist stolz, den Preis «[Opera Prima](https://www.solothurnerfilmtage.ch/de/magazin/58/laudatio-opera-prima)» der 58. Solothurner Filmtage an Carmen Jaquier für ihren Film «Foudre» zu verleihen.\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZ30mJZ1jv5ba26D18DN9GcsVPghbWLoY7X","foudre","https://sister-distribution.ch/movie/foudre?preview=true",[454],[458],[28],[543,1064,674,544,152,347],[546,1066,519,20,158,16],[1852,1853,1854,1855],288,287,289,290,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/FOUDRE_Vignette_0XXf0.jpg",{"Id":894,"Title":1858,"Description FR":1859,"Actus":54,"Trailer FR":54,"Director":1860,"Year":54,"Credits FR":54,"Duration":54,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":54,"VOD":54,"Media FR":54,"Catalogue":10,"Description DE":54,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1861,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":1862,"mId":894,"preview url fr":1863,"Country FR":1864,"Country DE":1865,"FCollections":1866,"FTags":1867,"TagIds":1868,"FEvents":1869,"img":1870},"COSMOS","Dans un village oublié du Yucatán, Lena, 68 ans, une veuve esseulée condamnée par la maladie, croise le chemin de Leon, 62 ans, un Indien maya gardien des secrets de la nature et des esprits. 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Le local serait-il le dernier territoire de l’utopie ?\n\nDes agriculteurs de la coopérative le Galline Felici en Sicile aux architectes, artisans et élus des Alpes suisses et du Voralberg en Autriche – tous font de la politique à partir de leur travail, plutôt de la politique leur travail – se pensent un destin commun.\n","https://www.youtube.com/watch?v=_ts0rKd4WEs&ab_channel=SisterDistribution","Dominique Marchais",2017,"**Scénario** Dominique Marchais **Image** Claire Mathon et Sébastien Buchmann \n**Son** Mikaël Kandelman, Emanuele Giunta et Marc von Stürler \n**Montage** Jean-Christophe Hym **Production** Zadig Films\n","2018-06-20",1012.733,"https://www.filmingo.ch/fr/films/589-nul-homme-n-est-une-ile","> _« Dans les documentaires comme _Demain_, on nous fait croire que les solutions sont là, qu’il suffit de les appliquer chez soi. Et quand tout le monde fera la même chose partout, nous serons sauvés? Je défends la logique inverse, celle du vernaculaire, du génie du lieu, de l’intraduisible. Il ne faut pas reproduire ces initiatives, mais comprendre comment elles peuvent nous inspirer dans notre contexte particulier, notre situation territoriale et notre culture. Il faut repenser un projet politique à partir du paysage. Je reviens à la fresque. Le peintre montre la supériorité du régime communal à travers un paysage beau, productif et pacifié. Je pose la question dans l’autre sens: demandons-nous dans quel paysage nous souhaitons vivre, puis comment mettre en œuvre un projet commun_. »\n**Mathieu Loewer, Dominique Marchais, entretien - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2018/06/14/trois-utopies-bien-ancrees/)**\n\n> _« Nul homme n’est une île_ – titre emprunté à un poème de John Donne – est un documentaire admirablement construit, qui pousse à la réflexion et à la remise en question. C’est un film nécessaire qui montre que rien n’est inéluctable, qu’il est possible de lutter contre des phénomènes globaux et anxiogènes avec des mesures locales simples et concrètes. Loin de l’écologie culpabilisante, il a de saines vertus incitatives. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/reponses-locales-questions-globales?fbclid=IwAR32dG0LN3zO-rkr7jA2nQNwIXYR3lEsO1g73myBvTjsofl2AS4u4Jf_nRo)**\n\n> « [...] Le film de Marchais est une réponse subtile à la crainte croissante d’une dissolution du politique, pulvérisé par la nouvelle fragmentation numérique des causes et des engagements : chacun dans son coin d’écran avec ses propres combats, sa propre sensibilité, sa propre hiérarchie des causes à défendre.\n> Le film parvient ainsi à réactualiser un vieil impératif de l’action politique. Celui qui prescrit que seule la disposition à relier peut faire avancer les choses. Rien n’est rouge ni noir dans ce film. La bonne gouvernance n’est pas nécessairement partisane. Elle est par contre sereine et juste. »\n**Christophe Catsaros - [Blog Le Temps](https://blogs.letemps.ch/christophe-catsaros/2018/06/19/nul-homme-nest-une-ile/?fbclid=IwAR29qRvNBSPAaY-A2fZCZWKSQ7b1TmKZDDJMBinoMt25KlJO6DvSlsGSgnI)**\n","Kein Mensch ist eine Insel ist eine Reise durch Europa, vom Mittelmeer bis zu den Alpen, auf der wir Männer und Frauen entdecken, die daran arbeiten, den Geist der Demokratie auf lokaler Ebene lebendig werden zu lassen und die Landschaft einer guten Regierung zu produzieren. Ist das Lokale das letzte Territorium der Utopie?\n\nVon den Landwirten der Kooperative le Galline Felici in Sizilien bis zu den Architekten, Handwerkern und gewählten Vertretern in den Schweizer Alpen und im österreichischen Voralberg - sie alle machen Politik aus ihrer Arbeit, eher Politik ihre Arbeit - denken sich ein gemeinsames Schicksal aus.\n","**Le réalisateur Dominique Marchais est l'invité de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invite-dominique-marchais-le-local-dernier-territoire-de-l-utopie-25555544.html) : Le local, dernier territoire de l'utopie ?**\n\n","**Drehbuch** Dominique Marchais **Kamera** Claire Mathon und Sébastien Buchmann \n**Ton** Mikaël Kandelman, Emanuele Giunta und Marc von Stürler \n**Schnitt** Jean-Christophe Hym **Produktion** Zadig Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZbkJzZKfGXViukPV48rGdJ3kSSzJBJFRAV","https://www.ton-cinema.ch/film/nulhommenestuneile/","Dominique Marchais — « Un immense et superbe panoramique horizontal dévoilant une autre société possible. » Libération\n","Dominique Marchais — « Ein riesiges und wunderschönes horizontales Panorama, das eine andere mögliche Gesellschaft enthüllt. » Libération","« A la lumière des liens entre politique et paysage, ce documentaire sonde trois réponses locales à des problématiques globales. Des initiatives à la fois utopiques et pragmatiques, écologiques et démocratiques, où des citoyens ont pris en main le destin de leur région. » [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2018/06/14/trois-utopies-bien-ancrees/)\n","nul-homme-n-est-une-le","https://sister-distribution.ch/movie/nul-homme-n-est-une-le?preview=true",[87],[90],[49],[242,1033,87,150,96],[83,38,31,45,27],[1899,1900,1901],292,293,291,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/NHNUI_Affiche_CH_0G-PN.jpg",{"Id":504,"Title":1904,"Description FR":1905,"Actus":54,"Trailer FR":1906,"Director":1907,"Year":1005,"Credits FR":54,"Duration":613,"Release FR":1908,"Release DE":1909,"SUISA":1910,"VOD":1911,"Media FR":1912,"Catalogue":10,"Description DE":1913,"Media DE":1914,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":1915,"Trailer DE":1916,"Ton Cinéma":1917,"Quote FR":1918,"Quote DE":1919,"Teaser FR":1920,"Teaser DE":1921,"DCP":1922,"Events":27,"Slug":1923,"mId":504,"preview url fr":1924,"Country FR":1925,"Country DE":1926,"FCollections":1927,"FTags":1928,"TagIds":1929,"FEvents":1930,"img":1945},"LOVE LIFE","Taeko vit avec son époux Jiro et son fils Keita en face de chez ses beaux-parents, qui n'ont jamais vraiment accepté ce mariage. Alors que Taeko découvre l’existence d'une ancienne fiancée de son mari, le père biologique de Keita refait surface suite à un événement inattendu. C'est le début d'un impitoyable jeu de chaises musicales, dont personne ne sortira indemne.\n","https://youtu.be/yTc3TjtKljI","Kôji Fukada","2023-06-14","2024-05-16",1018.072,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1816-love-life","> « ... cette douce tranquillité apparente, presque illusoire, qui paraît être la clé de voûte d’un film profondément envoûtant, drame qui se joue sur des détails, sur d’infimes perturbations du quotidien qui viennent tout déchirer, tout saccager. C’est splendide et bouleversant» \n**Pascal Gavillet, [Tribune de Genève](https://www.tdg.ch/quels-films-aller-voir-cette-semaine-276498345027)**\n\n> « Mélodrame émancipateur et féministe. Un film, qui ne cesse de nous surprendre, nous entraîne dans l’engrenage émotionnel d’un travail de deuil restitué avec un sens de la mise en scène assez inouï, flanquée d’une économie de moyens décuplant encore sa force: un jeu qu’on laisse en état, une pièce désormais interdite, un simple reflet lumineux sur une vitre… Bref, du cinéma à l’état pur qui, in fine, répare l’âme. » \n**Vincent Adatte, [ArcInfo](https://www.arcinfo.ch/culture-loisirs/cinema/carmen-love-life-les-sorties-cine-de-la-semaine-a-ne-pas-rater-1296563)**\n\n> « Sur les brisées du fabuleux «Drive My Car» de Ryusuke Hamaguchi, son contemporain Koji Fukada réinvente son cinéma dans un «Love Life» plus accessible pour le grand public. Et ce n'est pas un mal, tant ce film complexe et raffiné sur les non-dits entre un jeune couple endeuillé en devient universel. » \n**Norbert Creutz, [Bon pour la tête](https://bonpourlatete.com/culture/regarde-moi-dans-les-yeux)**\n\n> « Fukada pose tous les ingrédients du mélodrame. Mais à partir de là, _Love Life_ (du titre d’une chanson d’Akiko Yano qui clôt longuement, et magnifiquement, le film) fera tout pour ne pas être un mélodrame, dans le sens où ce qui compte, c’est ici moins la sublimation des sentiments que leur justesse. Le réalisateur préfère la retenue, l’allusion et les silences (malgré quelques éclats).\n> Il fait partie, avec Ryusuke Hamaguchi (_Drive My Car_, _Contes du hasard et autres fantaisies_), des voix essentielles du cinéma japonais actuel. » \n**Stéphane Gobbo, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/love-life-une-nouvelle-miniature-de-koji-fukada)**\n\n> « Le cinéaste japonais Kōji Fukada (_Au revoir l’été,_ _Harmonium_, _Fuis-moi je te suis et Suis-moi je te fuis…_) est de retour avec un film une fois de plus étrange, original, surprenant, à la fois violent et déchirant, qui a été sélectionné et présenté en septembre 2022 en compétition à la [Mostra de Venise](https://www.lesinrocks.com/cinema/mostra-de-venise-2022-ce-quon-a-vu-ce-quon-en-pense-495934-06-09-2022/).\n> En quoi _Love Life_ est-il si étrange, si original ? Parce que Fukada met en scène son film avec une maîtrise formelle et un sens de l’espace qui ne laissent rien au hasard et qui impressionnent. Il faut voir la manière avec laquelle il utilise la résidence où vivent les deux couples, dans des appartements qui se font face. » \n**Jean-Baptiste Morain,[ Les Inrockuptibles](https://www.lesinrocks.com/cinema/love-life-koji-fukada-livre-un-film-surprenant-qui-mele-les-genres-avec-maestria-571212-13-06-2023/)**\n\n> « _Love Life_ est de ces œuvres que l’on souhaite à tous de découvrir comme nous l’avons découverte : sans avoir aucune information sur elle, même la plus ténue. Le talentueux Kôji Fukada mérite que rien ne vienne gâcher sa mise en scène méticuleuse de l’inattendu. » TTT très bien\n**Mathilde Blottière, [Télérama](https://www.telerama.fr/cinema/love-life-7026415.php)**\n\n> « #Venezia79 \"Love Life\" (Koji Fukada). Douce poésie du quotidien brisé par un drame absurde et implacable. L'irruption non désirée du passé dans un présent qui tangue. De la noirceur dans le paysage familial. Le tout en demi-teintes. Sans faire de bruit. Comme une lame de fond. »\n**Pascal Gavillet, [Tweet](https://twitter.com/PascalGavillet/status/1566889463560691712/photo/1)**\n\n> « Peinture délicate d’une famille sans repères à la suite de la disparition d’un enfant, _Love Life_ de Kōji Fukada délivre, dans les plis d’un imposant film de deuil, quelques éclats qui touchent sans bruit ni fracas, à la faveur d’un geste ou d’un simple rayon de lumière.\n> Difficile de ne pas songer à _[Drive my Car](https://sister-distribution.ch/movie/drive-my-car)_ lorsque Fukada, comme Hamaguchi, fait par exemple de la langue des signes le centre de gravité de plusieurs séquences importantes : des retrouvailles silencieuses et sous tension qui sont ponctuées, sur la bande-son, par les va-et-vient du métro à l’arrière-plan ; un mari déçu qui exprime ses ressentiments dans le hors-champ, sans que son interlocuteur ne puisse l’entendre ou lire sur ses lèvres, etc.\n> Le silence induit par le mutisme de l’un des personnages principaux – l’ex-mari de Taeko, un vagabond qui, dès son apparition, dynamite le film de l’intérieur – implique en effet d’exprimer les choses autrement, en sublimant par quelques trouvailles de mise en scène (jeux d’ombres et autres reflets) le genre très balisé du _drama_ japonais. Une habitude chez Fukada, qui s’occupe depuis maintenant plus de dix ans à brouiller les lignes dans des films à la beauté sûre et discrète. »\n**Corentin Lê, [Trois Couleurs ](https://www.troiscouleurs.fr/article/love-life--de-koji-fukada-venise)**\n","Taeko wohnt mit ihrem Mann Jiro und ihrem Sohn Keita gegenüber von ihren Schwiegereltern, die deren Ehe nie ganz akzeptiert haben. Als Taeko die Existenz einer ehemaligen Verlobten ihres Mannes entdeckt, taucht Keitas leiblicher Vater plötzlich wieder auf. So beginnt ein aufreibendes Wechselbad der Gefühle, das alle Beteiligten aus der Bahn wirft.\n","> „Ein meisterlich inszeniertes und gespieltes Drama um eine zunächst glückliche Familie, der mit dem Tod des Kindes das Zentrum abhandenkommt. Mit grosser Feinheit changiert der Film zwischen unterschiedlichen emotionalen Tonlagen und nimmt immer wieder unerwartete Wendungen, um auf ebenso kluge wie bewegende Weise die fragile Natur menschlicher (Liebes-)Beziehungen auszuloten.“\n**Filmdienst.de**\n\n> „Die vordergründige, beinahe trügerische Ruhe bildet scheinbar den Grundpfeiler dieses Films, der einen vollkommen in den Bann zieht. Seine Tragik liegt in Details, in geringfügigen Störungen des Alltags, die jedoch alles zerfetzen und verheeren. Großartig und erschütternd.“\n**Pascal Gavillet, Tribune de Genève**\n\n> „Ein emanzipatorisches, feministisches Melodram. Dieser Film überrascht in jedem Moment und reisst einen in die emotionale Spirale von Trauerarbeit mit, die mit einem atemberaubenden Sinn für Inszenierung dargestellt wird. Kino in seiner Reinform und letztendlich Balsam für die Seele.“\n**Vincent Adatte, ArcInfo**\n\n> „Auf den Spuren des grossartigen ‘Drive My Car’ von Ryusuke Hamaguchi kreiert sein Zeitgenosse Koji Fukada etwas gänzlich Neues. Umso besser, denn dieser komplexe und subtile Film über das Unausgesprochene zwischen einem jungen Paar, das mit dem Tod konfrontiert wird, nimmt dabei universelle Züge an.“\n**Norbert Creutz, Bon pour la tête**\n\n> „Der Regisseur schlägt eher verhaltene Töne an (trotz mancher Paukenschläge). Er gehört zusammen mit Ryusuke Hamaguchi, zu den bedeutendsten Stimmen des heutigen japanischen Kinos.“\n**Stéphane Gobbo, Le Temps**\n\n> „Erneut ein origineller, verblüffender, zugleich erbarmungsloser und herzzerreissender Film, der im September 2022 im Wettbewerb auf der Mostra in Venedig vorgestellt wurde.“\n**Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles**\n\n> „‘Love Life‘ gehört zu den Werken, von denen man sich wünscht, dass sie entdeckt werden, wie wir sie entdeckt haben: mit einem gänzlich unvoreingenommenen Blick. Dem talentierten Kôji Fukada gebührt es, dass seine sorgfältige Regie durch nichts beeinträchtigt wird.“\n**Mathilde Blottière, Télérama**\n\n> „Eine sehr spezielle Menage-à-trois, die uns Fukada hier serviert. Wie die Wohnung, in welcher der Film spielt, auf kleinstem Raum so praktikabel wie möglich sein soll, wirkt alles sehr japanisch. Das stille Melodram zeigt unterschiedliche Arten der Trauerbewältigung und belohnt die, welche sich auf die bewusst abrupten Stimmungsschwankungen einlassen.“ ✯✯✯✯\n**Roland Meier, [OutNow](https://outnow.ch/Movies/2022/LoveLife/Review/)**\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZBFzhZnFMLTxniT4Sz3Cwk5TAYkpt5nh1X","https://youtu.be/nU9LlQsz-J8","https://www.ton-cinema.ch/film/raburaifu/","Kôji Fukada — « Du cinéma à l’état pur qui, in fine, répare l’âme. » ArcInfo\n","Kôji Fukada — « Reines Kino, das letztendlich die Seele repariert. » ArcInfo","**[Venezia79 \"Love Life\" (Koji Fukada)](https://www.youtube.com/watch?v=xudvJEnjaNU&ab_channel=FramesCinemaAPS)**\n\nComme une lame de fond.\n[Pascal Gavillet](https://twitter.com/PascalGavillet/status/1566889463560691712/photo/1)\n","- Taeko wohnt mit ihrem Mann Jiro und ihrem Sohn Keita gegenüber von ihren Schwiegereltern, die deren Ehe nie ganz akzeptiert haben. Als Taeko die Existenz einer ehemaligen Verlobten ihres Mannes entdeckt, taucht Keitas leiblicher Vater plötzlich wieder auf.\n- 🇯🇵\n\n- „Ein emanzipatorisches, feministisches Melodram. Dieser Film überrascht in jedem Moment und reisst einen in die emotionale Spirale von Trauerarbeit mit, die mit einem atemberaubenden Sinn für Inszenierung dargestellt wird. 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Lors d’une nuit d’attente, elle aborde un nouveau client, Dije. Le jeune Nigérian est lui aussi piégé dans une Géorgie hostile, sans perspective d’avenir. Entre ces deux êtres, une relation atypique se construit dans l’ombre d’une société suffocante.\n","https://www.youtube.com/watch?v=lOSfA_WwOtw&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Khatia Nozadze, Daniel Antony Onwuka\n\n**Scénario** Elene Naveriani **Image** Agnès Pakozdi **Son** Thomas Reichlin \n**Montage** Gabriel Gonzalez **Production** Britta Rindelaub, Alva Film et Mishkin\n","2018-03-21",1011.786,"https://www.filmingo.ch/fr/films/670-i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth","> « Jamais elle ne s’appuie sur les formes architecturales et les espaces en déformant les proportions pour mieux impressionner l’œil du spectateur, ni n’utilise la fixité du point de vue pour créer des lignes de fuite vertigineuse. La cinéaste ne cherche pas à esthétiser un lieu qui s’y prêterait pourtant totalement, et tente plutôt de retranscrire une forme de pesanteur, de banalité dans le sinistre, accentuée par le climat, la chaleur que l’on sent se déposer comme un poids supplémentaire sur les épaules des protagonistes. Sa caméra ne surplombe pas le monde qu’elle nous décrit, mais cherche à s’approcher au plus près de ces personnages, ce qu’avec tact et délicatesse elle parvient parfaitement à faire. »\n**Florian Guignando - [Critikat](https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/drop-of-sun-i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth/)**\n\n> « C’est dans cet espace de marginalisation voire d’exclusion que prend forme l’histoire d’April et Dije, lesquels vivent à l’ombre d’une violence toujours annoncée et jamais manifestée. Cette présence silencieuse de la violence joue un rôle décisif dans la dramaturgie, en donnant une fragilité et une authenticité exceptionnelle à tous ses personnages. En effet, plus que d’une histoire d’amour, avec April et Dije il s’agit d’abord d’une histoire de rapprochement, d’entre-aide, de reconnaissance, de tendresse. Dans les images nocturnes, la netteté des contours quelquefois se perd, et c’est comme un baume qui adoucit les traits trop durs de la réalité. L’atmosphère presque rêveuse semble fonctionner comme un cadeau que Naveriani fait à ses personnages, et nous livre des moments de rare poésie. »\n**Giuseppe Di Salvatore - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth-elene-naveriani/?fbclid=IwAR0K8jdWrlZOqblxQRs6tuw6CyeVO5-EDBxwIV8t9g48Zs2qMH4soNvpOGY)**\n","Tiflis, Georgien. Die 34-jährige April verlässt das Gefängnis, wo sie nach einer Razzia wegen illegaler Prostitution die Nacht verbringen musste. Da sie keine andere Erwerbsmöglichkeit hat, kehrt sie zurück ins Kellergeschoss eines Luxushotels im Stadtzentrum, um sich zu prostituieren. Dort begegnet sie dem jungen Nigerianer Dije, und er berichtet ihr von seiner abenteuerlichen Reise nach Tiflis. Eigentlich wollte er nach Georgia in den USA, doch nun steckt er in einem Land fest, in dem extreme Armut herrscht und das ihm keinerlei Zukunftsaussichten bietet. Zwischen diesen beiden Menschen am Rande der Gesellschaft entsteht eine einzigartige Liebe, und sie versuchen, gemeinsam zu überleben.\n","**Une place pour l’amour**\n\nComme il dure seulement une heure, on aurait vite fait de croire que _I Am Truly A Drop Of Sun On Earth_ est un film mince, maigre, pour ne pas dire petit. Bon, c’est tout l’inverse : cette heure là raconte assez d’existences pour qu’on ait envie de crier à la lune que c’est un grand film. Du genre farouche, qui plus est : qui ne s’en laisse pas conter. Tout ce qu’elle réussit, la cinéaste Elene Naveriani le fait contre les idées toutes faites, les automatismes, les trucs que l’on pense avant même de les réfléchir. Par exemple, on pourrait vous dire, pour aller vite, que _I Am Truly_…. est un premier film de femme, une fiction, sur la prostitution, en Géorgie. Mais à peine avez-vous dit cela, qui est vrai, que le film vous met en porte-à-faux : est-ce tant que ça une fiction, ce film ? Au générique de fin, on apprend stupéfaits que deux des acteurs du film, une des filles de la boite et surtout le personnage principal, ne sont aujourd’hui plus de ce monde, tous deux morts après le tournage, entre 2015 et 2016. Lui 28 ans, elle a 22. Le film est dédié à leur mémoire. Ce film, cette fiction, a donc bel et bien lieu dans la rue, là où rien jamais ne vous est pardonné. C’est une histoire (d’amour) dans un endroit qui ne connait que la survie.\n\nLes vêtements des personnages, dit encore le même générique, sont ceux des acteurs. Les voilà tel qu’en eux-mêmes, les filles de la rue, les hommes à la rue, ceux qui font les marchés, celles qui font le trottoir, tout ceux qui, la nuit le jour, ont été déplacés là, à Tbilissi, avec pour ordre de ne rentrer au pays qu’après avoir ramené assez, c’est-à-dire un tout petit peu, mais ce petit peu d’argent coute déjà trop cher au corps et à l’âme. Les voilà filmés dans leur apparence, les uns comme les autres, mais plongés dans une fiction. Pourquoi faire ici une fiction ? Pour tenter de renverser l’ordre du monde. Hisser au premier plan ceux qui, d’ordinaire, sont dans cette rue comme deux ombres projetées sur un mur sale.\n\nElle, c’est April. « _Je suis arrivé en mai_ ». Trop tôt, trop tard. Lui, sauf erreur, n’a pas dit son prénom – personne ne le lui demande jamais. Il est venu du Nigéria. La promesse d’une vie meilleure. Lui comme ses compatriotes, avec qui il partage, entassés, la même chambre minuscule, louée au même marchand de sommeil. Elle le croise sur le parking d’une boite en dessous du Radisson. C’est là qu’ils vont, et forcément c’est là qu’elles les attendent. Business is business. C’est là qu’elle lui demande de la suivre et c’est là qu’il l’accompagne. C’est là qu’a lieu le début d’une histoire qui n’a pas lieu d’être. Ce n’était pas sorcier de voir que cette histoire allait poser un problème de place. Pas de place pour l’amour, dans leur vie.\nCar _I Am Truly A Drop Of Sun On Earth_ est un film qui ressasse une idée, fixe : les territoires, les espaces, décident à notre place. Ils nous dominent.\n\nÀ cet endroit, vous commencez à comprendre que non, vous ne tenez pas seulement Un-film-sur-la-prostitution-signé-par-une-femme. En tous cas, pas seulement. Jamais, Elene Naveriani ne se dit « tiens, avec le regard qui est le mien, je ne peux pas me tromper, je suis forcément du bon coté de la victime». Son film ne cherche pas une morale, il ne cherche pas à dénoncer ceci ou à caricaturer cela, à se trouver des coupables, il a plus urgent à faire : il préfère inventer une place, sonder des géographies, dessiner des zones, dire des terrains de jeu, filmer des prisons à ciel ouvert, des boites où on ne rentre pas, des chambres où on ne dort pas, des escaliers que personne n’emprunte sauf pour une passe. A chaque lieu, c’est la même histoire, la même chose qui manque cruellement : il n’y a pas sa place pour l’intimité.\nPourtant, elle viendra réclamer sa part, l’intimité. D’abord sous la forme de chansons, _« La vie passe et m’abandonne / Je ne veux pas, je ne veux pas / Que la lune m’abandonne aussi / Viens lune, traverser les rues et les nuits._ » Quelque chose peut encore être tenté, on peut croire que marcher dans la rue ensemble pour la première fois, ça a un sens. Mais quand plus tard, une autre chanson dans la nuit blême criera « _Je ne suis pas ta guerre / Ne me combats pas / Je suis toujours seule avec toi._ », on commence à se dire que plus personne ne sait que faire de cette intimité.\n\nLa rue, la prostitution, la survie, le travail ont inventé un monde où les corps et les mots sont interchangeables. Alors, pour dire ce monde, Elene Naveriani invente quelque chose comme un lyrisme sec. Qu’est-ce que c’est ? C’est un état étrange, une façon de nous dire l’amour qui est au bord des larmes tout le temps, mais qui garde son calme tout le temps, et qui est pourtant prête à exploser tout le temps. BOOM !\n\n**Philippe Azoury**\n\n","**Mit** Khatia Nozadze, Daniel Antony Onwuka\n\n**Drehbuch** Elene Naveriani **Kamera** Agnès Pakozdi **Ton** Thomas Reichlin \n**Schnitt** Gabriel Gonzalez **Produktion** Britta Rindelaub, Alva Film und Mishkin\n","https://www.ton-cinema.ch/film/memzisskivivardedamicaze/","Elene Naveriani — « Cette heure là raconte assez d’existences pour qu’on ait envie de crier à la lune que c’est un grand film. » Philippe Azoury\n","Elene Naveriani — « Diese Stunde erzählt genug von Existenzen, dass man dem Mond zurufen möchte, dass es sich um einen großen Film handelt. » Philippe Azoury","Comme il dure seulement une heure, on aurait vite fait de croire que _I Am Truly A Drop Of Sun On Earth_ est un film mince, maigre, pour ne pas dire petit. Bon, c’est tout l’inverse : cette heure là raconte assez d’existences pour qu’on ait envie de crier à la lune que c’est un grand film. Du genre farouche, qui plus est : qui ne s’en laisse pas conter. Tout ce qu’elle réussit, la cinéaste Elene Naveriani le fait contre les idées toutes faites, les automatismes, les trucs que l’on pense avant même de les réfléchir. Par exemple, on pourrait vous dire, pour aller vite, que _I Am Truly_…. est un premier film de femme, une fiction, sur la prostitution, en Géorgie. Mais à peine avez-vous dit cela, qui est vrai, que le film vous met en porte-à-faux : est-ce tant que ça une fiction, ce film ? Au générique de fin, on apprend stupéfaits que deux des acteurs du film, une des filles de la boite et surtout le personnage principal, ne sont aujourd’hui plus de ce monde, tous deux morts après le tournage, entre 2015 et 2016. Lui 28 ans, elle a 22. Le film est dédié à leur mémoire. Ce film, cette fiction, a donc bel et bien lieu dans la rue, là où rien jamais ne vous est pardonné. C’est une histoire (d’amour) dans un endroit qui ne connait que la survie.\n\n","Eine ungewöhnliche Liebesgeschichte am Rande der Gesellschaft – _Cinefile_","i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth","https://sister-distribution.ch/movie/i-am-truly-a-drop-of-sun-on-earth?preview=true",[454],[458],[28,35],[543,32,544,1388,1717,152,962,347],[546,624,20,290,1303,158,964,16],[1971,1972,1973,1974],336,337,345,346,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/drop-of-sun_vignettes_sp2vf.jpg",{"Id":891,"Title":1977,"Description FR":1978,"Actus":54,"Trailer FR":1979,"Director":1980,"Year":1005,"Credits FR":1981,"Duration":220,"Release FR":1982,"Release DE":54,"SUISA":1983,"VOD":1984,"Media FR":1985,"Catalogue":10,"Description DE":1986,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":1987,"Bonus Type":54,"Pro":1988,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":1989,"Quote FR":1990,"Quote DE":1991,"Teaser FR":1992,"Teaser DE":1986,"DCP":1993,"Events":1317,"Slug":1994,"mId":891,"preview url fr":1995,"Country FR":1996,"Country DE":1997,"FCollections":1998,"FTags":1999,"TagIds":2000,"FEvents":2001,"img":2002},"LES AMANDIERS","Fin des années 80, Stella, Etienne, Adèle et toute la troupe ont vingt ans. Ils passent le concours d’entrée de la célèbre école créée par Patrice Chéreau et Pierre Romans au théâtre des Amandiers de Nanterre. Lancés à pleine vitesse dans la vie, la passion, le jeu, l’amour, ensemble ils vont vivre le tournant de leur vie mais aussi leurs premières grandes tragédies.\n","https://youtu.be/8pSENyOF_lQ?t=3","Valeria Bruni Tedeschi","**Avec** Nadia Tereszkiewicz, Sofiane Bennacer, Louis Garrel, Micha Lescot, Clara Bretheau, Noham Edje, Vassili Schneider, Eva Danino, Liv Henneguier, Baptiste Carrion-Weiss, Léna Garrel, Sarah Henochsberg, Oscar Lesage et Alexia Chardard\n\n**Scénario et dialogues** Valéria Bruni Tedeschi, Noémie Lvovsky et Agnès De Sacy **Image** Julien Poupard **Son** François Waledisch **Montage** Anne Weil **Production** Bibi Films TV et Arte France Cinema\n","2022-11-23",1017.133,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1536-les-amandiers","> « Toutes les premières émotions de la vie d’adulte (amour fou, deuil violent, première étape de l’accomplissement professionnel, prémices de la gloire, etc.) sont exprimées sur un mode paroxystique, déchaîné, aussi sensuel et puissant qu’un spectacle de Chéreau. Le film est un jet, une lance, une flamme. Il jaillit et renverse. Et sa beauté ravageuse tient aussi à la façon dont il catalyse l’éclat juvénile de sa troupe de jeunes comédien·nes. D’ores et déjà pour nous un des sommets du festival. »\n**Jean-Marc Lalanne, [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/cannes-2022-les-amandiers-de-valeria-bruni-tedeschi-enfin-le-feu-471268-23-05-2022/) (Cannes)**\n\n> « Chez son alter ego, incarné par Nadia Tereszkiewicz, elle traque l’audace et la naïveté qui mènent à confondre, quelque peu, vie et jeu, puis l’apprentissage de la douleur et de la mélancolie qui amènent à se protéger plus. Cela vaut pour tous les autres, si beaux et si vibrants qu’on les aime tous. Ce film paraît comme touché par la grâce. »\n> **Norbert Creutz, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/amandiers-chronique-dune-folle-jeunesse)**\n\n> « Ça déborde, ça parle trop fort, ils sont insupportables. Et puis d’un coup, sur un parvis moche, devant la feuille des résultats, nous prend l’envie folle _d’en être_ nous aussi, de voir notre nom, même gribouillé, rajouté à cette liste, et de vivre cette aventure-là, éphémère et inoubliable, avec eux. \n> Pour son cinquième film, Valeria Bruni-Tedeschi convoque ses souvenirs de jeunesse au théâtre de Nanterre, dans les eighties, une époque bénie qu’elle célèbre avec lucidité, et nous livre, l’air de rien, un chef d'œuvre.»\n**Lily Bloom, [Trois Couleurs](https://www.troiscouleurs.fr/article/les-amandiers-valeria-bruni-tedeschi-cannes)**\n\n> « Boulversé »\n**Rafael Wolf, [RTS, Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/debat-cinema-par-rafael-wolf-et-thomas-lecuyer-25878718.html)**\n","Ende der 1980er-Jahre. Stella, Etienne, Adèle und die anderen der Truppe, die in die berühmte Schaspielschule von Patrice Chéreau und Pierre Romans im Théâtre des Amandiers in Nanterre eintreten, sind 20 Jahre alt. Voller Leidenschaft stürzen sie sich ins Leben, in die Liebe und ins Spiel. Gemeinsam erleben sie erste Höhenflüge, erleiden aber auch schmerzvolle Enttäuschungen.\n","**Mit** Nadia Tereszkiewicz, Sofiane Bennacer, Louis Garrel, Micha Lescot, Clara Bretheau, Noham Edje, Vassili Schneider, Eva Danino, Liv Henneguier, Baptiste Carrion-Weiss, Léna Garrel, Sarah Henochsberg, Oscar Lesage und Alexia Chardard\n\n**Drebuch und dialoge** Valéria Bruni Tedeschi, Noémie Lvovsky und Agnès De Sacy **Kamera** Julien Poupard **Ton** François Waledisch **Schnitt** Anne Weil **Produktion** Bibi Films TV et Arte France Cinema\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZXsI4Z5rBKcpaTMxmxx4iCTuiiAktMXlAV","https://www.ton-cinema.ch/film/amandiers/","Valeria Bruni Tedeschi — « Sa beauté ravageuse tient aussi à la façon dont il catalyse l’éclat juvénile de sa troupe de jeunes comédien·nes. » Les Inrocks\n","Valeria Bruni Tedeschi — « Seine verheerende Schönheit liegt auch darin begründet, wie er die jugendliche Ausstrahlung seiner Gruppe von jungen Schauspielern katalysiert. » Les Inrocks","« Toutes les premières émotions de la vie d’adulte (amour fou, deuil violent, première étape de l’accomplissement professionnel, prémices de la gloire, etc.) sont exprimées sur un mode paroxystique, déchaîné, aussi sensuel et puissant qu’un spectacle de Chéreau. Le film est un jet, une lance, une flamme. Il jaillit et renverse. Et sa beauté ravageuse tient aussi à la façon dont il catalyse l’éclat juvénile de sa troupe de jeunes comédien·nes. D’ores et déjà pour nous un des sommets du festival. »\nJean-Marc Lalanne, [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/cannes-2022-les-amandiers-de-valeria-bruni-tedeschi-enfin-le-feu-471268-23-05-2022/) (Cannes)\n\n","https://filmservice.net/films/4384","les-amandiers","https://sister-distribution.ch/movie/les-amandiers?preview=true",[87],[90],[28],[1237,94,87,347,405],[1239,12,31,16,408],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Les Amandiers_vignette_5wD9i.jpg",{"Id":624,"Title":2004,"Description FR":2005,"Actus":54,"Trailer FR":2006,"Director":2007,"Year":611,"Credits FR":2008,"Duration":896,"Release FR":2009,"Release DE":54,"SUISA":2010,"VOD":54,"Media FR":2011,"Catalogue":10,"Description DE":2012,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":2013,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":2014,"Teaser DE":2015,"DCP":54,"Events":31,"Slug":2016,"mId":624,"preview url fr":2017,"Country FR":2018,"Country DE":2019,"FCollections":2020,"FTags":2021,"TagIds":2022,"FEvents":2023,"img":2027},"MOMENTUM","C’est les vacances d’été, mais Emma, 16 ans, préfère ruminer dans son lit. Les excursions avec sa meilleure amie sont certes divertissantes, mais un événement familial tragique survenu l’année d’avant continue de la tourmenter. Et puis, le mystérieux Tom réapparaît.\n","https://youtu.be/Sfq8NXD0oRA","Edwin Charmillot","avec Sarah Bramms, Stéphane Monpetit, Robert Szuplewski, Louna Drouin\n","2023-10-04",1015.96,"> « Le film est une lettre d’amour à la région »\n**[Paysages jurassiens et amours adolescentes, RFJ](https://www.rfj.ch/rfj/Actualite/Region/20230902-Momentum-paysages-jurassiens-et-amours-adolescentes.html#)**\n\n> « Une chronique du lâcher-prise frémissante de sensibilité réalisée par le jurassien Edwin Charmillot. »\n**Le Quotidien Jurassien**\n\n> « D’une certaine façon, Edwin Charmillot s’avère très malickien : la colère sourde toujours davantage lorsqu’elle est contenue par le silence. Lorsque l’implosion se fait écran à l’explosion.»\n**Kevin Pereira, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/film/2021/Momentum/critique.html)**\n","Es sind Sommerferien, doch die 16-jährige Emma liegt nachdenklich in ihrem Bett. Die Ausflüge mit ihrer besten Freundin sind zwar eine Ablenkung, doch ein tragisches Familienereignis vor einem Jahr beschäftigt sie noch heute. Und dann taucht der rätselhafte Tom wieder auf. \n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZ5Ju2ZDfx4DfiNd1FKUdRq4ELg2bYP3BmX","« À travers des images chargées d’atmosphère et d’esthétisme, le réalisateur Edwin Charmillot nous raconte une histoire chaleureuse et mélancolique sur le passage à l’âge adulte, entre deuil et sentiments naissants.» [ZFF](https://zff.com/fr/films/momentum)\n","\" Mit stimmungsvollen und ästhetischen Bildern inszeniert der Regisseur Edwin Charmillot eine warme, melancholische Coming-of-Age-Geschichte über den Umgang mit Verlust und aufkeimende Gefühle. \" [ZFF](https://zff.com/de/filme/momentum)\n","momentum","https://sister-distribution.ch/movie/momentum?preview=true",[454],[458],[],[543,544],[546,20],[2024,2025,2026],74,73,75,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/MOMENTUM_VIGNETTE_HEvmq.jpg",{"Id":408,"Title":2029,"Description FR":2030,"Actus":54,"Trailer FR":2031,"Director":2032,"Year":1005,"Credits FR":2033,"Duration":926,"Release FR":2034,"Release DE":2035,"SUISA":2036,"VOD":2037,"Media FR":2038,"Catalogue":10,"Description DE":2039,"Media DE":2040,"Bonus FR":2041,"Bonus URL":54,"Credits DE":2042,"Bonus Type":54,"Pro":2043,"Trailer DE":2031,"Ton Cinéma":2044,"Quote FR":2045,"Quote DE":2046,"Teaser FR":2047,"Teaser DE":2048,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":2049,"mId":408,"preview url fr":2050,"Country FR":2051,"Country DE":2052,"FCollections":2053,"FTags":2054,"TagIds":2055,"FEvents":2056,"img":2057},"FOGO-FÁTUO","Sur son lit de mort, son altesse royale Alfredo, roi sans couronne, est ramenée à de lointains souvenirs de jeunesse et au temps où il rêvait de devenir pompier. La rencontre avec l'instructeur Afonso, du corps des pompiers, ouvre un nouveau chapitre dans la vie des deux jeunes hommes voués à l'amour et au désir, et à la volonté de changer le statu quo.\n","https://www.youtube.com/watch?v=fH-5Rjq89OE&ab_channel=SisterDistribution","João Pedro Rodrigues","**Avec** Mauro Costa, André Cabral, Joel Branco, Oceano Cruz, Margarida Vila-Nova, Miguel Loureiro, Dinis Vila-Nova, Luísa Castelo Branco, Teresa Madruga, \nVasco Redondo\n\n**Scénario** João Pedro Rodrigues, João Rui Guerra da Mata et Paulo Lopes Graça **Image** Rui Poças aip **Son** Nuno Carvalho **Montage** Mariana Gaivão \n**Production** House On Fire, Terratreme et Filmes Fantasma\n","2022-09-14","2023-04-20",1017.131,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1521-fogo-fatuo-feu-follet","> « Une heure et sept minutes de rires incrédules - joyeux, nerveux, irrépressibles. »\n**Luc Chessel - [Libération](https://www.liberation.fr/culture/cinema/festival-de-cannes-feu-follet-lart-de-bien-pompier-20220525_CFDOSIESMBEEZGMUWM4FFEFPXQ/)**\n\n> « Manifeste libre et queer, une utopie de cinéma et de vie. »\n**Olivier Joyard - [Numéro](https://www.numero.com/fr/cinema/cannes-2022-joao-pedro-rodrigues-albert-serra-pacifiction-feu-follet)**\n\n> « Et puis soudain tombe un film, comme tombent les ovnis quand ils sont attirés vers la Terre irrésistiblement, qui ne ressemble à rien de connu, arrive à dire des choses essentielles, vitales, tout cela en commençant par ressembler à du grand cinéma classique d’auteur (on pense à Oliveira), puis à un Pasolini en extase devant un tableau de Mantegna, puis à un clip de Pierre Bachelet (lol) et, surprise, à un porno straubien. »\n**Philippe Azoury - [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/avec-son-feu-follet-brulant-de-desir-joao-pedro-rodrigues-rallume-la-meche-du-cinema-portugais-489577-12-09-2022/)**\n\n\n","Wir schreiben das Jahr 2069. Auf dem Sterbebett erinnert sich der ehrwürdige Regent Alfredo, König ohne Krone, an seine ausschweifende Jugend als Feuerwehr-Azubi. Die Begegnung mit seinem Ausbilder Afonso entzündete damals eine leidenschaftliche Liebe – und den gemeinsamen Willen, den Status quo zu verändern.\n\nEin perfekt choreografierter Liebestanz, sexy Feuerwehrmänner in Jockstraps und ein Baum-Penis-Memory gegen den Flächenbrand: Der neue Film des portugiesischen Kultregisseurs João Pedro Rodrigues („O Fantasma“, „To Die Like a Man“, „Der Ornithologe“) ist eine wunderbar wilde Mischung aus Musical, Folklore, Fantasy, Postcolonial Study und queerer Erweckungsgeschichte im Zeichen des Umweltschutzes – also ganz großes Kino! Seit seiner Weltpremiere in Cannes (Quinzaine) wird Rodrigues’ meisterhafte filmische Fantasie weltweit auf Festivals gefeier ...\n","> « _Fogo-Fátuo_ ist die Geschichte Alfredos, einem Prinzen mit revolutionären Wünschen, der während seiner Ausbildung zum Feuerwehrmann den Weg des Ausbilders Alfonso kreuzt und andere Verlangen entdeckt (…). Es ist die Erzählung einer Ausbildung (oder eher Entmündigung), in deren Verlauf Alfredos Wunsch, aus seiner Kaste auszubrechen, von anderen Körpern auf die Probe gestellt wird. »\n**Emilien Gür, [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/fogo-fatuo/)**\n\n> « Der Film setzt ein Zeichen gegen Rassismus, Homophobie, Intoleranz, Hass und Diskriminierung. Des Weiteren thematisiert er immer wieder die kolonialgeschichtliche Vergangenheit Portugals, den Klimawandel sowie die globalen Naturkatastrophen, die unseren Planeten vor schier unlösbare Probleme stellen. Für all diese Botschaften und Anliegen findet der 55-jährige Regisseur ein unkonventionelles, erfrischendes Konzept, das Elemente des Musicals ebenso beinhaltet wie Versatzstücke der Folklore-Komödie, des Dramas und des queeren Liebesfilms. »\n**Björn Schneider, spielfilm.de**\n\n> « Der Film ist voll von unterhaltsamen Gesangs- und Tanzeinlagen: Höhepunkte darunter, eine in der Feuerwehrstation aufgeführte Choreografie, die sich sowohl an Howard Hawks’ _Gentlemen Prefer Blondes _(1953) wie auch an Jean-Luc Godards _Armide_ (1987) anlehnt; sowie ein Cameo des gefeierten Fado-Performers Paulo Bragança. Mit spielerischer Lust mischt _Fogo-Fátuo _musikalische Elemente mit solchen der Präsentation und beschwört so eine wahre Utopie von erotischen Leidenschaften und anarchistischen Impulsen. »\n**International Film Festival Rotterdam**\n\n\n> « Eingebettet in ein Science-Fiction-Narrativ, inszeniert Regisseur João Pedro Rodrigues Coming of Age und Romantic Comedy als absurd-komisches Musical. Selbstironisch, aber sich niemals der Lächerlichkeit preisgebend, entfesselt _Fogo-Fátuo_ mal provokativ-pornographisch, mal lakonisch-elegant einen schwulen Mittsommernachtstraum, der unausweichlich an der Realität zerbrechen muss. Klimawandel, eine reaktionäre Gesellschaft, Kolonialgeschichte: Unvermeidlich wachen die beiden traum- und lustwandelnden Protagonisten – und jugendlichen Hedonisten – hin und wieder in der nüchternen Wirklichkeit auf. » \n**Transit Filmfest 2022**\n","_Fogo-fátuo est un film de genre hybride, avec une nouveauté : l’esprit de comédie._\n Je voulais absolument réaliser une comédie. J’avais déjà un peu approché ce genre avec _Mourir comme un homme_. La comédie est le genre le plus difficile à réussir et qui m’attire beaucoup. _Fogo-fátuo_ est une comédie, et plus encore, puisque c’est une comédie musicale, mais la définition qui convient le mieux à mon film c’est : fantaisie, parce que c’est comme une rêverie. Ce film évoque des choses très concrètes et en même temps il commence en pleine science-fiction- anticipation, puisque nous sommes en 2069. En cela mon approche de la comédie possède un côté décalé.\n\n_Pourquoi ?_ \nCela me permet de poser la question de comment les gens se voient eux-mêmes, et comment les gens croient que les autres les voient en réalité. L’idée de fantaisie me permettait de poser ces interrogations fondamentales autour de la quête d’identité, propre à chacun d’entre nous, de façon apparemment légère. \n\n_Parlez-nous du choix des chansons et des chorégraphies du film ?_ \nLa première chanson est une comptine des années 80. C’est une chanson pour les enfants chantée par un artiste qui jouait à la fois la comédie à la télé, et se produisait dans la revue théâtrale et musicale très populaire au Portugal. J’ai choisi cette chanson pour son côté écologiste naïf , car on y parle de la nature et des arbres pour les enfants. Je trouvais intéressant de chanter notre rapport au monde, à ce que l’on en fait actuellement, à ce qu’il devient. Et je voulais le faire avec un esprit là encore décalé. Par ailleurs c’est une chanson qui reste en tête, elle fonctionne très bien pour les enfants. \n\n_Et les autres moments musicaux plus adultes ?_ \nIl y a le choix évident de la chanson intitulée _Noir sur blanc_. Le film parle d’un amour entre deux jeunes hommes qui n’auraient jamais dû a priori se croiser, et aussi d’un certain idéal qui nous ferait imaginer un futur possible, au Portugal, avec l’élection, par exemple, d’un président noir et musulman. Noir sur blanc, dans le film, c’est un jeune homme blanc et un jeune homme noir qui s’aiment. Cette chanson me permettait de montrer l’amour de façon inattendue et avec de l’humour aussi. Je souhaite que les gens aient une expérience de joie et de plaisir dans ce film à travers les chansons utilisées de façon surprenante. \n","_Avec_ Mauro Costa, André Cabral, Joel Branco, Oceano Cruz, Margarida Vila-Nova, Miguel Loureiro, Dinis Vila-Nova, Luísa Castelo Branco, Teresa Madruga, \nVasco Redondo\n\n_Scénario_ João Pedro Rodrigues, João Rui Guerra da Mata et Paulo Lopes Graça _Image_ Rui Poças aip _Son_ Nuno Carvalho _Montage_ Mariana Gaivão \n_Production_ House On Fire, Terratreme et Filmes Fantasma\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZIQ54ZhDDH5XKrxbV6QgoVpE56a0Xo1cE7","https://www.ton-cinema.ch/film/fogofatuo/","João Pedro Rodrigues — « Un manifeste libre et queer, utopie de cinéma et de vie. » Numéro\n","João Pedro Rodrigues — « Ein freies und queeres Manifest, eine Utopie des Kinos und des Lebens. » Numéro","Après _O Fantasma_, _Mourir comme un homme_ ou _L’Ornithologue_, découvrez la nouvelle pépite du cinéaste portugais João Pedro Rodrigues.\n","Ein perfekt choreografierter Liebestanz, sexy Feuerwehrmänner in Jockstraps und ein Baum-Penis-Memory gegen den Flächenbrand: Der neue Film des portugiesischen Kultregisseurs João Pedro Rodrigues („O Fantasma“, „To Die Like a Man“, „Der Ornithologe“) ist eine wunderbar wilde Mischung aus Musical, Folklore, Fantasy, Postcolonial Study und queerer Erweckungsgeschichte im Zeichen des Umweltschutzes – also ganz großes Kino! Seit seiner Weltpremiere in Cannes (Quinzaine) wird Rodrigues’ meisterhafte filmische Fantasie weltweit auf Festivals gefeier ...\n","fogo-f-tuo","https://sister-distribution.ch/movie/fogo-f-tuo?preview=true",[237],[237],[],[94,921,1033,152,1718],[12,923,38,158,1143],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/FOGO FATUO-vignette_S_1S_.jpg",{"Id":2059,"Title":2060,"Description FR":2061,"Actus":54,"Trailer FR":2062,"Director":2063,"Year":126,"Credits FR":2064,"Duration":525,"Release FR":2065,"Release DE":54,"SUISA":2066,"VOD":2067,"Media FR":2068,"Catalogue":10,"Description DE":2069,"Media DE":41,"Bonus FR":2070,"Bonus URL":54,"Credits DE":2071,"Bonus Type":77,"Pro":2072,"Trailer DE":2073,"Ton Cinéma":2074,"Quote FR":2075,"Quote DE":2076,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2077,"mId":2059,"preview url fr":2078,"Country FR":2079,"Country DE":2080,"FCollections":2081,"FTags":2082,"TagIds":2083,"FEvents":2084,"img":2085},46,"L'APOLLON DE GAZA","En 2013, une statue d’Apollon datant de l’Antiquité est trouvée au large de Gaza avant de disparaître dans d’étranges conditions. Œuvre de faussaires ou bénédiction des dieux pour un peuple palestinien en mal d’espoir ? Bientôt, la rumeur s’emballe alors qu’en coulisse différents acteurs locaux et internationaux s’agitent, mus par un souci de préservation ou par une logique purement mercantile. Tourné à Gaza et à Jérusalem, _L’Apollon de Gaza_ se déploie comme un film-enquête axé sur ce trésor national qui fait rêver.\nPassionnante réflexion sur le temps et la fragilité des civilisations, mais aussi méditation poétique et philosophique, le film nous immerge dans la réalité méconnue d’un territoire qui paie encore le prix du conflit israélo-palestinien, mais où la vie, insoumise, subsiste envers et contre tout. Apportant un peu de lumière et de beauté dans le ciel de Gaza, la statue pourrait redonner une part de dignité à tout un peuple, tout en réveillant par son histoire exaltante une fierté nationale trop souvent bafouée.\n","https://www.youtube.com/watch?v=HCnqycCmwhY&ab_channel=SisterDistribution","Nicolas Wadimoff","**En collaboration avec** Béatrice Guelpa\n\n**Narration** Bruno Todeschini **Image** Franck Rabel **Son** Carlos Ibanez Diaz **Montage** Christine Hoffet **Production** ONF et AKKA FILMS\n","2019-03-27",1013.133,"https://www.filmingo.ch/fr/films/672-l-apollon-de-gaza","> « Il y a dans cette histoire rocambolesque tout le romanesque du film de genre, façon _Les aventuriers de l’Arche Perdue_, qui lui confère une dimension cinématographique hors-norme pour un documentaire. L’enquête en résultant est passionnante, haletante, tendue, et Wadimoff sait tout l’art d’en agencer les péripéties. Plus essentiel encore, elle recèle aussi une parabole formidable d’acuité sur la question israélo-palestinienne et fait un sort à l’opinion commune que Gaza n’a pas d’histoire, sinon celle de son empêchement. »\n**Vincent Adatte et Raphaël Chevalley - [Le Nouvelliste](https://www.lenouvelliste.ch/valais/cinema-les-sorties-de-la-semaine-a-ne-pas-rater-827849)**\n\n> « À travers _L'Apollon de Gaza_, c'est aussi le présent de Gaza qui s'offre au spectateur, grâce aux images saisies sur le vif, de la ville, de son délassement, de ses habitants… D'autres plans, plus travaillés, dévoile la beauté du lieu, de la mer, de ses voiliers ou des monuments historiques. La statue ne sera jamais filmée directement, mais seulement par la médiation de photographies numériques, de discours à son propos ou par une voix fantasmée du Dieu de la beauté. Créant un discours mythologique, où le vrai se distingue difficilement du faux, Nicolas Wadimoff semble dès lors saisir cet événement comme l'occasion d’inventer une nouvelle histoire. »\n**Sabrina Schwob et Jean Perret - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/lapollon-de-gaza/?fbclid=IwAR1_rymmsyGD49U6t4agaiwwcm6X3rgTbgGPUt8RF6PeMZax522KyqtipzI)**\n","Im Jahr 2013 wird vor der Küste Gazas eine Apollon-Statue aus der Antike gefunden, bevor sie unter seltsamen Umständen verschwindet. Handelt es sich um das Werk eines Fälschers oder um den Segen der Götter für ein palästinensisches Volk, das sich nach Hoffnung sehnt? Die Gerüchteküche brodelt, während hinter den Kulissen verschiedene lokale und internationale Akteure agieren, die sich um den Erhalt der Funde bemühen oder rein kommerziellen Interessen folgen. Der in Gaza und Jerusalem gedrehte Film L'Apollon de Gaza entfaltet sich wie eine filmische Untersuchung, die sich auf diesen Nationalschatz konzentriert, der zum Träumen anregt.\n\nDer Film ist eine spannende Reflexion über die Zeit und die Zerbrechlichkeit von Zivilisationen, aber auch eine poetische und philosophische Meditation. Er lässt uns in die unbekannte Realität eines Gebiets eintauchen, das noch immer den Preis für den israelisch-palästinensischen Konflikt zahlt, in dem aber das Leben trotz aller Widerstände fortbesteht. Die Statue, die ein wenig Licht und Schönheit in den Himmel über Gaza bringt, könnte einem ganzen Volk ein Stück Würde zurückgeben und gleichzeitig mit ihrer aufregenden Geschichte den allzu oft mit Füßen getretenen Nationalstolz wecken.\n","**Portrait de Nicolas Wadimoff, par Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/nicolas-wadimoff-doute-cheville-corps?utm_source=facebook&utm_medium=share&utm_campaign=article&fbclid=IwAR1KQHxhvqFxL5zEvxVFQtQLYOQI_Ky87c84vwRZRYNELFnKPtJNgNiLL8A) :**\n\n« Je m'engage pour mes sujets, pour les histoires que je raconte, pour les gens que je filme. »\n","**in Zusammenarbeit mit** Béatrice Guelpa\n\n**Erzählung** Bruno Todeschini **Kamera** Franck Rabel **Ton** Carlos Ibanez Diaz **Schnitt** Christine Hoffet **Produktion** ONF und AKKA FILMS\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZo7JzZlp0gILQXU5ufgzgUFsMRVSQRyBbX","https://www.youtube.com/watch?v=nVeK9i6WQ_k&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/apollondegaza/","Nicolas Wadimoff — « Un film qui interroge magnifiquement la fonction du mythe. » Les Fiches du Cinéma\n","Nicolas Wadimoff — « Ein Film, der auf wunderbare Weise die Funktion des Mythos hinterfragt. » Les Fiches du Cinéma","l-apollon-de-gaza","https://sister-distribution.ch/movie/l-apollon-de-gaza?preview=true",[454,1471],[458,1473],[],[242,544,1272,95,96],[83,20,449,98,27],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/APOLLON_GAZA_vignettes_e1d1N.jpg",{"Id":157,"Title":2087,"Description FR":2088,"Actus":54,"Trailer FR":2089,"Director":2090,"Year":1094,"Credits FR":2091,"Duration":592,"Release FR":2092,"Release DE":2093,"SUISA":2094,"VOD":2095,"Media FR":2096,"Catalogue":10,"Description DE":2097,"Media DE":54,"Bonus FR":2098,"Bonus URL":54,"Credits DE":2099,"Bonus Type":77,"Pro":2100,"Trailer DE":2101,"Ton Cinéma":2102,"Quote FR":2103,"Quote DE":2104,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":2105,"mId":157,"preview url fr":2106,"Country FR":2107,"Country DE":2109,"FCollections":2111,"FTags":2112,"TagIds":2113,"FEvents":2114,"img":2115},"INSOUMISES","Janvier 1819. Enrique Faber, médecin-chirurgien suisse né à Lausanne, débarque à Cuba à la recherche de son fils. Après quelques semaines, il découvre que celui-ci a été brûlé vif durant l'attaque d’une plantation par des esclaves en révolte. S'installant non loin de là, à Baracoa, il reprend peu à peu le dessus en ouvrant un cabinet où il soigne riches et pauvres, noirs, blancs et esclaves. Son succès comme médecin, son engagement contre l’esclavage et son mariage avec Juana, une belle et jeune campagnarde dont la réputation a été salie, font bientôt naître les pires jalousies. Des rumeurs malveillantes courent aussitôt sur sa voix haut perchée et son aspect fragile. Une nuit, des hommes envoyés par le puissant trafiquant d’esclaves Benitez lui tombent dessus et le déshabillent. Ils découvrent qu’Enrique est une femme. Enrique(ta) Faber est jeté(e) en prison. 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Le film _Insoumises_ lui rend hommage sous les traits de Sylvie Testud. Méconnaissable, l’actrice française incarne à la perfection ce personnage flamboyant dont l’éthique ne fléchit devant aucun obstacle. »\n**Sylvia Revello - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/insoumises-lepopee-dune-oubliee-lhistoire)**\n","1819\\. Enrique Faber, ein junger Schweizer Arzt, kommt nach Kuba, um seine Tante zu finden, die er aus den Augen verloren hat. Während er die Untersuchung durchführt, eröffnet er eine ärztliche Beratung und behandelt Schwarze und Sklaven. Sein Erfolg als Arzt, seine Heirat mit einem schönen und jungen Paria aus der Umgebung wecken die grösste Eifersucht. Eines Nachts überfallen ihn drei Männer und entdecken, dass Enrique eine Frau ist. Enriqueta wird ins Gefängnis geworfen. Basierend auf einer wahren Geschichte.\n","**Extrait de l'entretien de Sylvie Testut avec Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/sylvie-testud-henriette-transgresse-toutes-regles?fbclid=IwAR0RHvY5IEyRuzfGPACdCjHh7PY8SRq-NvNVIv66Cbyl9O3e3oB9RqoptFw)** :\n\n_« On peut imaginer que lorsque vous avez reçu le scénario d’Insoumises, vous n’aviez jamais entendu parler d’Henriette Faber et de son double Enrique Faber…_\n\nEn effet, je ne la connaissais absolument pas. Après avoir lu le scénario, je me suis d’ailleurs demandé s’il s’agissait d’une histoire vraie ou si c’était romancé. Et en fait, le film est même en dessous de la réalité, car on ne peut tout mettre dans un film. C’est une femme qui a vécu des choses incroyables, qui a été d’une volonté dingue dans son humanité, dans ses idéaux. »\n","**Mit** Sylvie Testud, Yeni Soria, Antonio Buil, Hector Noas, Mario Guerra\n\n**Drehbuch** Laura Cazador und Fernando Perez Valdes **Kamera** Raúl Pérez Ureta **Ton** Denis Séchaud und Sheyla Pool **Schnitt** Rodolfo Barros \n**Komponist** Philippe Héritier **Produktion** Bohemian Films, ICAIC, RTS\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ2kJzZLXDqfQNuBeJoqep228gfByWw1YIk","https://www.youtube.com/watch?v=WCvVwmzz5JY&t=1s&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/insumisas/","Laura Cazador & Fernando Perez Valdes — « L'épopée d’une oubliée de l’histoire. » Le Temps\n","Laura Cazador & Fernando Perez Valdes — « Das Epos einer von der Geschichte Vergessenen. » Le Temps","insoumises","https://sister-distribution.ch/movie/insoumises?preview=true",[2108,454],"Cuba",[2110,458],"Kuba",[],[462,544,996,347,348],[340,20,713,16,350],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/insoumises_affiches_pyHrU.jpg",{"Id":2117,"Title":2118,"Description FR":2119,"Actus":54,"Trailer FR":2120,"Director":2121,"Year":126,"Credits FR":2122,"Duration":299,"Release FR":2123,"Release DE":2124,"SUISA":2125,"VOD":2126,"Media FR":2127,"Catalogue":10,"Description DE":2128,"Media DE":54,"Bonus FR":2129,"Bonus URL":54,"Credits DE":2130,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":2131,"Ton Cinéma":2132,"Quote FR":2133,"Quote DE":2134,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2135,"mId":2117,"preview url fr":2136,"Country FR":2137,"Country DE":2141,"FCollections":2144,"FTags":2145,"TagIds":2146,"FEvents":2147,"img":2148},57,"YALDA","Iran, de nos jours. Maryam, 22 ans, tue accidentellement son mari Nasser, 65 ans. Elle est condamnée à mort. La seule personne qui puisse la sauver est Mona, la fille de Nasser. Il suffirait que Mona accepte de pardonner Maryam en direct devant des millions de spectateurs, lors d’une émission de téléréalité. 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Les deux actrices principales sont excellentes, chacune dans un registre différent. »\n**Denitza Bantcheva - Positif**\n\n> « Un film événement, dérangeant et instructif à plusieurs titres, qui explore conjointement deux thématiques essentielles, conjuguées avec une pertinence qui détonne. Les fondements de la justice d’une part, et cette vie ultra connectée que nous avons abandonnée aux médias d’autre part. »\n**Hava Sarfati - Bande à part**\n","Im heutigen Iran. Maryam, 22, hat ihren Mann Nasser, 65, unter unklaren Umständen getötet. Sie wird zum Tode verurteilt. In einer populären Reality-Show erhält Maryam die Möglichkeit, um die Vergebung von Nasars Tochter Mona zu kämpfen und der Todesstrafe zu entgehen. 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Il y fait la rencontre de So, mystérieuse enquêtrice pour le compte de la start-up Digital Cool. Elle le persuade de prendre à l’essai Yves, un réfrigérateur intelligent, censé lui simplifier la vie.\n","https://www.youtube.com/watch?v=xhmNXVSJR88&ab_channel=SisterDistribution","Benoit Forgeard","**Avec** William Lebghil, Doria Tillier, Philippe Katerine\n\n**Scénario** Benoit Forgeard **Image** Thomas Favel et Yanning Willmann \n**Son** Julien Brossier, Guadalupe Cassius et Sandy Notarianni \n**Montage** Maryline Monthieux **Musique** Bertand Burgalat **Production** Ecce Film\n","2019-07-24",1013.488,"> « La marque de fabrique de Forgeard [...] tient dans son aptitude à mêler, dans ses scénarios, le réel de la société et son imaginaire débordant : profond et léger, agitateur de comédies, Forgeard pourrait être un sociologue qui juge plus utile de monter une performance dadaïste que de rédiger sa thèse. »\n**Clarisse Fabre - [Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/06/26/yves-un-frigo-carrement-givre_5481553_3246.html)**\n\n> « Au croisement du rire et du sérieux, _Yves_ évolue aussi à la croisée des genres, entre comédie romantique, film de potes et anticipation à court terme dans la veine de la série _Black Mirror._ »\n**Mathieu Loewer - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2019/08/01/le-frigo-qui-en-savait-trop/?fbclid=IwAR2ce1eKALCrqlIu3DmORogc_lOPv2KTlzVN1RzNasvdvK3cfzpzdWHw6pM)**\n","Jérem zieht in das Haus seiner Oma, um dort seine erste Platte zu komponieren. 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Arrivé dans un petit village au nord du Portugal, il se lie d’amitié avec une jeune fille, Ana, fascinée par cet homme, bercée par la multitude d’histoires qu’il lui raconte, toujours avec poésie et fantaisie. Ana plonge dans cet univers, peuplé d’êtres surnaturels, de magie. Mais d’étranges crises commencent à affaiblir Silva. Elles le mènent à l’hôpital, où une dizaine de femmes bienveillantes pénètrent en lui. 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Silva est-il, comme dans le célèbre roman éponyme de Juan Rulfo, un Pedro Páramo venu d’entre les morts ou un Juan Preciado à la recherche d’une vérité? Et d’où sort-elle, la pute voleuse, est-elle venue nous hanter avec un souvenir sorti d’un film de Bresson? Est-ce que tout ce que nous voyons ne serait pas uniquement sorti de l’imagination fébrile, pubère et fertile de Ana, une jeune adolescente, dont la présence sert de pivot à l’histoire? Le poème finit deux fois et l’on ricane avec la mort. »\n**Danilo Sandino - [Gauchebdo](https://www.gauchebdo.ch/2017/02/02/coups-de-coeur-a-soleure-de-suissitude-a-luniversalite/?fbclid=IwAR3XF34CqxuLHrXBbqbI8vjZ6MkIqSQNgBKXloFKtApch0A6BlMvsFTH5RE)**\n\n\n","Silva, ein alter Landstreicher, kommt mit seinen Habseligkeiten in einem abgelegenen Dorf Portugals an. Er richtet sich in einem verlassenen Haus ein und begegnet Ana, einer jungen Dorfbewohnerin. Zwischen den beiden entwickelt sich eine Beziehung, irgendwo zwischen Freundschaft und Initiation. Fasziniert von diesem Mann und dessen wundersamen Geschichte, lässt Ana sich immer weiter in seine Welt hineinziehen. Eine Welt voller übernatürlicher Wesen, unter denen seine geliebte, längst verstorbene Carolina die wichtigste Rolle einnimmt. Doch Silva wird durch merkwürdige Anfälle geschwächt und muss ins Spital, wo ein Dutzend wohlwollende Frauen von ihm Besitz ergreifen. Werden sie ihn retten ?\n","Ô critiques et spectateurs du monde ! Qu’est-ce que le cinéma ?! Ne répondez-pas et faites confiance à notre ami… Faites confiance à M. Silva, personnage principal de _Rio Corgo_, un dinosaure portugais au sombrero mexicain. Même s’il n’a probablement pas vu beaucoup de films ou pas de très bons, il semblerait qu’il connaisse tout de même intimement la nature et les caprices du cinéma. M Silva est déjà un film en soi. En plus du chapeau déjà mentionné, il a : des souvenirs très variés (peut-être un chagrin d’amour…), un double de lui-même, des connaissances en matière de magie, une grande fatigue à force d’avoir parcouru un vaste territoire, une moustache très digne, le désir obstiné d’atteindre la fin de la route. Par chance, les jeunes réalisateurs de _Rio Corgo_, Maya Kosa et Sergio da Costa, lui ont donné l’attention qu’il méritait. Ils ont mis en scène ses derniers jours. Ils l’ont aidé à exécuter un dernier numéro spectaculaire. Pour votre plus grands frisson, M Silva va s’évanouir sous vos yeux écarquillés. Et après cette disparition, quelque part au milieu d’un pays désert et silencieux (probablement appelé Portugal), il ne nous laissera pas ces quelques peu de choses de lui, bien au contraire. C’est très émouvant. Et très simple.\n\n**Miguel Gomes, réalisateur (_Ce Cher mois d’août, Tabou, Les Mille et Une Nuits..._)**\n","**Mit** Joaquim Silva, Ana Milao\n\n**Drehbuch** Maya Kosa und Sergio da Costa **Kamera** Sergio da Costa \n**Ton** Ricardo Leal, Bruno Moreira und Adrian Santos **Schnitt** Maya Kosa, \nTelmo Churro und Sergio da Costa **Komponist** Os Lacraus \n**Produktion** Close Up Films\n","https://www.youtube.com/watch?v=1vkDHkhWh48&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/riocorgo/","rio-corgo","https://sister-distribution.ch/movie/rio-corgo?preview=true",[454],[458],[],[543,673,1033,544,1272,1717,347,348],[546,571,38,20,449,1303,16,350],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/RC_Affiche__7ySY5.jpg",{"Id":785,"Title":2198,"Description FR":2199,"Actus":54,"Trailer FR":2200,"Director":2201,"Year":1005,"Credits FR":54,"Duration":736,"Release FR":2202,"Release DE":54,"SUISA":2203,"VOD":54,"Media FR":2204,"Catalogue":10,"Description DE":2205,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":54,"Bonus Type":54,"Pro":2206,"Trailer DE":54,"Ton Cinéma":2207,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":2208,"Teaser DE":2209,"DCP":54,"Events":6,"Slug":2210,"mId":785,"preview url fr":2211,"Country FR":2212,"Country DE":2213,"FCollections":2214,"FTags":2215,"TagIds":2216,"FEvents":2217,"img":2220},"DE HUMANI CORPORIS FABRICA","Il y a cinq siècles l’anatomiste André Vésale ouvrait pour la première fois le corps au regard de la science. _De Humani Corporis Frabica_ ouvre aujourd’hui le corps au cinéma. On y découvre que la chair humaine est un paysage inouï qui n'existe que grâce aux regards et aux attentions des autres. Les hôpitaux, lieux de soin et de souffrance, sont des laboratoires qui relient tous les corps du monde…\n","https://youtu.be/B1QuikBx9yY?feature=shared","Verena Paravel, Lucien Castaing-Taylor","2023-12-13",1017.149,"> « Une incroyable aventure intérieure »\n**Bruno Deruisseau, [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/de-humani-corporis-fabrica-quand-les-prouesses-du-bloc-operatoire-sinvitent-sur-grand-ecran-517186-08-01-2023/)**\n\n> « Une réflexion sensible sur la fragilité de notre condition humaine »\n**Pascaline Sordet, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/de-humani-corporis-fabrica-la-matiere-dont-les-corps-sont-faits)**\n\n> « De Humani Corporis Fabrica orchestre ainsi un ballet vertigineux entre le corps médical, le corps humain et celui de l’hôpital.\n> Une œuvre dont personne ne ressortira indemne.»\n**Mathieu Loewer, [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2023/12/14/aventure-interieure/)**\n\n> « Deux heures tournées pour l’essentiel dans les hôpitaux du nord de Paris, qui à rebours de l’exploration froide embrassent le cinéma à leur manière, sans complexes et avec pas mal d’audace. _De Humani Corporis Fabrica_ est un film d’aventures où tout peut arriver, où l’anatomie est avant tout un champ d’expérimentation – comme les chirurgiens qu’ils filment, Paravel et Castaing-Taylor plongent dans les corps sans jamais savoir à l’avance ce qu’ils vont y trouver. Des paysages intérieurs inouïs, jamais vus, jamais filmés, du moins pas avec autant de sens de la poésie et du fantastique. »\n**Lelo Jimmy Batista, Libération**\n\n> « Ce voyage d’une beauté terrifiante, aux confins de l’abstraction, met au jour une terra incognita où les cellules cancéreuses observées au microscope deviennent des tableaux de Pollock. Et le gore de se muer en poésie. »\n**Jérémie Couston, Télérama**\n\n> « Le film est beau, d’une force inédite, je n’ai jamais rien vu de ma vie d’aussi stupéfiant. »\n**Jean-Noël Orengo, Transfuge**\n\n> « De Humani Corporis Fabrica impressionne chaque fois qu’il s’agit de saisir l’entre-deux, le vertigineux passage du dehors au dedans, en somme le geste inaugural de l’anatomie : coup de scalpel, « pénétration intensive du réel ». \n**Jérôme Momcilovic, Cahiers du Cinéma**\n\n> « Un voyage fantastique, fascinant autant que perturbant. Il s’agit de faire la lumière sur ce qui est longtemps resté dans l’obscurité, profondément enfoui sous la surface de la chair. _De Humani Corporis Fabrica_ est donc autant un film sur le corps humain que sur le regard que nous posons sur lui. »\n**Corentin Lê, Critikat**\n\n> « On l’aura compris, De Humani Corporis Fabrica n’est pas juste un énième documentaire sur le monde hospitalier. Différent dans son contenu et sa démarche, il diffère aussi dans sa façon de filmer avec une proximité extrême. Grâce à une petite caméra fabriquée spécialement pour le projet par une équipe zurichoise, les protagonistes sont capturés au plus près et parfois très (trop) longuement, donnant l’impression qu’il n’y a aucune frontière entre les sujets et ceux qui les regardent. Le film mélange ces images avec des prises de vues d’imagerie médicale. On s’immisce dans les entrailles du corps humain, laissant apparaître des paysages inconnus. »\n**Emma Raposo, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/film/2022/DeHumaniCorporisFabrica/critique.html)**\n\n> « Pourquoi, en effet, le cinéma doit-il devenir un traité d’anatomie ? Et pourquoi, au contraire, l’anatomie doit-elle cesser d’être une science purement médicale pour se transformer en une cinématographie de la réalité ? Castaing-Taylor et Paravel montrent que nous avons besoin d’une caméra pour comprendre et voir notre humain, pour dessiner son anatomie car la structure du corps humain a la forme et la matière d’un film : l’anatomie n’est pas une matière solide, impénétrable, étendue. Il s’agit d’un flux d’images, d’un cinéma en perpétuelle évolution, pour lequel il est nécessaire d’inventer non seulement une nouvelle attitude mais aussi un nouveau rapport aux images.\n> Car manipuler les images signifiera toujours manipuler les corps, intervenir chirurgicalement sur le Léviathan terrestre. Inversement, chaque fois que les corps modifient leur façon d’exister, c’est le cinéma planétaire de leur chair qui commence à raconter une autre histoire. Lucien Castaing-Taylor et Verena Paravel nous ont appris, maintenant, comment voir ce film sans fin. »\n**Emanuele Coccia, [AOC](https://aoc.media/critique/2023/01/23/operations-chirurgicale-sur-de-humani-corporis-fabrica-de-castaing-taylor-et-paravel/?loggedin=true)**\n","Im 16. Jahrhundert öffnete Andreas Vesalius zum ersten Mal den menschlichen Körper für den Blick der Wissenschaft und schrieb das Werk «De humani corporis fabrica» – die Fabrik des menschlichen Körpers. In mehreren Pariser Spitälern gedreht, öffnet der Film des Regie-Duos (LEVIATHAN) den Körper für das Kino. Er zeigt Aufnahmen aus dem menschlichen Inneren – aufregende und geheimnisvolle Landschaften, die von invasiven medizinischen Kameras eingefangen wurden. Diese Bilder werden mit Aufnahmen von Patient:innen zusammengeschnitten, die an verschiedenen Krankheiten leiden, und auch die Institution Krankenhaus mit ihren Strukturen und Riten wird aufs Korn genommen.\nWir sehen, wie die Medizin auf den Körper einwirkt und wie sich der Körper im Spital verhält; besonders beeindruckend ist die Abteilung mit dementen Patient:innen. Wir beobachten das teilweise krude Handwerk der Chirurgie und lauschen dem Gespräch der Operierenden oder bei der Autopsie – und werden dabei von blöden Sprüchen nicht verschont. DE HUMANI CORPORIS FABRICA kombiniert den technischen mit dem menschlichen Blick, woraus sich ein seltsamer, manchmal schwindelerregender Raum eröffnet. Die Augen bei Bedarf zu schliessen, ist ausdrücklich erlaubt.\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZAcdWZGxCQ25dHnBHncByQPKuoP0BgpNpk","https://www.ton-cinema.ch/film/humanicorporisfabrica/","« Des films, il en sort, plus que de raison, en quantité chaque semaine. Parfois de très beaux films, parfois seulement des films «intéressants», par leur sujet ou leurs propositions de mise en scène. De loin en loin, ce qu’il convient d’appeler un grand film, qui restera dans les mémoires, peut-être dans l’histoire du cinéma. Et, bien sûr, un nombre significatif de réalisations auxquelles on ne reconnaît aucune des qualités qui précèdent.\nEt puis, très rarement, on voit **un film dont on se dit qu’il change l’idée même du cinéma**, la capacité de mobiliser ses outils (le cadrage, la lumière, le son, le montage) pour ouvrir à des nouvelles approches, de nouvelles sensations, de nouvelles façons de penser. Ainsi en va-t-il de _De Humani Corporis Frabica_, qui a été une des sensations du Festival de Cannes 2022 (à la Quinzaine). » [Projection Publique](https://projection-publique.com/2023/01/09/de-humani-corporis-fabrica-a-corps-percus/?fbclid=IwAR3l0bNZITWYtQFwxfl87-InEFnrwXk8TEpYs3-GyXpSQf0Qd3zhjz3iviE)\n\\-\nReprenant le titre d’un traité d’anatomie du XVIe siècle, _De Humani Corporis Frabica_ s’intéresse à ce qui se passe non pas à l’intérieur de l’hôpital mais à l’intérieur des patients. Aux liens qui unissent le corps médical aux corps défaillants, fracassés, au bord de l’extinction.\n","**PREMIERE: Eine filmische Reise ins Innere der Spezies Mensch. Der Blickwinkel der Chirurg:innen beeinflusst unsere Perspektive auf den Spitalalltag auf ausserordentliche Weise. **\n\n","de-humani-corporis-fabrica","https://sister-distribution.ch/movie/de-humani-corporis-fabrica?preview=true",[398,87,454],[400,90,458],[],[94,544,151,348],[12,20,157,350],[2218,2219],295,296,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/DH_VIGNETTE_9XJBz.jpg",{"Id":900,"Title":2222,"Description FR":2223,"Actus":54,"Trailer FR":2224,"Director":2225,"Year":1877,"Credits FR":2226,"Duration":1877,"Release FR":2227,"Release DE":2228,"SUISA":2229,"VOD":2230,"Media FR":2231,"Catalogue":10,"Description DE":2232,"Media DE":54,"Bonus FR":2233,"Bonus URL":54,"Credits DE":2234,"Bonus Type":77,"Pro":2235,"Trailer DE":2236,"Ton Cinéma":2237,"Quote FR":2238,"Quote DE":2239,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2240,"mId":900,"preview url fr":2241,"Country FR":2242,"Country DE":2243,"FCollections":2244,"FTags":2245,"TagIds":2246,"FEvents":2247,"img":2248},"AVANT LA FIN DE L'ÉTÉ","Après 5 ans d’études à Paris, Arash ne s’est pas fait à la vie française et a décidé de rentrer en Iran. Espérant le faire changer d’avis, ses deux amis l’entraînent dans un dernier voyage à travers la France.\n","https://www.youtube.com/watch?v=MqeWAlZWFWs&ab_channel=SisterDistribution","Maryam Goormaghtigh","**Avec** Arash, Hossein, Ashkan, Charlotte, Michèle\n\n**Scénario et image** Maryam Goormaghtigh **Montage** Gwénola Héaulme \n**Musique** Marc Siffert **Production** Intermezzo Films, 4 A 4 Productions, \nRTS Radio Télévision Suisse, Sunny Indepedent Pictures et Salvajes Productions\n","2017-11-01","2018-01-11",1012.256,"https://www.filmingo.ch/fr/films/703-avant-la-fin-de-l-ete","> « Road-movie ensoleillé à l'iranienne. »\n**Camille Mottier - [Daily Movies](https://www.daily-movies.ch/fin-de-lete-road-movie-ensoleille-a-liranienne?fbclid=IwAR2mdhdxhBdS3u1NQ5PUK7vIoKYcUz32kbUI24qUOiegCNkaW9TK9GhuaIo)**\n\n> « Avant la fin de l’été a la tension d’un road-movie et la force d’un documentaire. La réalisatrice parle d’un film hybride, et cette appellation lui va bien. Peu importe de savoir ce qui est vrai et ce qui est joué, l’essentiel est la constante justesse de ton d’une œuvre fragile et mélancolique qui laisse beaucoup d’espace à ses protagonistes, eux-mêmes hybrides et toujours filmés à la bonne distance et avec une constante empathie. » \n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/fin-lete-trois-hommes-deux-pays?fbclid=IwAR1Yz0a9UAdcSGSC_QMhjNbdMd7T4ECD5EJhEpTXQjE8J7LH8wxeg56Meyg&utm_campaign=article&utm_medium=share&utm_source=facebook)**\n","Auch nach fünfjährigem Studium in Paris kann sich Arash mit dem französischen Lebensstil nicht anfreunden und beschließt, in den Iran zurückzukehren. In der Hoffnung, ihn umzustimmen, überreden ihn seine beiden Freunde Hossein und Ashkan zu einer letzten Reise durch Frankreich.\n","**Maryam Goormaghtigh, au détour d'un portrait qui lui est consacré par [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/maryam-goormaghtigh-ne-me-rendais-compte-point-cannes-etait-important?fbclid=IwAR2n0Ea1mth31hiWyFs8PssJhYHXHAoVXAVGXhYgMczb2UCZ8rTq0XlTs8E&utm_campaign=article&utm_medium=share&utm_source=facebook), revient sur la génèse du film :**\n\n« À l’origine du film, il n’y a pas eu d’idée, mais une rencontre avec trois étudiants iraniens installés à Paris, Arash, Ashkan et Hossein, conjuguée à un désir de me reconnecter à la culture de ma mère. J’ai croisé la route de ces trois garçons alors que j’étudiais depuis deux ans le persan à l’Institut national des langues et civilisations orientales. J’avais alors une sorte de lassitude ; cela faisait près de cinq ans que j’écrivais un long-métrage de fiction, sans arriver à aboutir à quelque chose de concret.\nMais j’avais besoin de tourner et, de rage, je me suis acheté une petite caméra. Une amie, qui est aussi cinéaste, m’a alors demandé pourquoi je m’embêtais encore à écrire puisque j’avais sous la main trois super personnages. \"Filme-les !\" m’a-t-elle dit. Et c’est ce que j’ai fait. J’ai commencé à les filmer dans nos soirées parisiennes et, petit à petit, c’est devenu comme un rituel, ça m’a permis de gagner leur confiance. Il y a des cinéastes doués pour trouver d’abord un sujet et ensuite un moyen de l’illustrer ; là, c’est la démarche inverse. Je rencontre trois personnes et à travers des thèmes surgissent. »\n\n**Elle est également l'invitée de [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invitee-maryam-goormaghtigh-realisatrice-25498172.html), sur la RTS :**\n\n\"J'avais des points de repères qui sont des lieux, la rencontre avec les filles que j'ai orchestré et des éléments de discussions en tête mais la trame était assez rudimentaire.\"\n","**Mit** Arash, Hossein, Ashkan, Charlotte, Michèle\n\n**Drehbuch und Kamera** Maryam Goormaghtigh **Schnitt** Gwénola Héaulme **Komponist** Marc Siffert **Produktion** Intermezzo Films, 4 A 4 Productions, \nRTS Radio Télévision Suisse, Sunny Indepedent Pictures und Salvajes Productions\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZ4kJzZIGA4tK9v0dmVkODlXglQ9BXlq8jX","https://www.youtube.com/watch?v=WQn3ZyQadlE&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/avantlafindelete/","Maryam Goormaghtigh — « Délicatesse, pudeur et mélancolie : un premier film remarquable. » Positif\n","Maryam Goormaghtigh — « Mit Feingefühl, Scham und Melancholie: ein bemerkenswerter erster Film. » Positif","avant-la-fin-de-l-ete","https://sister-distribution.ch/movie/avant-la-fin-de-l-ete?preview=true",[87,454],[90,458],[],[543,1064,94,921,242,1033,544,1388,347],[546,1066,12,923,83,38,20,290,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/avantlafindelete_vignette_cnmlQ.jpg",{"Id":896,"Title":2250,"Description FR":2251,"Actus":54,"Trailer FR":2252,"Director":2253,"Year":1094,"Credits FR":2254,"Duration":583,"Release FR":2255,"Release DE":54,"SUISA":2256,"VOD":54,"Media FR":2257,"Catalogue":10,"Description DE":2258,"Media DE":54,"Bonus FR":2259,"Bonus URL":54,"Credits DE":2260,"Bonus Type":77,"Pro":2261,"Trailer DE":2252,"Ton Cinéma":2262,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2263,"mId":896,"preview url fr":2264,"Country FR":2265,"Country DE":2266,"FCollections":2267,"FTags":2268,"TagIds":2269,"FEvents":2270,"img":2271},"SOPHIA ANTIPOLIS","Sophia-Antipolis, c’est le nom de ce territoire étrange entre la mer Méditerranée, la forêt et les montagnes. Sous un soleil aveuglant, des hommes et des femmes sont à la recherche d’un sens, d’un lien social, d’une communauté. Ils vont croiser le destin d’une jeune fille disparue.\n","https://www.youtube.com/watch?v=TuDJ0owtuoc&ab_channel=SisterDistribution","Virgil Vernier","**Avec** Dewi Kunetz, Hugues Njiba-Mukuna, Sandra Poitoux, Bruck, Lilith Grasmug\n\n**Scénario** Virgil Vernier, avec la participation de Mariette Désert **Image** Simon Roca et Tom Harari **Son** Jean Collot, Olivier Vieillefond et Simon Apostolou **Montage** Charlotte Cherici **Production** Kazak Productions\n","2018-12-05",1013.03,"> « _Sophia Antipolis_ est un film apocalyptique, un rêve éveillé, un tableau vivant dont les images tournées en 16mm sont d’une beauté étrange, à la fois poétiques et fortes. Elles traduisent pourtant la fragilité d’un monde, d’une époque, d’une ville déserte au bord du chaos et c’est ce qui le rend particulièrement fascinant. »\n**Tumtitu Baseme - [Epic magazine](https://epic-magazine.ch/sophia-antipolis-le-film-bouleversant-de-virgil-vernier/?fbclid=IwAR3aqSvWiZO1sr4TQUnOdyD4u3-QeJ875cKrfmxInzMMH-bYBsxI-JOHIyY)**\n\n> « Cinéaste intéressé par les échos de la mythologie dans la réalité sociale contemporaine (_Mercuriales_ en 2014), Virgil Vernier a caché son vrai héros dans le titre même de son film. Sophia-Antipolis, c’est cette technopole de la Côte d’Azur au nom accidentellement prophétique. Antipolis, l’anti-ville, une zone privatisée, où quelque chose se joue de la société française d’aujourd’hui : l’exclusion, le non-droit, la violence banale et la désintégration. Le cadre idéal pour un \"conte de la folie ordinaire\", résume Vernier. »\n**Arnaud Gallay - [360](https://360.ch/culture/50131-sophia-antipolis-sous-un-soleil-de-mauvais-augure/?fbclid=IwAR3Sba9zVWOmirsuHK04VxzbE8T8PocFtcW61Pk0FX1UjXsy-mE9jMlHEsA)**\n\n\n","Sophia-Antipolis ist der Name dieser seltsamen Gegend zwischen dem Mittelmeer, dem Wald und den Bergen. Unter einer blendenden Sonne sind Männer und Frauen auf der Suche nach einem Sinn, einer sozialen Bindung und einer Gemeinschaft. Dabei kreuzen sie das Schicksal eines verschwundenen jungen Mädchens.\n","**Interview du réalisateur Virgil Vernier mené par Mariama Balde pour [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/sophia-antipolis-virgil-vernier/?fbclid=IwAR13agH_bCyLBNk9Oj-DILkcjK0mqnPECMmQ4wPIEz2HlMoMgHZiQIIQSw4) :**\n\n\"La ville de Sophia Antipolis raconte bien le monde actuel, à la fois froid et chaud.\" \n","**Mit** Dewi Kunetz, Hugues Njiba-Mukuna, Sandra Poitoux, Bruck, Lilith Grasmug\n\n**Drehbuch** Virgil Vernier, mit der Teilnahme von Mariette Désert **Kamera** Simon Roca und Tom Harari **Ton** Jean Collot, Olivier Vieillefond und Simon Apostolou **Schnitt** Charlotte Cherici **Produktion** Kazak Productions\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZBD7zZoUSm90RMHIXJuP5QnJSshuEehYg7","https://www.ton-cinema.ch/film/sophiaantipolis/","sophia-antipolis","https://sister-distribution.ch/movie/sophia-antipolis?preview=true",[87],[90],[],[87,1272,151,962],[31,449,157,964],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Affiche_Sophiaantipolis_9UEqR.jpg",{"Id":925,"Title":2273,"Description FR":2274,"Actus":54,"Trailer FR":2275,"Director":2276,"Year":441,"Credits FR":2277,"Duration":590,"Release FR":2278,"Release DE":54,"SUISA":2279,"VOD":54,"Media FR":2280,"Catalogue":10,"Description DE":2281,"Media DE":2282,"Bonus FR":2283,"Bonus URL":54,"Credits DE":2284,"Bonus Type":77,"Pro":2285,"Trailer DE":2275,"Ton Cinéma":2286,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":2287,"Teaser DE":2288,"DCP":989,"Events":964,"Slug":2289,"mId":925,"preview url fr":2290,"Country FR":2291,"Country DE":2292,"FCollections":2293,"FTags":2294,"TagIds":2295,"FEvents":2296,"img":2317},"MANGA D'TERRA","Rosa, 20 ans, quitte le Cap-Vert après le décès de son mari pour s’établir à Reboleira, quartier pauvre de Lisbonne. Elle travaille pour Nunha, 45 ans, une matrone du quartier qui tient un petit boui-boui où les habitants passent leurs journées. \nPrise \nen tenaille entre le harcèlement des caïds et les violences policières quotidiennes, Rosa sait qu’elle doit garder son sang-froid car elle a une mission : envoyer de l’argent à ses deux enfants. Pour se consoler, le soir, elle chante son malheur. \n\nAu fil des jours, sa relation avec Nunha se détériore et Rosa se retrouve à la rue. Elle essaie de trouver du réconfort auprès des femmes de la communauté. Mais à chaque rencontre, son lot de déboires. \n\nRosa va sillonner le quartier à la recherche de son salut avec la musique pour exutoire. Une musique qui permet de raconter ce que les images ne peuvent pas forcément dire. \n","https://youtu.be/fPM4vz16w98","Basil Da Cunha","**Avec** Eliana Rosa, Nunha Gomes, Evandro Pereira, Nuno Baessa, Lucinda Brito, Vera Semedo, Isabel Lopes, João Filipe, José Brasão, Gä \n\n**Scénario** Basil Da Cunha **Image** Patrick Tresch **Son** Ricardo Leal, Francisco Veloso **Montage** Basil Da Cunha **Production** Akka Films, RTS\n","2024-06-26",1019.239,"> « L’œil et le cœur grand ouvert à la beauté singulière de ces anonymes, il s’agit de capter l’effervescent, le subtil, de sonder les regards et d'arcbouter ces visages au récit national du Portugal.\n> Défiant la rumeur et les qu'en-dira-t-on, Rosa est pourtant venue travailler. Incarnée par l’époustouflante Eliana Rosa, Rosa - son personnage - entend recommencer sa vie et tourner la page depuis le décès de son mari. La voilà dans l’antre de ce quartier où la police ne pénètre qu’arme au poing. Et la caméra de Basil da Cunha de leur répondre avec une véhémence poétique. Généreux, volubile, onirique et tendre, _Manga D’Terra_ pénètre la psyché de sa protagoniste avec une maestria éblouissante. \n> Contre vents et tarés, l’aura lumineuse d’Eliana Rosa sera mise à rude épreuve. Rappelant le merveilleux _Félicité_ d’Alain Gomis, Basil da Cunha dévoile un geste de cinéma techniquement envoutant ; un musical cap-verdien à l’orée du réalisme magique, embaumé de néons primaires et de mélodies qui supplantent les affres du temps présent. C'est une œuvre en marge, sinon unique, à l’image de son cinéaste. Anthropologique, lyrique, _Manga D’Terra_ flottera et pour longtemps. » 5/5★\n**Theo Metais, [Cineman](https://www.cineman.ch/fr/article/locarno-2023-critique-film-manga-dterra-félicité-musicale-à-reboleira)**\n\n> « Basil Da Cunha ne cherche pas à offrir une vision idéalisée ou réconfortante. Au lieu de cela, il donne de la visibilité aux innombrables femmes «ordinaires» de ce quartier, mettant en lumière leur détermination, leur résilience et leur passion pour la musique. »\n**Olivier Wyser**, **[La Liberté](https://www.laliberte.ch/news/culture/cine--tv/manga-d-terra-le-quartier-de-reboleira-en-musique-735055)**\n\n> « Un quasi-musical low-budget tourné en direct dans les rues de Reboleira, possible seulement par la façon dont le cinéaste, résident de cette banlieue depuis près de deux décennies, s’est intégré dans la communauté et a créé la confiance avec les gens. Il n’a jamais cessé de l’assumer : il voulait filmer pour la postérité l’histoire oubliée de la diaspora africaine qui a fait de ce quasi-ghetto sa maison. Mais _Manga d’Terra_ est son premier film dans lequel cette histoire est racontée au féminin - le cinéaste admet qu’il était temps, mais que ce n’est qu’avec le temps et l’âge qu’il a pu le faire. »\n**Público**\n\n> « Le long-métrage constitué d’images magnifiques et de quelques plans-séquences époustouflants envoûte par son univers unique. »\n**Marine Guillain, [24 heures](https://www.24heures.ch/manga-dterra-itineraire-chaotique-dune-cap-verdienne-a-lisbonne-861610956824)**\n\n> « L’énergie que Rosa déploie, positive, décomplexée, roborative, généreuse et communicative, est celle du film, qui charrie la bonne humeur, la musique et la joie d’un seul tenant, comme s’il s’agissait là du seul rempart contre toutes les morosités ambiantes. »\n**Pascal Gavillet, [24 heures](https://www.24heures.ch/sorties-cinema-kinds-of-kindness-manga-dterra-the-driven-ones-611104812277)**\n\n> « De Cunha incorpore dans le film une fusion de funk, de zouk rock et de jazz qui joue sur les airs prosaïques du Cap-Vert; il agit comme une attache mais aussi une dose de libération pour Rosinha, un hommage à toutes les facettes de sa féminité. Les musiciens Henrique Silva et Luis Firmino ajoutent leurs talents au projet, complétant la partition en temps réel. _Quand elle chante, nous ne savons pas si elle rêve ou non. Mais nous savons que c’est la réponse à quelque chose que le film ne peut pas montrer, quelque chose dans l’âme de ce personnage. La seule façon de décrire cela était d’utiliser la musique pour mélanger la réalité et le rêve_ a déclaré Da Cunha. »\n**[Variety](https://variety.com/2023/film/global/basil-da-cunha-manga-dterra-1235686896/)**\n\n> « Les séquences nocturnes sont magnifiquement photographiées et les moments musicaux sont totalement envoûtants – on dirait lors qu’elle chante que Rosa est malgré son jeune âge habitée par plusieurs générations de femmes qui ont comme elle souffert. [...] L’héroïne est magnifiquement incarnée par Eliana Rosa, une artiste au talent brut qui émeut aux larmes dès qu’elle chante. »\n**Stéphane Gobbo, [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/ecrans/manga-d-terra-une-errance-musicale)**\n\n> « Avec ce troisième volet, le cinéaste vaudois – de mère valaisanne et de père portugais – rend un vibrant hommage aux femmes du quartier de Reboleira à travers un film musical (attention ! Ce n’est pas une comédie musicale !) qui jouit d’une bande-son entraînante et variée, entre funk, jazz mêlés aux sonorités des musiques traditionnelles de l’archipel, comme la morna, la coladeira, le funana, que Cesária Évora avait fait connaître au monde. »\n**Firouz Pillet, [j:mag](https://j-mag.ch/locarno-2023-concourant-dans-le-concorso-internazionale-le-troisieme-long-metrage-de-basil-da-cunha-intitule-manga-dterra-est-en-lice-pour-le-prestigieux-leopard-dor/)**\n","Die 20-jährige Rosa verlässt nach dem Tod ihres Mannes die Kapverden und lässt sich in Reboleira, einem Armenviertel in Lissabon, nieder. Sie arbeitet für Nunha (45), eine Matrone des Viertels, die eine kleine Boui-Boui betreibt, in der die Bewohner ihre Tage verbringen. \n\nRosa, die zwischen den Schikanen der Gangsterbosse und der täglichen Polizeigewalt eingeklemmt ist, weiß, dass sie die Nerven behalten muss, denn sie hat eine Aufgabe: Geld für ihre beiden Kinder zu schicken. Um sich zu trösten, singt sie am Abend von ihrem Unglück. \n\nIm Laufe der Tage verschlechtert sich ihre Beziehung zu Nunha und Rosa steht auf der Straße. Sie versucht, bei den Frauen der Gemeinde Trost zu finden. Doch jede Begegnung bringt neue Probleme mit sich. \n\nRosa durchstreift das Viertel auf der Suche nach ihrer Rettung, mit der Musik als Ventil. Eine Musik, die es ermöglicht, das zu erzählen, was Bilder nicht unbedingt sagen können. \n","> «Basil da Cunha, dessen Film an den wunderbaren _Félicité_ von Alain Gomis erinnert, zeigt eine technisch bezaubernde Geste des Kinos; ein kapverdisches Musical am Rande des magischen Realismus, umhüllt von Neonfarben und Melodien, die die Sorgen der Gegenwart verdrängen. Es ist ein Werk am Rande der Gesellschaft, ein beeindruckendes Werk, genauso einzigartig wie sein Regisseur. Anthropologisch, lyrisch, _Manga D'Terra_ wird am Kino-Firnament schweben – und das für eine lange Zeit.» 5/5★\u003Cbr>**Theo Metais, [Cineman](https://www.cineman.ch/movie/2023/MangaDTerra/review.html?setlang=de)**","**Extrait du portrait consacré à Basil Da Cunha par Cécile Lecoultre - [24 heures](https://www.24heures.ch/culture/cinema/reboleira-quartier-habite-fiction/story/15548264?fbclid=IwAR0NzvW5idty72c6Gqa27s-vz4fApK04LPPqE9SXiHH4iprLXc_RmjVX1zs) :**\n\n« Cet amour du peuple d’anonymes dont les médias ou les arts ne parlent pas lui vient de son adolescence. \"À Reboleira, j’ai retrouvé ces belles gueules de cinéma à la De Niro ou Pesci qui me fascinaient gamin, quand je passais tous mes weekends dans les centres portugais de Lausanne ou Genève. Avec leurs conversations en parallèle, qui sortent de l’arc dramatique, entre des mecs qui expliquent comment couper l’ail tout en parlant tellement d’autre chose. C’est du Beckett ! Absurde comme dans les films de Jim Jarmusch\". Un large sourire scelle son destin. \"Moi, je veux faire participer les invisibles du Portugal au récit national, les réintégrer par le cinéma.\" »\n","**Mit** Eliana Rosa, Nunha Gomes, Evandro Pereira, Nuno Baessa, Lucinda Brito, Vera Semedo, Isabel Lopes, João Filipe, José Brasão, Gä\n\n**Drehbuch** Basil Da Cunha **Kamera** Patrick Tresch **Ton** Ricardo Leal, Francisco Veloso **Schnitt** Basil Da Cunha **Produktion** Akka Films, RTS\n","https://e.pcloud.link/publink/show?code=kZb4U9ZivYKdfw79IugjDX5bmyvuuvbremX","https://www.ton-cinema.ch/film/mangadterra/","Rosa, 20 ans, a quitté le Cap-Vert pour s’établir à Reboleira, quartier pauvre de Lisbonne. Elle y travaille dans un bar pour envoyer de l’argent à ses enfants. Prise en tenaille entre le harcèlement des caïds et les violences policières quotidiennes, Rosa essaie de trouver du réconfort auprès des femmes de la communauté. Mais sa réelle échappatoire est la musique... \n","Die 20-jährige Rosa ist von den Kapverden nach Reboleira, einem Armenviertel in Lissabon, gezogen. Dort arbeitet sie in einer Bar, um ihren Kindern Geld zu schicken. Rosa ist zwischen den Schikanen der Gangsterbosse und der täglichen Polizeigewalt gefangen und versucht, Trost bei den Frauen der Gemeinde zu finden. 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Tandis qu’il retrouve ses amis et sa famille, Kikas un vieux trafiquant du quartier lui fait comprendre qu’il n’est pas le bienvenu.\n","https://www.youtube.com/watch?v=Qx74nq3hHuo&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Michael Spencer, Marco Joel Fernandes, Alexandre Da Costa Fonseca, \nIara Cardoso, Luisa Martins Dos Santos, Carlos Fonseca, Manuel Delgado Dos Santos\n\n**Scénario** Basil Da Cunha en collaboration avec Martin Drouot **Image** Basil Da Cunha **Son** Adrien Kessler **Montage** Jean Reusser **Production** Thera Production et \nRTS Radio Télévision Suisse\n","2020-03-11","2020-07-02",1013.584,"https://www.filmingo.ch/fr/films/754-o-fim-do-mundo","> « La force du cinéma de Basil Da Cunha, c’est la manière dont tout est à la fois extrêmement écrit et totalement spontané – il a pour habitude de ne rien laisser filtrer de son scénario et dévoile les enjeux d’une scène au moment du tournage. Il y a dès lors, dans ses films, quelque chose d’immersif, d’hypnotique parfois, à l’instar de cette longue séquence de fête qui, placée au début, imprime un rythme lancinant à un récit qui ira ensuite crescendo. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/basil-da-cunha-veux-laisser-vie-exister)**\n\n> « À la manière d’un Scorsese, Basil Da Cunha décrit, observe, et ausculte sans jugement. Mieux encore, il célèbre la lumière de ces gens sans leur retirer leur part de ténèbres. Un grand petit film qui raconte une histoire autant qu’il donne à ressentir. »\n**Olivier Wyser - [La Liberté](https://www.laliberte.ch/news/culture/cine--tv/les-enfants-a-la-derive-de-reboleira-568677?fbclid=IwAR2iNyU5dgDWva8v0DXhuTi2K9lJBTp-JV_WejoDFZpAEfMCIVDOQuUm0i4#.Xvwi7yjz0ow.facebook)**\n","Nach acht Jahren in einer Besserungsanstalt kehrt Spira nach Reboleira zurück, einem Slum in einem Vorort von Lissabon, der gerade zerstört wird. 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Un monde qui parvient à résister aux bouleversements qui le frappent - économiques, scientifiques, sociaux - et qui, bon gré mal gré, continue d'entretenir les liens entre générations. Un monde au centre d'interrogations majeures sur l'avenir.\n","https://youtu.be/HU4foif_VdI",2010,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1761-le-temps-des-graces","> « La géographie est peut-être ce à quoi l’œil de Dominique Marchais est le mieux conformé. Il n’a pas besoin de tracer une carte de son périple pour faire surgir un tableau choisi de la France agraire dans ses sites : en Champagne, Bourgogne, Corrèze ou Beauce, le film cadre le pays en paysages, en topographies. Nous y rencontrons toute une petite foule d’agronomes, écrivains, économistes, spécialistes divers et agriculteurs. Chacun est saisi dans son biotope, celui d’une nature humanisée le plus souvent, mais aussi bien le paysage d’une bibliothèque quand c’est l’écrivain Pierre Bergounioux qui s’exprime. Par ailleurs, aucun pittoresque ne détériore le regard porté sur les figures convoquées : le cinéaste préfère le registre de la clarté sèche et filme ses intervenants en sujets pensants, même lorsqu’il s’agit des presque inquiétants Lydia et Claude Bourguignon, microbiologistes des sols, que l’on voit fouiller la terre de Champagne pour en mesurer la fertilité, ou plutôt l’effarant degré de stérilité consécutif à l’usage d’engrais. »\n**Olivier Seguret, _Les champs du savoir_, [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2010/02/10/les-champs-du-savoir_609000/)**\n\n> « _Le Temps des grâces_ devrait devenir l'un des films de prédilection de tous ceux qui s'intéressent aux mutations de l'agriculture, au modelage du visage des campagnes et aux choix de civilisation que nous avons faits. »\n**Positif**\n\n> « Si l'on veut expédier ce _Temps des grâces_ et le réduire à une catégorie critique commode, on dira de lui qu'il s'agit d'un documentaire engagé sur l'espace peau de chagrin laissé aux paysans de France Charge sévère contre les méthodes de l'agriculture moderne, qui privilégie la rationalisation et l'esthétique proprette de nos bocages façon jardin français, rejouant partout cette opposition puritaine entre le foisonnement malin (la forêt, repaire des Ténèbres) et le désert divin, _Le Temps des grâces_ dépasse très vite le constat amer d'une agriculture en péril et, surtout, évite deux écueils majeurs : d'un côté, le syndrome Arthus-Bertrand, mélange de condescendance (« toi, petit d'homme, préserve la Terre!») et d'alarmisme terrassant, de l'autre, le discours nostalgique du type c'était mieux avant.\n> Sans jamais céder sur la complexité des problèmes, ni sur un vocabulaire scientifique dont on découvre peu à peu l'étendue et la poésie, le film de Marchais accomplit ce que la plupart des récents blockbusters écolos (Gore, Arthus-Bertrand, Hulot and co) avaient manqué. Quelle vision de nos sociétés et de l'avenir se profile derrière ces méthodes industrielles qui sapent l'agriculture et la biodiversité ? Pourquoi la gratuité (formule géniale de Lydia Bourguignon: « _Le monde vivant n'est pas brevetable. Le microbe, lui, travaille gratuit!_ ») nous pose-t-elle un problème?\n> L'exploitation du _Temps des grâces_ souffrira sans doute d'un a priori austère, mais ceux qui franchiront le pas succomberont sûrement au charme de son intelligence. »\n**Jean-Baptiste Thoret, Charlie Hebdo**\n","Dominique Marchais — « Un véritable idéal politique, jamais vindicatif ou dogmatique. » Cahiers du Cinéma\n","Dominique Marchais — « Ein echtes politisches Ideal, das niemals rachsüchtig oder dogmatisch ist. » Cahiers du Cinéma","- « La plus belle force de ce film, le premier long métrage de Dominique Marchais, n’est pas dans la pédagogie technique et politique, pourtant très fine, par laquelle il nous éduque, mais dans sa manière d’être lui-même un film à la fois paysan et agronome, dont la recherche oscille entre culture et science, sensible à l’humus et à la littérature aussi bien que factuel et pragmatique. » _[Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2010/02/10/les-champs-du-savoir_609000/)_\n- 🌿\n- MAINTENANT EN VOD SUR [FILMINGO](https://www.filmingo.ch/fr/films/1761-le-temps-des-graces)\n\n","le-temps-des-gr-ces","https://sister-distribution.ch/movie/le-temps-des-gr-ces?preview=true",[87],[90],[49],[150],[45],[2362],318,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/AFF_TEMPSDESGRACES-1_rYeBa.jpg",{"Id":964,"Title":2365,"Description FR":2366,"Actus":54,"Trailer FR":2367,"Director":2368,"Year":1877,"Credits FR":2369,"Duration":1826,"Release FR":2370,"Release DE":54,"SUISA":2371,"VOD":2372,"Media FR":2373,"Catalogue":10,"Description DE":2374,"Media DE":54,"Bonus FR":2375,"Bonus URL":2376,"Credits DE":2377,"Bonus Type":136,"Pro":54,"Trailer DE":2367,"Ton Cinéma":2378,"Quote FR":2379,"Quote DE":2380,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2381,"mId":964,"preview url fr":2382,"Country FR":2383,"Country DE":2384,"FCollections":2385,"FTags":2386,"TagIds":2387,"FEvents":2388,"img":2389},"APRÈS LA GUERRE","Bologne, 2002. Le refus de la loi travail explose dans les universités. L’assassinat d’un juge ouvre des vieilles blessures politiques entre l’Italie et la France. Marco, ex-militant d’extrême gauche, condamné pour meurtre et réfugié en France depuis 20 ans grâce à la Doctrine Mitterrand, est soupçonné d’avoir commandité l’attentat. Le gouvernement italien demande son extradition. 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Die Ablehnung des Arbeitsgesetzes explodiert in den Universitäten. Der Mord an einem Richter reißt alte politische Wunden zwischen Italien und Frankreich auf. Marco, ein ehemaliger linksextremer Aktivist, der wegen Mordes verurteilt wurde und seit 20 Jahren dank der Mitterrand-Doktrin in Frankreich Zuflucht sucht, wird verdächtigt, das Attentat in Auftrag gegeben zu haben. Die italienische Regierung fordert seine Auslieferung. Da er gezwungen ist, mit seiner 16-jährigen Tochter Viola zu fliehen, ändert sich sein Leben für immer, ebenso wie das seiner Familie in Italien, die nun für seine früheren Verfehlungen bezahlen muss.\n","**Rencontre avec la réalisatrice Annarita Zambrano aux [cinémas du Grütli](https://www.youtube.com/embed/IfHL9i_nlJo) :**\n\n\"Mon personnage porte le vestige de sa souffrance. 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Jamais vue. \nA travers ces hommes, choisis dans les cercles de Jerry, parfois anciens de plus de 25 ans, le film explore des thèmes universels comme le sexe, la violence, les relations et ce qu’être un humain au 21e siècle veut dire. \n","https://youtu.be/f9fVC9E8E-E?t=4","Mai Hua & Jerry Hyde","2022-11-16","https://www.filmingo.ch/fr/films/1372-make-me-a-man","> \" Puissant et poétique. Make Me a Man, avec sa narration à la fois intime et universelle, apporte une pierre précieuse à la réflexion sur les nouvelles masculinités. ” \n**[Le Monde ](https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/10/02/make-me-a-man-sur-brutx-la-masculinite-post-metoo_6096868_3246.html)**\n\n> “Loin des clichés et des injonctions. Ces hommes racontent leurs failles et prouvent que seules l’éducation et une certaine culture séparent les hommes et les femmes.”\n**[ELLE](https://www.elle.fr/Loisirs/News/Make-me-a-man-le-documentaire-sur-des-hommes-loin-des-stereotypes-3979570)**\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZBYwQZ0X56ASbegGzzA1NmnJyQb0vVPncV","https://www.ton-cinema.ch/film/makemeaman/","Mai Hua & Jerry Hyde — « Loin des clichés et des injonctions. » Elle\n","Mai Hua & Jerry Hyde — « Fernab von Klischees und Aufforderungen. » Elle","Quand des hommes défient le modèle classique de masculinité...\net choisissent de montrer leur vulnérabilité.\nAprès _Les Rivières_, le nouveau film de Mai Hua.\n\n\n","make-me-a-man","https://sister-distribution.ch/movie/make-me-a-man?preview=true",[87],[90],[],[242,404,347,1718,348],[83,52,16,1143,350],[2411],319,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/MAM_vignette_m4TAk.jpg",{"Id":927,"Title":2414,"Description FR":2415,"Actus":54,"Trailer FR":2416,"Director":2417,"Year":939,"Credits FR":2418,"Duration":60,"Release FR":2419,"Release DE":54,"SUISA":2420,"VOD":54,"Media FR":2421,"Catalogue":10,"Description DE":2422,"Media DE":54,"Bonus FR":2423,"Bonus URL":54,"Credits DE":2424,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":2416,"Ton Cinéma":2425,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":2426,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":45,"Slug":2427,"mId":927,"preview url fr":2428,"Country FR":2429,"Country DE":2430,"FCollections":2431,"FTags":2432,"TagIds":2433,"FEvents":2434,"img":2436},"LA PRUNELLE DE MES YEUX","Une fille, un garçon. Elle aime la musique, lui aussi (mais pas la même). Ils se détestent, ils se croisent sans cesse. Et surtout : elle est aveugle, il voit parfaitement. Un jour, par provocation, il se fait passer pour aveugle auprès d’elle. Ce qui n’était qu’une mauvaise blague dure, l’amour arrive, la situation se complique, et la supercherie va devenir explosive.\n","https://www.youtube.com/watch?v=uD7ObBGx38I&ab_channel=SisterDistribution","Axelle Ropert","**Avec** Mélanie Bernier, Bastien Bouillon, Serge Bozon, Swann Arlaud, Chloé Astor, Tamar Baruch, Marion Briet\n\n**Scénario** Axelle Ropert **Image** Sébastien Buchmann **Son** Laurent Gabiot et \nFrançois Meure **Montage** François Quiqueré **Musique** Benjamin Esdraffo \n**Production** Les Films Pelléas\n","2017-04-05",1011.766,"> « En suivant une autre piste, on y décèle quelque chose comme le paradoxe du folklore, dont le signe est le rôle étrange, assez distancié, du _rebetiko _dans le film. Une alliance d'art spontané et de totale ringardise - les deux devant être assumés à plein tube pour que tout reste en bon état de marche. Pour rire d'un monde qui serait sensé _et_ insensé à la fois, _la Prunelle… _semble introduire une étape de plus que dans la phrase de Sirk : comme s'il postulait un monde de plus, qui n'existe pas tel quel, et dont il serait la comédie type. Quelque chose comme une comédie de comédie, ou l'art populaire d'un pays parallèle. Et c'est ainsi qu'il tient, au carré, sa drôle de fourbe promesse. »\n**Luc Chessel - [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2016/12/20/idylle-dans-l-ascenseur_1536560/)**\n\n> « Le coup est réussi : à la fois moderne et vieux jeu, classiciste et pop, il refait le pari d'un cinéma vivant, écrit en gestes, en actions, en plans et en situations. C'est précieux. »\n**Théo Ribeton - [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/prunelle-de-yeux-18392-16-12-2016/)**\n","Ein Mädchen und ein Junge. Sie mag Musik, er auch (aber nicht die gleiche). Sie hassen sich, laufen sich ständig über den Weg. Und vor allem: Sie ist blind, er kann perfekt sehen. Eines Tages gibt er sich ihr gegenüber aus Provokation als blind aus. Was nur ein schlechter Scherz war, dauert an, die Liebe kommt, die Situation wird komplizierter und die Täuschung wird explosiv.\n","**Axelle Ropert est l'invitée de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/cinema-la-prunelle-de-mes-yeux-25449091.html), sur la RTS :**\n\n\"Mon pari était d'arriver à donner à la jeunesse d'aujourd'hui une grandeur romanesque qui est celle du cinéma classique hollywoodien.\"\n","**Mit** Mélanie Bernier, Bastien Bouillon, Serge Bozon, Swann Arlaud, Chloé Astor, Tamar Baruch, Marion Briet\n\n**Drehbuch** Axelle Ropert **Kamera** Sébastien Buchmann **Ton** Laurent Gabiot und \nFrançois Meure **Schnitt** François Quiqueré **Komponist** Benjamin Esdraffo \n**Produktion** Les Films Pelléas\n","https://www.ton-cinema.ch/film/prunelledemesyeux/","Una ragazza, un ragazzo. Vivono nello stesso edificio. Lei ama la musica, lui pure (ma non la stessa). Si incontrano in ascensore. Si odiano, si incrociano di continuo. E soprattutto: lei è cieca, lui ci vede perfettamente. Un giorno, provocatoriamente, le fa credere di essere anch’egli cieco. Quello che era uno scherzo di cattivo gusto si protrae, arriva l’amore, la situazione si complica e l’inganno diventerà esplosivo.\n\nL’idea nasce da una capacità di osservazione della vita quotidiana, trasformata in storia, ponendo grande attenzione al dettaglio. _“Vedevo ogni giorno una scena commovente nel mio quartiere: una madre cieca che accompagnava la bambina a scuola. Ho pensato che sarebbe stato interessante non oltrepassare la linea del politicamente corretto su una disabilità come la cecità, ma anche di cercare dei momenti ilari. E così è nata questa storia d’amore in ascensore. Mi è sempre piaciuto il cinema classico americano, come quello di Ernst Lubitsch, in cui l’eleganza si mescolava al tragico e al comico.”_\nda un’intervista con Axelle Ropert\n\n","la-prunelle-de-mes-yeux","https://sister-distribution.ch/movie/la-prunelle-de-mes-yeux?preview=true",[87],[90],[28],[921,87,1272,996,347],[923,31,449,713,16],[2435],320,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/PRUNELLE DE MES YEUX_vignettes_50dfQ.jpg",{"Id":2025,"Title":2438,"Description FR":2439,"Actus":54,"Trailer FR":2440,"Director":2441,"Year":1877,"Credits FR":2442,"Duration":594,"Release FR":54,"Release DE":54,"SUISA":2443,"VOD":2444,"Media FR":2445,"Catalogue":10,"Description DE":2446,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":2447,"Bonus Type":54,"Pro":2448,"Trailer DE":2440,"Ton Cinéma":54,"Quote FR":2449,"Quote DE":2450,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2451,"mId":2025,"preview url fr":2452,"Country FR":2453,"Country DE":2455,"FCollections":2457,"FTags":2458,"TagIds":2459,"FEvents":2460,"img":2461},"THE CHARMER","Esmail, jeune et charmant iranien vit au Danemark où il travaille comme déménageur. Pourtant, le soir venu, il fréquente les lieux huppés de la ville pour séduire des femmes, espérant ainsi se marier et obtenir un permis de séjour. Lorsqu’il rencontre Sara, tout bascule. Sur le point d’arriver à ses fins, il est traqué par un homme mystérieux…\n","https://www.youtube.com/watch?v=8AdwCHhXApk&ab_channel=SisterDistribution","Milad Alami","**Avec** Ardalan Esmaili, Soho Rezaneiad, Lars Brygmann, Susan Taslimi\n\n**Scénario** Ingeborg Topsøe et Milad Alami **Image** Sophia Olsson \n**Montage** Olivia Neergaard Holm **Musique** Martin Dirkov **Production** Good Company Films\n\n",1016.521,"https://www.filmingo.ch/fr/films/669-the-charmer","> « Jusqu’à son émouvant final, qui entremêle joliment espoir et désillusion, _The Charmer_ prend les atours d’un petit contre cruel – et universel – de l’immigration. Loin des clichés ce film resté inédit dans les salles suisses s’avère d’une belle justesse. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/the-charmer-lamant-iranien?fbclid=IwAR3_OHB1gOmHjR_MxbOYzA8nFJqns09eR2khiAA4UNNpOgOhz5ndy72EWnY)**\n\n> « Milad Alami sonde la solitude existentielle et l’aliénation vécues par cet imposteur, intrus au Danemark comme dans le monde bourgeois de ses amantes. Jouant un rôle dès qu’il enfile son beau costume, étranger à lui-même et à sa place nulle part, Esmail finit par se perdre. Sa rencontre avec Sara semble soudain remettre en cause ses motivations profondes, qui resteront obscures. 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Als er kurz davor ist, sein Ziel zu erreichen, wird er von einem geheimnisvollen Mann verfolgt...\n","**Mit** Ardalan Esmaili, Soho Rezaneiad, Lars Brygmann, Susan Taslimi\n\n**Drehbuch** Ingeborg Topsøe und Milad Alami **Kamera** Sophia Olsson \n**Schnitt** Olivia Neergaard Holm **Komponist** Martin Dirkov **Produktion** Good Company Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZN7JzZxsTnBLluuzbHMcqbu9FK0mktvC6k","Milad Alami — « Premier long métrage au croisement d'Asghar Farhadi et de Mike Leigh. À ne pas rater. » Positif\n","Milad Alami — « Ein erster Spielfilm an der Kreuzung von Asghar Farhadi und Mike Leigh. 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Comme chaque nuit, un poissonnier se rend au marché en ville. Réveillé par son départ, son fils de six ans n’arrive pas à se rendormir. Dans la maison où tout le monde dort, le petit garçon fait un dessin qu’il glisse dans son cartable. Le matin, sa silhouette pleine de sommeil s’écarte du chemin de l’école et titube dans la neige, vers la ville…\n","https://www.youtube.com/watch?v=6f7xMzHoUq8&ab_channel=ShellacFilms","Damien Manivel et Kohei Igarashi","**Avec** Takara Kogawa, Keiki Kogawa, Takashi Kogawa, Chisato Kogawa\n\n**Scénario** Damien Manivel et Kohei Igarashi **Image** Wataru Takahashi \n**Son** Jérôme Petit et Gen Takahashi **Montage** William Laboury **Musique** Jérôme Petit **Production** Damien Manivel, Martin Bertier et Makoto Oki\n","2019-05-30",1013.343,"> « Les cinéastes observent, avec une attention minutieuse, ce corps enfantin, doté d’une mobilité imprévisible, certes empotée, mais néanmoins inventive, source infinie de figures et d’attitudes poétiques. L’enfant est cet être toujours nouveau, dont les gestes ont la primeur de celui qui s’invente un rapport au monde et au langage. »\n**Mathieu Macheret - [Le Monde](https://www.lemonde.fr/cinema/article/2018/05/02/takara-la-nuit-ou-j-ai-nage-la-liberte-vue-a-hauteur-d-enfant_5293187_3476.html)**\n\n> « Ainsi, l'art minimaliste de Manivel et Igarashi confine ici à la miniature, détaillant patiemment, plan par plan, un Japon à hauteur d'enfant, discrètement hanté par les films d'Ozu, le plus grand des cinéastes miniaturistes. »\n**Marcos Uzal - [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2018/03/13/takara-petit-bonhomme-des-neiges_1635898/)**\n","Die schneebedeckten Berge Japans. Wie jede Nacht geht ein Fischhändler zum Markt in der Stadt. Von seiner Abreise geweckt, kann sein sechsjähriger Sohn nicht wieder einschlafen. In dem Haus, in dem alle schlafen, malt der kleine Junge eine Zeichnung, die er in seine Schultasche steckt. Am Morgen weicht seine schlaftrunkene Gestalt vom Schulweg ab und stolpert durch den Schnee in Richtung Stadt...\n","**Note des réalisateurs**\n\nNous nous sommes rencontrés au Festival de Locarno où nous présentions nos premiers longs-métrages respectifs, nous avons tout de suite parlé de cinéma et sommes devenus amis malgré la barrière de la langue. Quelques mois plus tard, nous avons décidé de faire un film ensemble au Japon. Damien voulait filmer la neige, et, Kohei, travailler avec un enfant. Nous sommes donc partis en repérage dans la région la plus enneigée du Japon, à Aomori, et y avons fait la rencontre d’un garçon de six ans, Takara. Ce qui nous a bouleversé chez lui, c’est son mélange de fantaisie et de tristesse, sa sincérité à toute épreuve... Dans la vie, son père est poissonnier et le petit garçon l’entend se lever chaque nuit pour partir au marché. Quand il rentre de l’école, son père dort. Ils se voient donc très peu. Nous avons tâché de raconter ce sentiment complexe d’amour et de distance, dans les pas de Takara. \n\nDamien Manivel et Kohei Igarashi\n","**Mit** Takara Kogawa, Keiki Kogawa, Takashi Kogawa, Chisato Kogawa\n\n**Drehbuch** Damien Manivel und Kohei Igarashi **Kamera** Wataru Takahashi \n**Ton** Jérôme Petit und Gen Takahashi **Schnitt** William Laboury \n**Komponist** Jérôme Petit **Produktion** Damien Manivel, Martin Bertier und Makoto Oki\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZfkJzZVIrymlGeovyXApcghmlCNmcdNCBy","https://www.ton-cinema.ch/film/takaralanuitoujainage/","takara-la-nuit-o-j-ai-nage","https://sister-distribution.ch/movie/takara-la-nuit-o-j-ai-nage?preview=true",[184,87],[186,90],[],[189,674,404,151,348],[191,519,52,157,350],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/takara-affiche_SsCtd.jpg",{"Id":2026,"Title":2486,"Description FR":2487,"Actus":54,"Trailer FR":2488,"Director":2489,"Year":1094,"Credits FR":2490,"Duration":591,"Release FR":2491,"Release DE":54,"SUISA":2492,"VOD":54,"Media FR":2493,"Catalogue":10,"Description DE":2494,"Media DE":54,"Bonus FR":2495,"Bonus URL":54,"Credits DE":2496,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":2497,"Ton Cinéma":2498,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":2499,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":45,"Slug":2500,"mId":2026,"preview url fr":2501,"Country FR":2502,"Country DE":2503,"FCollections":2504,"FTags":2505,"TagIds":2506,"FEvents":2507,"img":2509},"A BRIGHT LIGHT – KAREN AND THE PROCESS","Sur les traces de la chanteuse Karen Dalton, _A Bright Light_ - _Karen and the Process_ nous embarque dans un road movie sauvage et enchanteur à travers les États-Unis. À la recherche de l’une des voix les plus étonnantes des années 60, adulée par ses pairs, mais méconnue du grand public, _A Bright Light_ est un documentaire fait de musique et d’art, qui questionne le processus de création. Du Colorado à Woodstock, en passant par la Nouvelle-Orléans et New York, trois femmes traversent le pays à la recherche de cette muse et rencontrent ceux qui la connaissaient et ceux qu’elle influence aujourd’hui encore.\nLe film dresse le portrait de cette artiste exceptionnelle, furieusement libre qui refusa le système et ses compromis. A travers cette figure emblématique, il suit la quête d’une certaine liberté de vie et d’expression, une indépendance pour le meilleur ou pour le pire.\n\n","https://www.youtube.com/watch?v=qCPjBP7F6wI&ab_channel=SisterDistribution","Emanuelle Antille","**Scénario** Emmanuelle Antille **Image** Carmen Jaquier **Montage** Laurence Vaes, Emmanuelle Antille et Emilie Morier **Production** Rubis Films et Intermezzo Films \n","2019-02-01",1013.071,"> « Tout est beau dans ce film qui traite en réalité de la disparition et, plus profondément, de la transmission initiatique de femme à femme, peut-être même de mère à fille. » \n**Arnaud Robert - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/karen-dalton-autopsie-dune-voix-sechappe?fbclid=IwAR3Or1lO2_gP74DrhHXY4ftqh5gM1nj5mWHlXK07Qb69iP6NHdB-6mr5TKg)**\n\n> « _A Bright Light – Karen and the Process_ est un beau et fascinant road trip musical, un portrait en creux, qui emmène le spectateur du Colorado à Woodstock en passant par la Louisiane. »\n**Olivier Wyser - [La Liberté](https://www.laliberte.ch/news/culture/musique/une-egerie-flamboyante-et-tragique-473415?fbclid=IwAR1mCuKBTzTVlZSsejyhWCJQmrgQ6S1OPxG--NlPjsSLe2qNVWxoEI7v3xg)**\n","Die begnadete Musikerin war vor allem eine freie Frau, die ein Leben in den Randbereichen gewählt hat. Tiefe Traurigkeit, Liebeskummer und Einsamkeit haben ihr Leben berührt, und ihre bebende Stimme bringt diesen Schmerz in einer herzzerreissenden Musik zum Ausdruck. Die Künstlerin Emmanuelle Antille unternimmt eine lange Reise – halb Tagebuch, halb Biopic – durch die USA auf den Spuren des verwunschenen Stars, um ihren eigenen Schaffensprozess besser zu begreifen. Wo endet das künstlerische Schaffen, wo beginnt die Privatsphäre? Für die Regisseurin, die hier die Grenze zwischen Traum und Wirklichkeit sondiert, nimmt Dalton eine geisterhafte Gestalt an. Möglicherweise ist _A Bright Light – Karen and the Process_ weniger ein Film über das Leben einer anderen, als vielmehr eine Geschichte von Doppelgängern. Das Kino wird zu einem möglichen Dialog mit sich selbst.\n","**Emmanuelle Antille est l'invitée de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invitee-emmanuelle-antille-ressuscite-karen-dalton-25026132.html) sur la RTS :**\n\n\"Je voulais faire un projet sur le processus créatif, jusqu'où nous sommes prêts à aller pour la création, ce que nous prêts à sacrifier pour cela\".\n","**Drehbuch** Emmanuelle Antille **Kamera** Carmen Jaquier **Schnitt** Laurence Vaes, Emmanuelle Antille und Emilie Morier **Produktion** Rubis Films und Intermezzo Films \n","https://www.youtube.com/watch?v=DHq8OntNvDM&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/brightlightkarenandtheprocess/","A Bright Light - Karen and The Process _della regista svizzera Emmanuelle Antille, è un ritratto misterioso e toccante di una delle artiste più emblematiche (e segrete) della storia della musica. La regista percorre le tracce di Karen Dalton, accarezza con il suo sguardo acuto i luoghi che l’hanno accolta, ne assapora le atmosfere e ne restituisce l’aura grazie alle testimonianze delle persone che le sono state vicine_.\n\nIl film non vuole ricostruire cronologicamente la storia di una musicista dal destino tragico, eccezionale, fortemente libera, che ha rifiutato il sistema e i suoi compromessi, una delle voci più sorprendenti degli anni ’60, adorata dai suoi fans, sconosciuta al grande pubblico. Attraverso questa figura emblematica, il film per contro segue la ricerca di libertà e di espressione, un’indipendenza nel bene e nel male. Dal Colorado a Woodstock, da New Orleans a New York, tre donne viaggiano attraverso il paese alla ricerca di questa musa. Emmanuelle Antille utilizza le immagini come fossero delle tracce fugaci di un passato incerto: le deforma, trasforma e interroga, nella speranza di estrapolarne l’essenza. Karen Dalton ha vissuto in equilibrio costante tra realtà e oblio, fra palcoscenico e semi eremo, alla ricerca di un’impossibile pace interiore. Il film di Antille si nutre di quest’ambiguità e la sublima attraverso il gesto filmico.\n\nda Muriel Del Don, [www.cineuropa.org](https://cineuropa.org/it/newsdetail/352290/)\n","a-bright-light-karen-and-the-process","https://sister-distribution.ch/movie/a-bright-light-karen-and-the-process?preview=true",[454],[458],[28],[242,544,347],[83,20,16],[2508],331,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/ABL_AFFICHE_DEF-1_oy91o.jpg",{"Id":770,"Title":2511,"Description FR":2512,"Actus":54,"Trailer FR":2513,"Director":2514,"Year":1519,"Credits FR":2515,"Duration":60,"Release FR":2516,"Release DE":2517,"SUISA":2518,"VOD":2519,"Media FR":2520,"Catalogue":10,"Description DE":2521,"Media DE":54,"Bonus FR":2522,"Bonus URL":2523,"Credits DE":2524,"Bonus Type":136,"Pro":54,"Trailer DE":2525,"Ton Cinéma":2526,"Quote FR":2527,"Quote DE":2528,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2529,"mId":770,"preview url fr":2530,"Country FR":2531,"Country DE":2534,"FCollections":2537,"FTags":2538,"TagIds":2539,"FEvents":2540,"img":2541},"GHOSTS","À Istanbul, dans une Turquie survoltée, quatre personnages se croisent au sein d’un quartier populaire en plein embourgeoisement : une mère dont le fils est en prison, une jeune danseuse, une artiste féministe et un jeune homme. Un portrait puissant de la Turquie contemporaine et une ode à ses fantômes.\n","https://www.youtube.com/watch?v=uql31OW15MU&ab_channel=SisterDistribution","Azra Deniz Okyay","**Avec** Nalan Kuruçim, Dilayda Güneş, Beril Kayar, Emrah Özdemir\n\n**Scénario** Azra Deniz Okyay **Image** Barış Özbiçer **Son** Erman Abaza \n**Montage** Ayris Alptekin **Musique** Ekin Fil **Production** Heimatlos Films\n","2021-10-27","2021-10-21",1015.616,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1155-ghosts-hayaletler","> « Saturé en gros plans et plans longs, en passant par des images capturées au smartphone, le tout ponctué d’une voix off provenant de flashs info d’une radio locale, _Ghosts_ détonne dans sa forme. Traversant avec sa caméra les rues de sa ville natale et les conflits rongeant cette dernière, la réalisatrice illustre à sa manière la scission d’une société faite de paradoxes. Une « nouvelle Turquie » juchée sur des principes d’un autre âge, refusant aux femmes le droit de tout. »\n**Emma Raposo - [Cineman.ch](https://www.cineman.ch/fr/film/2020/Hayaletler/critique.html#movie-detail-nav)**\n","An einem Tag, an dem im ganzen Land der Strom ausfällt, treffen vier Personen in einem Istanbuler Wohnviertel aufeinander, das mitten in der Gentrifizierung steckt: eine Mutter, deren Sohn im Gefängnis sitzt, eine junge Tänzerin, eine feministische Künstlerin und ein verschlagener Handlanger der Immobilienfirma « Neue Türkei ». Florierende Drogendeals in ihrer Gegend führen dazu, dass sich ihre Wege kreuzen. Der Film porträtiert in dynamischem Tempo den Alltag der heute aktiven Generationen.\n","**Azra Deniz Okyay présente son film à l'occasion de sa diffusion au [FFDIH](https://www.youtube.com/embed/L3_9d1K8_uY?start=1) :**\n\n\"Il fallait que le cinquième personnage soit la ville, cette ville qui devient elle-même une sorte de fantôme\"\n","https://www.youtube.com/embed/L3_9d1K8_uY?start=1","**Mit** Nalan Kuruçim, Dilayda Güneş, Beril Kayar, Emrah Özdemir\n\n**Drehbuch** Azra Deniz Okyay **Kamera** Barış Özbiçer **Ton** Erman Abaza \n**Schnitt** Ayris Alptekin **Komponist** Ekin Fil **Produktion** Heimatlos Films\n","https://www.youtube.com/watch?v=a2hDG8bZFrQ&t=2s&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/hayaletler/","Azra Deniz Okyay — « À la recherche de la danse, de la musique et de l’amour dans un pays si proche et si loin. » L'Humanité\n","Azra Deniz Okyay — « Auf der Suche nach Tanz, Musik und Liebe in einem Land, das so nah und doch so fern ist. » L'Humanité","ghosts","https://sister-distribution.ch/movie/ghosts?preview=true",[2532,2533,87],"Qatar","Turquie",[2535,2536,90],"Katar","Türkei",[],[543,404,149,95,96,152,347],[546,52,156,98,27,158,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/GHOSTS_affiche_2ovJu.jpg",{"Id":571,"Title":2543,"Description FR":2544,"Actus":54,"Trailer FR":2545,"Director":2546,"Year":611,"Credits FR":2547,"Duration":299,"Release FR":2548,"Release DE":2549,"SUISA":2550,"VOD":2551,"Media FR":41,"Catalogue":10,"Description DE":2552,"Media DE":54,"Bonus FR":2553,"Bonus URL":2554,"Credits DE":2555,"Bonus Type":136,"Pro":2556,"Trailer DE":2557,"Ton Cinéma":2558,"Quote FR":2559,"Quote DE":2560,"Teaser FR":41,"Teaser DE":41,"DCP":54,"Events":45,"Slug":2561,"mId":571,"preview url fr":2562,"Country FR":2563,"Country DE":2564,"FCollections":2565,"FTags":2566,"TagIds":2567,"FEvents":2568,"img":2570},"THE MUSHROOM SPEAKS","_The Mushroom speaks_ explore les capacités régénératrices des champignons. Ce voyage personnel offre une idée à la fois d’interconnexion et de collaboration, une promenade aux côtés de parasites, symbiotes et décomposeurs. Animés par une même vision de résistance, les personnages rencontrés cherchent des possibilités de renouvellement et s’interrogent sur ce qui nous relie quand le monde semble s’effondrer. Avec les champignons et leurs allié·e·s, le film invite à imaginer une (r)évolution myco-culturelle. Et si les champignons pouvaient nous aider à questionner et à changer radicalement notre relation au monde ?\n","https://www.youtube.com/watch?v=JO__Z2nokOo&ab_channel=SisterDistribution","Marion Neumann","**Image** Marion Neumann **Son** Olga Kokcharova \n**Montage** Marion Neumann et Orsola Valenti **Production** Intermezzo Films\n","2022-06-08","2022-05-26",1015.718,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1370-the-mushroom-speaks","In einer persönlichen Reise erforscht THE MUSHROOM SPEAKS faszinierende Allianzen mit dem Reich der Pilze. In einer Botschaft des Widerstands lädt er dazu ein, sich eine myko-kulturelle (R)Evolution vorzustellen, und stellt die Frage, was uns verbindet, während die Welt zerfällt…Was wäre, wenn Pilze helfen könnten, unser Verhältnis zur Welt zu überdenken und uns radikal zu verändern?\n","**Marion Neumann et la mycologue Katja Gindro discutent du film dans l'émission [CQFD](https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/les-champignons-vont-ils-sauver-le-monde-25809825.html) sur la RTS :**\n\n\"Le champignon est au coeur de toutes vies. Il est temps de l'intégrer à nos vies et apprendre de cet être\"\n\n**Marion Neumann présente également son film lors du festival [Visions du Réel](https://www.youtube.com/embed/rAubsu8hKWs?start=3015) :**\n\n\"Je voulais toucher cette conscience fongique, comprendre ce que c'est d'être champignon\"\n","https://www.youtube.com/embed/rAubsu8hKWs?start=3015","**Kamera** Marion Neumann **Ton** Olga Kokcharova \n**Schnitt** Marion Neumann und Orsola Valenti **Produktion** Intermezzo Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZJVxzZJLyNXQvzIQYOdWzKNIxgSXwc6t17","https://www.youtube.com/watch?v=mqXi2Se6p9Y&t=8s&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/mushroomspeaks/","Marion Neumann — « Le champignon peut même sauver le monde. » The Guardian\n","Marion Neumann — « Der Pilz kann sogar die Welt retten. » The Guardian","the-mushroom-speaks","https://sister-distribution.ch/movie/the-mushroom-speaks?preview=true",[454],[458],[],[242,544,150,347],[83,20,45,16],[2569],197,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Affiche-_Mushroom_web_J1nuP.jpg",{"Id":301,"Title":2572,"Description FR":2573,"Actus":54,"Trailer FR":2574,"Director":2575,"Year":611,"Credits FR":2576,"Duration":583,"Release FR":2577,"Release DE":2578,"SUISA":2579,"VOD":2580,"Media FR":2581,"Catalogue":10,"Description DE":2582,"Media DE":54,"Bonus FR":2583,"Bonus URL":54,"Credits DE":2584,"Bonus Type":77,"Pro":2585,"Trailer DE":2586,"Ton Cinéma":2587,"Quote FR":2588,"Quote DE":2589,"Teaser FR":2590,"Teaser DE":2591,"DCP":989,"Events":45,"Slug":2592,"mId":301,"preview url fr":2593,"Country FR":2594,"Country DE":2595,"FCollections":2596,"FTags":2597,"TagIds":2598,"FEvents":2599,"img":2601},"LES MAGNÉTIQUES ","Une petite ville de province au début des années 80. Philippe vit dans l’ombre de son frère, Jérôme, le soleil noir de la bande. Entre la radio pirate, le garage du père et la menace du service militaire, ils ignorent qu’ils vivent là les derniers feux d’un monde sur le point de disparaître.\n","https://www.youtube.com/watch?v=Yfa1BZHOlYo&ab_channel=SisterDistribution","Vincent Maël Cardona","**Avec** Thimotée Robart, Marie Colomb, Joseph Olivennes\n\n**Scénario** Vincent Maël Cardona, Chloë Larouchi, Maël Le Garrec, Rose Philippon, Catherine Paillé et Romain Compingt **Image** Brice Pancot **Son** Mathieu Descamps, Pierre Bariaud et Samuel Aïchoun **Montage** Flora Volpière **Musique** David Sztanke **Production** Easy Tiger et Srab Films\n","2021-12-08","2022-08-18",1015.865,"https://www.filmingo.ch/fr/films/1472-les-magntiques","> « Dans ce film au cœur grand comme ça, un accent camusien se répand, et son discours (du Nobel) sur les générations qui se croient vouées à refaire le monde. Dans _Les Magnétiques_, elle est tiraillée et désireuse d’étreindre la vie. La musique à foison, la mise en scène immersive, et ce message crépusculaire sur une génération à qui on a menti. La passion, encore et encore, éclate, comme cette folie qui éclabousse ce métrage à la force limpide, à l’amour déchirant. Thimothée Robart s’occupe de nous balader dans ses pérégrinations, entre des morceaux tels que « Touche pas à mon sexe » ou « Tombeau de mademoiselle », avant que Joy Division et les Undertones ne donnent le ton. Une musique omniprésente pour exorciser l’absence, pour garder un lien avec les êtres aimés. _Les Magnétiques_ est ce film d’apprentissage, il est cet amour incandescent qui ose, impose un délire parfois flamboyant, doublé d’une puissance ravageuse. »\n**Sven Papaux - [Cineman.ch](https://www.cineman.ch/fr/film/2021/LesMagnetiques/critique.html#movie-detail-nav)**\n\n> « Joies, peines, initiations, rejets et adieux se mêlent et s’emmêlent en suivant de près les protagonistes sans effacer les réalités de ce temps où Berlin était divisée et où la musique libertaire faisait sauter toutes les frontières et s’invitait dans tous les lieux, y compris les églises, avant la complète récupération qui suivra. »\n**Serge Molla - [Ciné-feuilles](https://www.cine-feuilles.ch/film/7007-les-magnetiques?fbclid=IwAR2syq_KSkdZ8cXFO9LoTqa_HxlQnz-iY7wobHETyFXn0xUQIDgqWct9Zz8)**\n","Die Bretagne in den 1980er Jahren: In ihrem verschlafenen Heimatdorf betreibt eine Gruppe von Freunden einen Piratensender. Angeführt wird die Gruppe von dem charismatischen Macho Jerome, in dessen Schatten sein technikaffiner jüngerer Bruder Philippe steht. Als Philippe zum Militärdienst in West-Berlin berufen wird, versucht er mit aller Kraft, weiterhin passioniert seiner Leidenschaft für die Welt des Radios nachzukommen – doch er muss erkennen, dass diese Welt sich schon lange auf einem absteigenden Ast befindet.\n\n","**Vincent Maël Cardona et Thimotée Robart sont les invités de l'émission [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/les-invites-vincent-mael-cardona-et-thimotee-robart-les-magnetiques-25784582.html) :**\n\n\"Le film est un hommage à la scène musicale des années 80\"\n","**Mit** Thimotée Robart, Marie Colomb, Joseph Olivennes\n\n**Drehbuch** Vincent Maël Cardona, Chloë Larouchi, Maël Le Garrec, Rose Philippon, Catherine Paillé und Romain Compingt **Kamera** Brice Pancot **Ton** Mathieu Descamps, Pierre Bariaud und Samuel Aïchoun **Schnitt** Flora Volpière **Komponist** David Sztanke **Produktion** Easy Tiger und Srab Films\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZGcwHZQYAtuu2UPtHhDzysC4GRWmmRcf8V","https://www.youtube.com/watch?v=xMWodzQPOWM&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/magnetiques/","Vincent Maël Cardona — « Cet amour incandescent qui ose, impose un délire parfois flamboyant, doublé d’une puissance ravageuse. » Cineman\n","Vincent Maël Cardona — « Diese glühende Liebe, die sich traut, erzwingt ein manchmal flammendes Delirium, das mit einer vernichtenden Kraft gepaart ist. » Cineman","**Premio SACD (Director’s Fortnight) al Festival di Cannes 2021**\n**Premio miglior opera prima ai César 2022.**\n_«Here are the young men, the weight on their shoulders. Here are the young men, well where have they been?»_. La magnetica voce di Ian Curtis, frontman del gruppo britannico Joy Division, morto suicida nel maggio del 1980, è l’urlo di dolore che spazza via ogni speranza di futuro. Un anno dopo, nel maggio 1981, François Mitterrand vince la sua prima elezione per la presidenza della repubblica francese, ed ecco che il mondo sembra davvero poter finire da un momento all’altro. Una cittadina di provincia agli inizi degli Anni 80. Philippe vive nell’ombra del fratello Jérôme, leader della banda. Fra radio pirata, il garage del padre e la minaccia del servizio militare, ignorano che stanno vivendo gli ultimi momenti di un mondo che sta per sparire.\n\nPresentato all’ultima Quinzaine des Réalisateurs e vincitore come miglior opera prima ai César, _Les Magnétiques_ è l’opera prima di Vincent Maël Cardona. Un coming-of-age ipnotico e romantico, caratterizzato da una colonna sonora trascinante. Il timido protagonista, interpretato da un inesperto e ciononostante intenso Thimotée Robart, è un personaggio riuscitissimo che certamente si farà ricordare. Così la scena delle pulizie in caserma. Una decade tragica, segnata subito da un lutto diventato simbolo di una disperazione generazionale, che per alcuni sarà senza rimedio. Gli altri potranno fare affidamento a pochi strumenti di comprensione del mondo, fra i quali spicca la musica new wave. La radio come liberazione, via di fuga, valvola di sfogo. Le feste intorno al fuoco nella campagna più buia come consolazione rituale, al tempo debolezza congenita e forza motrice del sogno. Thimothée Robart ci accompagna in un viaggio tra canzoni come “Touche pas à mon sexe” e “Tombeau de mademoiselle”, prima che i Joy Division e gli Undertones dettino il tono. La musica è onnipresente per esorcizzare l’assenza, per mantenere un legame con i propri cari.\nda Alessandro amato, www.sentieriselvaggi.it\n\n","Bei den Internationalen Filmfestspiele Cannes wurde LES MAGNÉTIQUES 2021 in der Sektion Quinzaine des Réalisateurs als Entdeckung gefeiert und ausgezeichnet. Kürzlich gewann der Film den CÉSAR als Bester Debütfilm. Im französischen Film glänzt das aufstrebende Ensemble Thimotée Robart, Marie Colomb, Joseph Olivennes. Thimotée Robart wurde für seine Leistung in LES MAGNÉTIQUES mit dem Prix Lumière als Bester Nachwuchsdarsteller ausgezeichnet.\n\n_Für Nostalgiker kommt Les Magnétiques genau zur rechten Zeit. 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Ce film a su nous approcher de cela; il inspire une infinie gratitude. »\n**Jean-Michel Frodon - [Slate.fr](http://www.slate.fr/story/184245/cinema-critique-enfants-isadora-damien-manivel-danse)**\n","Nach dem Tod ihrer beiden Kinder komponierte die legendäre Tänzerin Isadora Duncan ein Abschiedssolo mit dem Titel \"Die Mutter\".\nEin Jahrhundert später begegnen vier Frauen diesem überwältigenden Tanz.\n","**Damien Manivel et Agathe Bonitzer sont les invités de [Vertigo](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/les-invite-e-s-agathe-bonitzer-et-damien-manivel-les-enfants-d-isadora-25196483.html), sur la RTS :**\n\n\"Ce qui m'a bouleversé quand j'ai découvert l'histoire d'Isadora Duncan, c'est qu'on ne guérit pas de la tragédie mais on la traverse grâce à l'art.\"\n","**Mit** Agathe Bonitzer, Elsa Wolliaston, Manon Carpentier, Marika Rizzi\n\n**Drehbuch** Damien Manivel und Julien Dieudonné **Kamera** Noé Bach **Ton** Jérôme Petit \n**Schnitt** Dounia Sichov **Komponist** Alexander Scriabin **Produktion** MLD Films\n","https://www.ton-cinema.ch/film/enfantsdisadora/","Damien Manivel — « Une invitation à la contemplation, alors que la beauté des images convoque une foule de questions profondes. » La Croix\n","Damien Manivel — « Eine Einladung zur Kontemplation, während die Schönheit der Bilder eine Fülle von tiefgründigen Fragen aufruft. » La Croix","les-enfants-d-isadora","https://sister-distribution.ch/movie/les-enfants-d-isadora?preview=true",[87],[90],[],[87,1272,151],[31,449,157],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/les-enfants-disadora-affiche_ZubR4.jpg",{"Id":302,"Title":2628,"Description FR":2629,"Actus":54,"Trailer FR":2630,"Director":1396,"Year":126,"Credits FR":2631,"Duration":594,"Release FR":2632,"Release DE":54,"SUISA":2633,"VOD":54,"Media FR":2634,"Catalogue":10,"Description DE":2635,"Media DE":54,"Bonus FR":2636,"Bonus URL":54,"Credits DE":2637,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":2630,"Ton Cinéma":2638,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2639,"mId":302,"preview url fr":2640,"Country FR":2641,"Country DE":2642,"FCollections":2643,"FTags":2644,"TagIds":2645,"FEvents":2646,"img":2647},"LE SEL DES LARMES","Les premières conquêtes féminines d’un jeune homme et la passion qu’il a pour son père. C’est l’histoire d’un jeune provincial, Luc qui monte à Paris pour passer le concours d’entrée à l’école Boulle. Dans la rue, il y rencontre Djemila avec qui il vit une aventure. De retour chez son père, le jeune homme retrouve sa petite amie Geneviève alors que Djemila nourrit l’espoir de le revoir. Quand Luc est reçu à l’école Boulle, il s’en va pour Paris abandonnant derrière lui sa petite amie et l’enfant qu’elle porte…\n","https://www.youtube.com/watch?v=d5VbqjDYYG4&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Logann Antuofermo, Oulaya Amamra, André Wilms, Louise Chevillotte, Souheila Yacoub, Martin Mesnier, Teddy Chawa, Aline Belibi\n\n**Scénario** Jean-Claude Carrière, Arlette Langmann et Philippe Garrel \n**Image** Renato Berta **Son** Guillaume Sciama **Montage** François Gedigier \n**Musique** Jean-Louis Aubert **Production** Rectangle Productions, Close Up Films, \nArte France Cinéma, RTS Radio Télévision Suisse et Srg Ssr\n\n","2020-07-22",1014.063,"> « Avec l’histoire minimaliste et atemporelle d’un jeune homme qui aime, Philippe Garrel règle encore son pas sur celui des maîtres de la Nouvelle Vague. »\n**Antoine Duplan - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/sel-larmes-garcon-aimait-femmes?utm_source=facebook&utm_medium=share&utm_campaign=article&fbclid=IwAR0wPYbmwckyJCFqt4RgWBx87AsTVPYGXCQaIvgh-4N1rkkAXH6RNXrj4Io)**\n\n> « Ça pourrait être Hollywood, cette évidence de la rencontre ramassée sur quelques secondes – la scène est tellement intense qu'elle brûle le regard. Mais non, ce n'est pas Hollywood, c'est la Garrelie : ce monde rempli de cafés, de rues et de chambres où les corps se tournent autour, comme des planètes, mus par la seule force du désir. »\n**Murielle Joudet - [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/le-sel-des-larmes-un-philippe-garrel-brut-et-doux-171818-10-07-2020/)**\n","Die ersten weiblichen Eroberungen eines jungen Mannes und die Leidenschaft, die er für seinen Vater empfindet. Es ist die Geschichte eines jungen Mannes aus der Provinz, Luc, der nach Paris fährt, um die Aufnahmeprüfung für die Ecole Boulle zu bestehen. Auf der Straße lernt er dort Djemila kennen, mit der er eine Affäre erlebt. Nach der Rückkehr zu seinem Vater trifft der junge Mann seine Freundin Geneviève wieder, während Djemila die Hoffnung hegt, ihn wiederzusehen. Als Luc an der Ecole Boulle angenommen wird, macht er sich auf den Weg nach Paris und lässt seine Freundin und das Kind, das sie in sich trägt, zurück...\n","**Extrait de l'entretien de Philippe Garrel mené Philippe Azoury - [Vanity Fair](https://www.vanityfair.fr/culture/ecrans/story/-le-sel-des-larmes-rencontre-avec-le-realisateur-philippe-garrel/12118?fbclid=IwAR36t6aRLESvvDNDafHnSFiQP0luFdoxvmx4iFFKk4BnR0S95JwfcSfdOkQ) :**\n\n« Inexplicable. Cette chimie, j’insiste sur le terme car ce n’est pas une alchimie, non, mais une chimie entre deux acteurs. Ils jouent ensemble et on voit une vie se faire, se défaire... Ça ne se travaille pas, ça nous est imposé, c’est l’invisible. C’est d’autant plus inexplicable que j’ai aussi remarqué que deux acteurs qui ont cette fameuse « chimie » ensemble, souvent ne montrent aucun intérêt dans la vie l’un pour l’autre. Dès que la journée de tournage est finie, ils se barrent chacun dans leur vie sans même se poser la question. Ça leur échappe, ça échappe à tout le monde. Seule la caméra enregistre cela. Croire que si on prend deux amis, ça va marcher, c’est se tromper. Peut-être parce que le cinéma propose du faux. Le premier acteur propose du faux, et l’autre lui répond dans le faux mais comme si c’était un vrai. Et c’est dans ce jeu-là que la chimie s’invite. »\n","**Mit** Logann Antuofermo, Oulaya Amamra, André Wilms, Louise Chevillotte, Souheila Yacoub, Martin Mesnier, Teddy Chawa, Aline Belibi\n\n**Drehbuch** Jean-Claude Carrière, Arlette Langmann und Philippe Garrel **Kamera** Renato Berta\u2028 **Ton** Guillaume Sciama Schnitt François Gedigier **Komponist** Jean-Louis Aubert\u2028 **Produktion** Rectangle Productions, Close Up Films, Arte France Cinéma, \nRTS Radio Télévision Suisse und Srg Ssr\n","https://www.ton-cinema.ch/film/seldeslarmes/","le-sel-des-larmes","https://sister-distribution.ch/movie/le-sel-des-larmes?preview=true",[87,454],[90,458],[],[673,1033,87,996],[571,38,31,713],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/LESELDESLARME_affiches_9YIC4.jpg",{"Id":1087,"Title":2649,"Description FR":2650,"Actus":54,"Trailer FR":2651,"Director":2652,"Year":939,"Credits FR":2653,"Duration":892,"Release FR":2654,"Release DE":54,"SUISA":2655,"VOD":54,"Media FR":2656,"Catalogue":10,"Description DE":2657,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":2658,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":2651,"Ton Cinéma":2659,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2660,"mId":1087,"preview url fr":2661,"Country FR":2662,"Country DE":2663,"FCollections":2664,"FTags":2665,"TagIds":2666,"FEvents":2667,"img":2668},"PAS COMME DES LOUPS","Roman et Sifredi ont à peine 20 ans. Ils sont en mouvement, comme leur identité, entre exclusion et marginalité. Dans des lieux secrets, souterrains, squats, lisières de bois, sous des ciels nuageux ou des néons à faible tension, ils inventent leur vie, leur langage et leurs codes.\n","https://www.youtube.com/watch?v=mY68mWlHsG0&ab_channel=SisterDistribution","Vincent Pouplard","**Avec** Roman, Sifredi\n\n**Image** Julien Bossé **Son** Jérémie Halbert **Montage** Régis Noël \n**Musique** Mansfield. TYA **Production** Les films du Balibari\n\n","2017-05-03",1012.017,"> « Le cinéma se fait ici humble utopie d’hospitalité réciproque, où une jeunesse rebelle peut être entendue avec sérieux. »\n**Camille Bui - Les Cahiers du Cinéma**\n\n> « On songe à Gus Van Sant – Roman et Sifredi pourraient même être les lointains cousins de certains de ses personnages. Aucune esthétisation forcée ici, mais une bienveillance et une empathie s’exprimant dans la forme même du film, la beauté étant ici la façon la plus juste de tirer ces êtres vers le haut, vers la liberté joyeuse et apaisée à laquelle ils aspirent. »\n**Marcos Uzal - [Libération](https://www.liberation.fr/cinema/2017/04/11/danse-avec-les-doux_1562021/)**\n\n","Roman und Sifredi sind gerade einmal 20 Jahre alt. Sie sind wie ihre Identität in Bewegung, zwischen Ausgrenzung und Marginalität. An geheimen Orten, unterirdisch, in besetzten Häusern, an Waldrändern, unter einem wolkenverhangenen Himmel oder bei Neonlicht mit niedriger Spannung erfinden sie ihr Leben, ihre Sprache und ihre Codes.\n","**Mit** Roman, Sifredi\n\n**Kamera** Julien Bossé **Ton** Jérémie Halbert **Schnitt** Régis Noël \n**Komponist** Mansfield. TYA **Produktion** Les films du Balibari\n","https://www.ton-cinema.ch/film/pascommedesloups/","pas-comme-des-loups","https://sister-distribution.ch/movie/pas-comme-des-loups?preview=true",[87],[90],[],[543,1064,242,87,1717,962],[546,1066,83,31,1303,964],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/Des loups_vignettes_wLj7w.jpg",{"Id":303,"Title":2670,"Description FR":2671,"Actus":54,"Trailer FR":2672,"Director":2673,"Year":1519,"Credits FR":2674,"Duration":584,"Release FR":2675,"Release DE":2676,"SUISA":2677,"VOD":54,"Media FR":2678,"Catalogue":10,"Description DE":2679,"Media DE":54,"Bonus FR":2680,"Bonus URL":54,"Credits DE":2681,"Bonus Type":77,"Pro":2682,"Trailer DE":2672,"Ton Cinéma":2683,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":2684,"mId":303,"preview url fr":2685,"Country FR":2686,"Country DE":2687,"FCollections":2688,"FTags":2689,"TagIds":2690,"FEvents":2691,"img":2692},"GARÇON CHIFFON","Jérémie, la trentaine, peine à faire décoller sa carrière de comédien. Sa vie sentimentale est mise à mal par ses crises de jalousie à répétition et son couple bat de l’aile. Il décide alors de quitter Paris et de se rendre sur sa terre d’origine, le Limousin, où il va tenter de se réparer auprès de sa mère…\n","https://www.youtube.com/watch?v=cImmoLmxngQ&ab_channel=SisterDistribution","Nicolas Maury","**Avec** Nicolas Maury, Nathalie Baye, Arnaud Valois, Théo Christine, Laure Calamy, Jean-Marc Barr\n\n**Scénario** Nicolas Maury, Sophie Fillières et Maud Ameline \n**Image** Raphaël Vandenbussche **Son** Charlie Cabocel **Montage** Louise Jaillette \n**Musique** Olivier Marguerit **Production** CG Cinéma\n","2021-05-12","2021-06-03",1014.831,"> « _Garçon chiffon_, c’est justement ça, un film qui respire et développe son propre univers. On y découvre d’abord Jérémie en jaloux maladif, incapable de faire confiance à son amoureux. Ce personnage d’abord agaçant va alors partir se ressourcer en province, chez sa mère (Nathalie Baye). Et le film de se mettre au vert, d’emprunter des chemins de traverse. Et lorsque dans le jardin, jouant avec un chiot, Jérémie s’exclamera soudainement que là, il est heureux, le spectateur de ressentir une soudaine émotion qui ne le quittera plus, jusqu’à un très beau final en forme de comédie musicale – \"chantons nos vies, rendons-les plus musicales et douces, moins fatales\", affirme Nicolas Maury, et on a envie de le suivre. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/nicolas-maury-itineraire-dun-enfant-doue?fbclid=IwAR1TfC-q8cngAeWZft_OQ4p7Y78JKafLffMHeVPORSllpBimPRlZX1XwC1A)**\n\n> « Échappant aux genres, ce film hybride porte alors sur le devant la scène un véritable personnage de cinéma, dégingandé et burlesque. »\n**Raphaël Chevalley - [Arc Info](https://www.arcinfo.ch/news-1072573?fbclid=IwAR1dG267Ht5e246mxWxi7QRIEyLaZ6m5H8659oj_kHfqHdrq1Zh_bzcYljk)**\n","Jérémie ein eifersüchtiger Mann, der zwischen seinen emotionalen, beruflichen und familiären Problemen hin- und hergerissen ist, steht kurz vor dem Zusammenbruch. Er beschließt, Paris zu verlassen und reist in seine Heimat Limousin, um sich mit seiner Mutter zu versöhnen.\n","**Nicolas Maury est l'invité du [12h45](https://www.rts.ch/info/culture/cinema/12187855-nicolas-maury-jai-reve-de-ce-film-dans-ma-chambre-denfant.html?fbclid=IwAR2HIJBcPI8LL7JZAWLKVlCKGd-a9G_JNNHLgprRGLDyR7zKGL4iULkHngw) de la RTS :**\n\n\"Ce film m'habite depuis ma chambre d'enfant\"\n","**Mit** Nicolas Maury, Nathalie Baye, Arnaud Valois, Théo Christine, Laure Calamy, \nJean-Marc Barr\n\n**Drehbuch** Nicolas Maury, Sophie Fillières und Maud Ameline \n**Kamera** Raphaël Vandenbussche **Ton** Charlie Cabocel **Schnitt** Louise Jaillette \n**Komponist** Olivier Marguerit **Produktion** CG Cinéma\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZS7JzZbWljBePNuF8f4EFl0KGV5uYMc5x7","https://www.ton-cinema.ch/film/garconchiffon/","gar-on-chiffon","https://sister-distribution.ch/movie/gar-on-chiffon?preview=true",[87],[90],[],[543,94,921,404,152,962,996],[546,12,923,52,158,964,713],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/garçon-affiche_QHNp9.jpg",{"Id":306,"Title":2694,"Description FR":2695,"Actus":54,"Trailer FR":2696,"Director":2697,"Year":939,"Credits FR":2698,"Duration":586,"Release FR":2699,"Release DE":2700,"SUISA":2701,"VOD":2702,"Media FR":2703,"Catalogue":10,"Description DE":2704,"Media DE":54,"Bonus FR":54,"Bonus URL":54,"Credits DE":2705,"Bonus Type":54,"Pro":54,"Trailer DE":2706,"Ton Cinéma":2707,"Quote FR":2708,"Quote DE":2709,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2710,"mId":306,"preview url fr":2711,"Country FR":2712,"Country DE":2713,"FCollections":2714,"FTags":2715,"TagIds":2716,"FEvents":2717,"img":2718},"JE DANSERAI SI JE VEUX","Portrait de trois femmes arabes israéliennes qui se battent pour leur émancipation à tous les niveaux. Laila, Salma et Nour partagent un appartement à Tel Aviv, loin du carcan de leurs villes d’origine et à l’abri des regards réprobateurs.\n","https://www.youtube.com/watch?v=HR50ZM4F528&ab_channel=SisterDistribution","Maysaloum Hamoud","**Avec** Mouna Hawa, Sana Jammalieh, Shaden Kanboura, Mahmud Shalaby, \nRiyad Sliman\n\n**Scénario** Maysaloum Hamoud **Image** Itay Gross **Son** Tully Chen, \nHagar Brotman et Itzik Cohen **Montage** Lev Golster et Nili Feller \n**Musique** MG Saad **Production** Deux Beaux Garçons et En compagnie des lamas\n","2017-05-17","2017-06-26",1011.979,"https://www.filmingo.ch/fr/films/585-je-danserai-si-je-veux","> « Un film à la dimension naturaliste, reflet d’une jeunesse arabe que le Printemps arabe a profondément marquée, une jeunesse bien décidée à faire entendre sa voix. Ainsi, Laila, Salma et Nour luttent, chacune à leur manière, contre une société encore lourdement patriarcale et machiste. Hamour en fait des héroïnes du quotidien, tout en évitant de les rendre univoques, sans gommer leurs possibles contradictions. On sent dans son regard une profonde admiration pour ces femmes fortes, inspirées de personnes de son entourage. »\n**Stéphane Gobbo - [Le Temps](https://www.letemps.ch/culture/danserai-veux-lhistoire-fetardes-palestiniennes-ivres-liberte?fbclid=IwAR2mVoQw9bhVhDiTgrn9ALGE8HaD8c_kjCHkymZS-ruVz0lX-l8SqjAFRmc)**\n\n> « Maysaloun Hamoud renvoie dos à dos oppressions patriarcale, religieuse et nationaliste pour s’interroger sur le destin de ses héroïnes. Elles sont toujours bar bahar, terre-mer, une expression qui désigne l’entre-deux, le fait d’être ni d’ici ni d’ailleurs. En révélant la population invisible des Arabes vivant au milieu de la majorité juive – parfois en cachant, sinon en reniant leurs origines comme c’est le cas de nombreux gays et lesbiennes – le film a rencontré un succès inattendu en Israël. »\n**Arnaud Gallay - [360](https://360.ch/culture/40172-bar-bahar-je-danserai-si-je-veux-ni-dici-ni-dailleurs/)**\n","Ein Porträt von drei arabischen Israelinnen, die in jeder Hinsicht für ihre Em- anzipation kämpfen. Ohne missbilligenden Blicken ausgesetzt zu sein, wohnen Laila, Salma und Nour zusammen in Tel Aviv, weitab der moralischen Zwangs- jacke ihrer Heimatorte.\n","**Mit** Mouna Hawa, Sana Jammalieh, Shaden Kanboura, Mahmud Shalaby, \nRiyad Sliman\n\n**Drehbuch** Maysaloum Hamoud **Kamera** Itay Gross **Ton** Tully Chen, \nHagar Brotman und Itzik Cohen **Schnitt** Lev Golster und Nili Feller \n**Komponist** MG Saad **Produktion** Deux Beaux Garçons et En compagnie des lamas\n","https://www.youtube.com/watch?v=fFTfjSjO8T4&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/barbahr/","Maysaloum Hamoud — « Un portrait sensible et touchant d'une jeunesse qui rêve d'émancipation. » Rolling Stone\n","Maysaloum Hamoud — « Ein sensibles und berührendes Porträt einer Jugend, die von Emanzipation träumt. » Rolling Stone","je-danserai-si-je-veux","https://sister-distribution.ch/movie/je-danserai-si-je-veux?preview=true",[88],[91],[],[543,1064,149,95,96,152,962,996,347],[546,1066,156,98,27,158,964,713,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/inBetween_vignettes_blYof.jpg",{"Id":305,"Title":2720,"Description FR":2721,"Actus":54,"Trailer FR":2722,"Director":2723,"Year":126,"Credits FR":2724,"Duration":592,"Release FR":2725,"Release DE":54,"SUISA":2726,"VOD":2727,"Media FR":2728,"Catalogue":10,"Description DE":2729,"Media DE":41,"Bonus FR":2730,"Bonus URL":54,"Credits DE":2731,"Bonus Type":77,"Pro":2732,"Trailer DE":2733,"Ton Cinéma":2734,"Quote FR":2735,"Quote DE":2736,"Teaser FR":2737,"Teaser DE":54,"DCP":989,"Events":1317,"Slug":2738,"mId":305,"preview url fr":2739,"Country FR":2740,"Country DE":2741,"FCollections":2742,"FTags":2743,"TagIds":2744,"FEvents":2745,"img":2746},"LES RIVIÈRES","En 2013, avec sa mère et ses deux enfants, Mai Hua ramène sa grand-mère mourante du Vietnam en France. Alors que cette dernière renaît de manière miraculeuse, un passé non résolu refait surface : Mai devient l’héritière de cette mémoire familiale complexe et douloureuse qu’elle ne veut pas transmettre à sa fille.\n","https://www.youtube.com/watch?v=Yh7uxpcXeJ8&t=3s&ab_channel=SisterDistribution","Mai Hua","**Scénario** Mai Hua **Montage** Mai Hua, Thomas Monnet et Nicolas Boucher \n**Musique originale** Kenny Dickenson **Production** Superbytimai\n","2019-12-02",1014.67,"https://www.filmingo.ch/fr/films/838-les-rivieres","> « En dépit des souffrances qu’il ravive, _Les Rivières_ n’a donc rien d’un film sinistre ou éprouvant. Il montre au contraire des femmes qui refusent de se voir en victimes ou d’attendre leur salut des hommes. Bercé par la voix douce de la réalisatrice et parsemé d’images poétiques, ce documentaire lumineux sur la transmission respire l’empathie et l’apaisement – en écho à l’élément aquatique qui lui inspire son titre. »\n**Mathieu Loewer -[ Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/01/07/la-resilience-en-heritage/)**\n\n> « Le documentaire émeut et fascine par ses prises de vues de quatre générations réunies dans des moments de crise et de joie. Cette quête de compréhension de ce qui se passe d’une génération à l’autre évolue beaucoup tout au long du film. D’abord prise pour une malédiction, et donc comme hors de portée, la peine se révèle petit à petit n’être qu’une forme de déchirure en soi, presque tangible, qui ne demande qu’à être recousue par le pardon et l’amour. »\n**Charlyne Genoud - [Le Courrier d'Oron](https://www.le-courrier.ch)**\n\n","Gemeinsam mit ihrer Mutter und ihren beiden Kindern begleitet Mai Hua im Jahr 2013 ihre todkranke Grossmutter von Vietnam nach Frankreich, wo diese auf spektakuläre Weise wiederauflebt. Zugleich bricht die unbewältigte Familienvergangenheit auf Mai herein: Sie sieht sich als Erbin dieses komplizierten und schmerzhaften Familienvermächtnisses, das sie auf keinen Fall an ihre eigene Tochter weitergeben will.\n","**La réalisatrice Mai Hua présente son film au [12h30](https://www.rts.ch/audio-podcast/2021/audio/l-invitee-du-12h30-mai-hua-presente-le-film-les-rivieres-25176998.html) de la RTS :**\n\n\"En faisant un film sur mon histoire familiale, c'est l'idée de comprendre enfin ce que je sais déjà\"\n","**Drehbuch** Mai Hua **Schnitt** Mai Hua, Thomas Monnet und Nicolas Boucher **Komponist** Kenny Dickenson **Produktion** Superbytimai\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZO17zZKf7Us39Yr7RDiLS6D28fqyazFkUk","https://www.youtube.com/watch?v=bfQhw5y5Cf8&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/rivers/","Mai Hua — « Une enquête intime sur la mémoire familiale. À voir absolument. » Brut\n","Mai Hua — « Eine intime Untersuchung des Familiengedächtnisses. Unbedingt sehenswert. » Brut","Des femmes qui refusent de se voir en victimes ou d’attendre leur salut des hommes. (Le Courrier)\n","les-rivieres","https://sister-distribution.ch/movie/les-rivieres?preview=true",[87],[90],[],[189,242,87,1388,404,962,347,499],[191,83,31,290,52,964,16,504],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/RIVIERES_Affiche_P9mwC.jpg",{"Id":666,"Title":2748,"Description FR":2749,"Actus":54,"Trailer FR":2750,"Director":2751,"Year":1877,"Credits FR":2752,"Duration":213,"Release FR":1698,"Release DE":54,"SUISA":2753,"VOD":54,"Media FR":2754,"Catalogue":10,"Description DE":2755,"Media DE":54,"Bonus FR":2756,"Bonus URL":54,"Credits DE":2757,"Bonus Type":77,"Pro":54,"Trailer DE":2750,"Ton Cinéma":2758,"Quote FR":54,"Quote DE":54,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2759,"mId":666,"preview url fr":2760,"Country FR":2761,"Country DE":2762,"FCollections":2763,"FTags":2764,"TagIds":2765,"FEvents":2766,"img":2767},"RETOUR AU PALAIS","La première fois que je suis entrée dans le Palais de Justice de Paris, j’avais vingt ans. Il avait déjà mille ans et des poussières. 6999 portes, 3150 fenêtres et 24 km de couloirs, selon la légende. Les nuits où il fallait rester tard pour attendre un verdict, je m’enfonçais dans des couloirs de plus en plus sombres. J’avais la sensation que le Palais était un être vivant. La perspective de son déménagement hâte mon retour. Au fil de ses méandres et de mes rencontres, au fil des histoires tapies dans ses recoins, surgit par fragments le portrait d’une abstraction, la justice.\n","https://www.youtube.com/watch?v=JF-MERWZrwk&ab_channel=SisterDistribution","Yamina Zoutat","**Scénario** Yamina Zoutat **Image** Yamina Zoutat **Montage** Marie-Pomme Carteret **Production** Elefant Films, Les Films d’Ici et RTS Radio Télévision Suisse\n",1012.466,"> « Yamina Zoutat a donc raison de mettre au centre de son film la dimension physique du palais. Entre ses murs, ses meubles, ses objets, ses instruments, ses espaces, et le personnel hétérogène qui y travaille et vit, il y a une continuité fascinante. La caméra se plaît à coller aux détails, quelquefois par de grands plans, mais souvent elle se tient également à l’écart, en laissant parler les hors-champ. Dans l’esthétique visuelle du film, concentration et latéralité se mélangent, sans jamais nous donner une vision panoramique et organisée. Le spectateur a du mal à s’orienter dans le palais, comme un voyeur sans contrôle de la situation ; mais la monstruosité labyrinthique du palais et la complexité de son fonctionnement recèlent la vérité de son insaisissabilité. Les personnes que nous y rencontrons semblent également perdues, ou bien satisfaites de se limiter à en occuper une région minuscule, ou encore unies à sa bureaucratie, à ses engrenages, à ses codes. »\n**Giuseppe Di Salvatore - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/retour-au-palais/?fbclid=IwAR3XF34CqxuLHrXBbqbI8vjZ6MkIqSQNgBKXloFKtApch0A6BlMvsFTH5RE)**\n\n> « Le Palais de Justice fait figure de grand théâtre de la vie, de scène sur laquelle l’existence de chacun, composée d’une multitude de gestes quotidiens, est chorégraphiée (les gardes, les membres du jury suivant méticuleusement les ordres – que faire, où aller –,les standardistes qui répondent au téléphone), muée en symphonie (composée des cris distants des accusés, du son net et régulier des chariots de courrier, du tic-tac de la pendule), comme pour nous rappeler que la réalité n’est en fin de compte que spectacle, rêve et rituel. Le Palais devient alors un personnage parmi d’autres, le réceptacle de la tragédie humaine mais aussi le symbole de la justice qui se veut universelle. C’est une entité à mi-chemin entre le monstrueux et le divin, mais aussi le symbole d’une société en constant changement. Un film puissant à découvrir avec tous ses sens. »\n**Muriel Del Don - [Cineuropa](https://cineuropa.org/fr/newsdetail/328071/?fbclid=IwAR32dG0LN3zO-rkr7jA2nQNwIXYR3lEsO1g73myBvTjsofl2AS4u4Jf_nRo)**\n","Als ich das erste Mal den Justizpalast in Paris betrat, war ich zwanzig Jahre alt. Er war bereits tausend Jahre alt. 6999 Türen, 3150 Fenster und 24 km Korridore, so die Legende. In den Nächten, in denen man lange bleiben musste, um auf ein Urteil zu warten, ging ich in immer dunklere Gänge. Ich hatte das Gefühl, dass der Palast ein Lebewesen war. Die Aussicht auf seinen Umzug beschleunigte meine Rückkehr. Im Laufe seiner Windungen und meiner Begegnungen, im Laufe der Geschichten, die sich in seinen Ecken verbergen, taucht in Fragmenten das Porträt einer Abstraktion auf: der Justiz.\n","**Extrait du portrait de la réalisatrice Yamina Zoutat - [24 heures](https://www.24heures.ch/culture/cinema/jours-nuits-palais-justice-paris/story/21367528?fbclid=IwAR13agH_bCyLBNk9Oj-DILkcjK0mqnPECMmQ4wPIEz2HlMoMgHZiQIIQSw4) :**\n\n« Le film résulte d’une collision entre mon intimité de cinéaste et cette institution. J’ai suivi énormément de grands procès. Mais de tous les palais, c’est celui de Paris qui m’a le plus impressionnée. On y sent encore les strates du passé. Il a même été la demeure des rois de France, il y a très longtemps. J’ai filmé ce palais comme s’il s’agissait d’un personnage. Il y avait des lieux interdits, j’ai dû attendre des dizaines d’autorisations, mais au final, j’ai pu filmer ce que je voulais. Notamment la grande salle des Assises, que personne n’avait jamais filmée. Il m’a fallu une patience folle. »\n\n","**Drehbuch** Yamina Zoutat **Kamera** Yamina Zoutat **Schnitt** Marie-Pomme Carteret **Produktion** Elefant Films, Les Films d’Ici und RTS Radio Télévision Suisse\n","https://www.ton-cinema.ch/film/retouraupalais/","retour-au-palais","https://sister-distribution.ch/movie/retour-au-palais?preview=true",[87,454],[90,458],[],[242,544,347],[83,20,16],[],"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/retour-au-palais-affiche_uYqKb.jpg",{"Id":897,"Title":2769,"Description FR":2770,"Actus":54,"Trailer FR":2771,"Director":2772,"Year":1877,"Credits FR":2773,"Duration":525,"Release FR":2774,"Release DE":54,"SUISA":2775,"VOD":2776,"Media FR":2777,"Catalogue":10,"Description DE":2778,"Media DE":54,"Bonus FR":41,"Bonus URL":54,"Credits DE":2779,"Bonus Type":54,"Pro":2780,"Trailer DE":2781,"Ton Cinéma":2782,"Quote FR":2783,"Quote DE":2784,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":45,"Slug":2785,"mId":897,"preview url fr":2786,"Country FR":2787,"Country DE":2788,"FCollections":2789,"FTags":2790,"TagIds":2791,"FEvents":2792,"img":2794},"DES MOUTONS ET DES HOMMES","Alger, Bab el Oued, 2016. Habib, 16 ans, rêve de devenir vétérinaire. Mais alors qu’il a arrêté l’école, il décide d’entraîner un bélier nommé «El Bouq», espérant en faire un champion de combats de moutons. Samir, 42 ans, n’a plus d’autres rêves que de survivre aux difficultés de son quotidien en vendant des moutons pour gagner un peu d’argent. Alors que l’Aïd approche et que tout le pays s’apprête à sacrifier un mouton, une occasion unique s’offre à Samir d’augmenter ses bénéfices. Mais pour Habib, c’est une autre histoire. El Bouq deviendra-t-il un champion ? Ou sera-t-il destiné à une fin plus tragique ?\n","https://www.youtube.com/watch?v=Lbag3J6giIM&ab_channel=SisterDistribution","Karim Sayad","**Avec** Samir Meflah, Habib Halfaya\n\n**Image** Patrick Tresch **Son** Hafidh Moulf **Montage** Naïma Bachiri \n**Production** Close Up Films, Norte Productions et Doha Film Institute\n","2018-04-04",1012.259,"https://www.filmingo.ch/fr/films/590-des-moutons-et-des-hommes","> « Karim Sayad ne cherche pas à délivrer un message, il nous ouvre les portes d’un monde dont il nous permet d’appréhender l’humble grandeur. La curiosité et la tendresse de son regard, son intimité avec son sujet nous placent d’emblée sur un pied d’égalité avec ses protagonistes et leur passion pour les boucs de combats. Le spectateur en ressort enrichi d’une expérience inédite. La joie éprouvée par le réalisateur qui les suit sans les juger est perceptible à chaque instant. »\n**Jury des [Journées de Soleure](https://www.solothurnerfilmtage.ch/fr/cinema-suisse/cineastes/karim-sayad)**\n\n> « [...] La force _Des moutons et des hommes_ : exercice de pouvoir et affection, esclavage et humanisation, la relation de l’homme à l’animal ressort dans toute sa complexité, justement en faisant abstraction du contexte, et en nous poussant à un retour à la dimension la plus basique, sincère et cruelle de l’humain. »\n**Giuseppe Di Salvatore - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/des-moutons-et-des-hommes/?fbclid=IwAR3VnQdsClZ8y2BHQ4Rjusvvp4iS0kxynJAP3Bk5kVXFDHcMevOdIB8ngU0)**\n","Algier, Bab el Oued, 2016. Der 16-jährige Habib träumt davon, Tierarzt zu werden. Doch als er die Schule abbricht, beschließt er, einen Schafbock namens \"El Bouq\" zu trainieren, in der Hoffnung, ihn zu einem Champion in Schafskämpfen zu machen. Der 42-jährige Samir hat keine anderen Träume mehr, als die Schwierigkeiten seines Alltags zu überleben, indem er Schafe verkauft, um ein wenig Geld zu verdienen. Als das Eid näher rückt und das ganze Land sich darauf vorbereitet, ein Schaf zu opfern, bietet sich Samir eine einmalige Gelegenheit, seinen Gewinn zu steigern. Für Habib ist das jedoch eine andere Geschichte. Wird El Bouq ein Champion werden? Oder wird ihm ein tragischeres Ende bestimmt sein?\n","**Mit** Samir Meflah, Habib Halfaya\n\n**Kamera** Patrick Tresch **Ton** Hafidh Moulf **Schnitt** Naïma Bachiri\n**Produktion** Close Up Films, Norte Productions und Doha Film Institute\n","https://e1.pcloud.link/publink/show?code=kZlM7zZkkfoMsTHSGmaCiHiCvMQxHpM4ftV","https://www.youtube.com/watch?v=VZ_ycLK3vzM&ab_channel=SisterDistribution","https://www.ton-cinema.ch/film/ofsheepandmen/","Karim Sayad — « Un retour à la dimension la plus basique, sincère et cruelle de l’humain. » Filmexplorer\n","Karim Sayad — « Eine Rückkehr zur grundlegendsten, aufrichtigsten und grausamsten Dimension des Menschseins. » Filmexplorer","des-moutons-et-des-hommes","https://sister-distribution.ch/movie/des-moutons-et-des-hommes?preview=true",[2532,87,454],[2535,90,458],[],[543,147,242,544,149],[546,154,83,20,156],[2793],294,"https://nocodb.wonderweb.dev/download/2025/01/24/81c57c85a846f456ea5afa35ab0724dcf07bce7d/desmoutonsetdeshommes_vignettes_98eRN.jpg",{"Id":892,"Title":2796,"Description FR":2797,"Actus":54,"Trailer FR":2798,"Director":2772,"Year":126,"Credits FR":2799,"Duration":300,"Release FR":2800,"Release DE":54,"SUISA":2801,"VOD":2802,"Media FR":2803,"Catalogue":10,"Description DE":2804,"Media DE":54,"Bonus FR":2805,"Bonus URL":2806,"Credits DE":2807,"Bonus Type":136,"Pro":2808,"Trailer DE":2798,"Ton Cinéma":2809,"Quote FR":2810,"Quote DE":2811,"Teaser FR":54,"Teaser DE":54,"DCP":54,"Events":1317,"Slug":2812,"mId":892,"preview url fr":2813,"Country FR":2814,"Country DE":2815,"FCollections":2816,"FTags":2817,"TagIds":2818,"FEvents":2819,"img":2820},"MON COUSIN ANGLAIS","2001, Fahed arrive sur le sol britannique débordant d’aspirations et de rêves … 2018, en proie à une crise de la quarantaine, il doit maintenant prendre une décision. Continuera-t-il son humble mode de vie en travaillant 50 heures par semaine entre le Fast Food et l’usine ou retournera-t-il en Algérie, pays qu’il a fui dans l’espoir de mener une vie meilleure ?\n","https://www.youtube.com/watch?v=pRTZyGSdq0c&ab_channel=SisterDistribution","**Avec** Fahed Mamera\n\n**Scénario** Karim Sayad **Image** Patrick Tresch **Son** Miguel Antunes Dias \n**Montage** Naïma Bachiri **Production** Close Up Films et RTS Radio Télévision Suisse\n","2019-03-12",1013.692,"https://www.filmingo.ch/fr/films/876-mon-cousin-anglais","> « Deux histoires se croisent. L’une parle de l’Angleterre néolibérale et postindustrielle, l’autre des apatrides et des damnés de la terre. Fahed est le trait d’union qui les réunit. Un film qui vous tabasse l’âme, vous soûle de misère humaine et sociale. Il parle du sentiment de n’être chez soi ni ici ni là-bas, mais d’habiter dans les limbes. »\n**Émilien Gür - [Filmexplorer](https://www.filmexplorer.ch/detail/mon-cousin-anglais/)**\n\n> « Pour un peu nous voici dans le dernier film de Ken Loach… à ceci près qu’il s’agit du documentaire de Karim Sayad, réalisateur suisse et algérien à qui l’on doit notamment _Des moutons et des hommes_. Dans _Mon cousin anglais_, son deuxième long-métrage [...], il colle littéralement au corps de son proche parent dont la personnalité pataude, égarée et peu à peu sympathique sert de porte d’entrée à un portrait de famille et à une réflexion sur l’exil. »\n**Maxime Maillard - [Le Courrier](https://lecourrier.ch/2021/03/11/lexil-dilemme-intime/?fbclid=IwAR1JD9NprB9WJhPYjqnx4tgFNbsY6flTnXc07t_YrwIPRdI-n9kIaGOL5eQ)**\n","2001 erreicht Fahed das Vereinigte Königreich, den Kopf voller Träume. 2018, angesichts einer Midlife-Krise, muss er nun eine Entscheidung treffen. 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